En bon spécialiste des affaires financières, l’ancien banquier associé est en train d’opérer une OPA sur la droite la plus bête du monde.
Rien n’est plus faux que de dire que le droit du sol est plus républicain que le droit du sang.
Le Président français trouve dans la politique internationale le terrain idéal de sa mégalomanie, et l’occasion de survoler la marée des mécontentements.
Ceux qui nous gouvernent ont ainsi dévoilé qui était leur véritable ennemi : Assad, et non les islamistes.
Sauf en 2003, pour l’Irak de Saddam Hussein, la France a constamment soutenu la politique de Washington.
Surtout, d’un bout à l’autre de son intervention, M. Macron a ouvert en grand les fumigènes.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
La justice a-t-elle le souci de protéger les Français ?
Ce 3 avril peut être salué comme une sorte de célébration de notre identité malheureuse, une manière de fête nationale à l’envers.
Comme disait ce cher Lénine, « les faits sont têtus ».
L’antiracisme est devenu l’alpha et l’oméga de l’idéologie politiquement correcte qui dicte sa loi au législateur, qui guide la plume de tous ceux qui écrivent.
Brutalement, la France et son oligarchie se trouvent confrontées à un acte véritablement héroïque, le sacrifice, le don de soi. Il s’agit là d’un événement dont on ne saurait minimiser la portée.
Le pouvoir actuel qui réunit les opportunistes issus de la gauche et de la droite ne peut déjà plus inspirer la confiance d’un pays qui n’en peut plus de descendre sans cesse.
Le Général a, par deux fois, remis la France « dans la course ».
La présidente du Front National avait obtenu à Mayotte un bon score à la présidentielle. Elle a donc une légitimité à s’exprimer.
Sa victoire « sans surprise », comme le martèlent nos médias infiniment démocratiques et, pour le coup, pleins de dépit, est un événement considérable.
La situation sur l’île est explosive.
C’est l’impôt qui sauve le budget, et non la politique de réformes.
Le « délit de fausse nouvelle » existe déjà, et l’article 27 de la Loi sur la Liberté de la presse prévoit une amende de 45.000 euros pour les coupables.
Il semble qu’il n’y ait plus aucune limite à l’indécence du parti pris des médias occidentaux, et français en particulier, dans le drame syrien.
Ce samedi, sous l’impulsion de Christian Vanneste, a lieu l’université d’hiver de la Droite libre, une association de réflexion à la fois patriote, libérale et conservatrice.
Comme en France, les « vieux partis » du bipartisme sont désavoués, mais en l’absence de coup d’Etat médiatico-judiciaire, c’est une vague inverse qui s’est levée, essentiellement hostile à la caste dirigeante.
Pour les distraits qui n’en avaient pas encore pris conscience, la démocratie française, qui n’était déjà pas très vaillante, s’est perdue dans un triangle des Bermudes.
La situation de la SNCF est très représentative de celle de notre pays dont elle condense les contradictions et les impasses.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Laurent Wauquiez a-t-il ou non prémédité ses « dérapages » ? Peu importe. C’est son « parler vrai » qui a bousculé le microcosme politico-médiatique.
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
C’est une nouvelle réforme destinée à faire plaisir aux nostalgiques.
En bon spécialiste des affaires financières, l’ancien banquier associé est en train d’opérer une OPA sur la droite la plus bête du monde.
Rien n’est plus faux que de dire que le droit du sol est plus républicain que le droit du sang.
Le Président français trouve dans la politique internationale le terrain idéal de sa mégalomanie, et l’occasion de survoler la marée des mécontentements.
Ceux qui nous gouvernent ont ainsi dévoilé qui était leur véritable ennemi : Assad, et non les islamistes.
Sauf en 2003, pour l’Irak de Saddam Hussein, la France a constamment soutenu la politique de Washington.
Surtout, d’un bout à l’autre de son intervention, M. Macron a ouvert en grand les fumigènes.
70 % des électeurs ont voté, et 70 % de ceux-ci ont choisi la droite ou l’extrême droite.
La justice a-t-elle le souci de protéger les Français ?
Ce 3 avril peut être salué comme une sorte de célébration de notre identité malheureuse, une manière de fête nationale à l’envers.
Comme disait ce cher Lénine, « les faits sont têtus ».
L’antiracisme est devenu l’alpha et l’oméga de l’idéologie politiquement correcte qui dicte sa loi au législateur, qui guide la plume de tous ceux qui écrivent.
Brutalement, la France et son oligarchie se trouvent confrontées à un acte véritablement héroïque, le sacrifice, le don de soi. Il s’agit là d’un événement dont on ne saurait minimiser la portée.
Le pouvoir actuel qui réunit les opportunistes issus de la gauche et de la droite ne peut déjà plus inspirer la confiance d’un pays qui n’en peut plus de descendre sans cesse.
Le Général a, par deux fois, remis la France « dans la course ».
La présidente du Front National avait obtenu à Mayotte un bon score à la présidentielle. Elle a donc une légitimité à s’exprimer.
Sa victoire « sans surprise », comme le martèlent nos médias infiniment démocratiques et, pour le coup, pleins de dépit, est un événement considérable.
La situation sur l’île est explosive.
C’est l’impôt qui sauve le budget, et non la politique de réformes.
Le « délit de fausse nouvelle » existe déjà, et l’article 27 de la Loi sur la Liberté de la presse prévoit une amende de 45.000 euros pour les coupables.
Il semble qu’il n’y ait plus aucune limite à l’indécence du parti pris des médias occidentaux, et français en particulier, dans le drame syrien.
Ce samedi, sous l’impulsion de Christian Vanneste, a lieu l’université d’hiver de la Droite libre, une association de réflexion à la fois patriote, libérale et conservatrice.
Comme en France, les « vieux partis » du bipartisme sont désavoués, mais en l’absence de coup d’Etat médiatico-judiciaire, c’est une vague inverse qui s’est levée, essentiellement hostile à la caste dirigeante.
Pour les distraits qui n’en avaient pas encore pris conscience, la démocratie française, qui n’était déjà pas très vaillante, s’est perdue dans un triangle des Bermudes.
La situation de la SNCF est très représentative de celle de notre pays dont elle condense les contradictions et les impasses.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Laurent Wauquiez a-t-il ou non prémédité ses « dérapages » ? Peu importe. C’est son « parler vrai » qui a bousculé le microcosme politico-médiatique.
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
C’est une nouvelle réforme destinée à faire plaisir aux nostalgiques.
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