L’universaliste, c’est Zemmour. L’identitaire, c’est BHL !
Le Jupiter foudroyant du haut de la puissance française n’est décidément qu’un matamore bavard dont chaque discours risque de ne foudroyer que les intérêts de son propre pays.
C’est lui, aussi, qui est la cible de tirs nourris venant de toutes parts.
Depuis des décennies, les hommes politiques français n’ont qu’une obsession : conquérir le pouvoir et le garder.
Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.
Le discours de résistance et de redressement mis en œuvre par Orbán dans sa politique et qui est approuvé par une grande majorité des Hongrois peut donner de la crédibilité à celui de Zemmour en France.
Le service public de l’audiovisuel sombre dans deux travers : une orientation politique univoque, à gauche toute, et un manque de rigueur et de dignité qui devraient pourtant être sa marque propre.
Les Français sont mal payés de leur suivisme à l’égard de Washington.
On peut être d’accord ou non avec Zemmour, on peut souhaiter ou non qu’il soit candidat à la présidence de la République : on n’a pas le droit de le faire taire !
Le terrorisme islamiste n’est pas leur ennemi prioritaire.
Or, tout le problème est là : une société où chacun ne pense plus qu’à persévérer dans son existence aura du mal à produire des héros.
Cette étape ne peut que souligner davantage la manipulation éhontée qui consiste à faire croire que la théâtrocratie actuelle serait un tant soit peu libérale.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
Qui ne voit que l’absurdité du scénario afghan ne fait que refléter l’absurdité de nos sociétés « progressistes » ?
L’obligation vaccinale contenue dans le « passe sanitaire » rebute de nombreux Français vaccinés mais qui auraient préféré être convaincus par le discours et par l’exemple des détenteurs du pouvoir en qui ils auraient placé leur confiance.
Une fois de plus, l’Occident, bien que ce nom convienne de moins en moins à la civilisation matérialiste et consumériste qu’il désigne, l’Occident perd la face.
Des milliers de morts plus tard, dont 90 soldats français, notamment les dix tombés lors de l’embuscade menée par les Talibans à Surobi le 18 avril 2008, le pays est à la veille de redevenir un émirat islamique dirigé par un groupe terroriste !
Le ministre de l’Intérieur est devenu le commis-voyageur de l’insécurité, allant et venant, partout en France…
La fraternité d’un médecin français à l’égard d’un malade français sera réservée dans les hôpitaux, sauf urgence, au détenteur d’un passeport sanitaire.
Le but n’est évidemment pas de triompher de la maladie, ce qui arrivera de toute manière malgré le chœur des pleureuses alarmistes, mais d’être réélu, comme le sauveur
L’accession de M. Macron à la présidence est à la fois une imposture et une conclusion de la dérive de nos institutions.
La conjonction du quinquennat et de l’élection d’un personnage atypique a permis la dérive dictatoriale.
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.
Plutôt que de se mobiliser sur le vaccin, il est essentiel de faire le bilan global d’un mandat présidentiel calamiteux.
On pourrait sans cesse allonger la liste des privilèges accordés à des minorités pendant que la majorité perd sa liberté…
Des élus qui se prétendent « de droite » soutiennent le rejeton du PS tendance Attali, caviar et Terra Nova qui occupe l’Élysée…
En fait, tout se passe comme si l’on cherchait à dissoudre la conscience collective des Français, à leur faire perdre de vue leurs véritables intérêts, bref, à les aliéner.
Le fait qu’une idéologie portée par de puissants groupes de pression internationaux puisse ainsi dépouiller un État de sa souveraineté et mettre une démocratie sous le gouvernement des juges est une dérive gravissime.
L’universaliste, c’est Zemmour. L’identitaire, c’est BHL !
Le Jupiter foudroyant du haut de la puissance française n’est décidément qu’un matamore bavard dont chaque discours risque de ne foudroyer que les intérêts de son propre pays.
C’est lui, aussi, qui est la cible de tirs nourris venant de toutes parts.
Depuis des décennies, les hommes politiques français n’ont qu’une obsession : conquérir le pouvoir et le garder.
Une chance apparaît, que Marine Le Pen ne soit pas au second tour et que le candidat LR y soit. La maison serait sauvée. Mais un risque se fait jour : que ce soit Zemmour qui soit présent, et c’est pourquoi il faut désormais qu’il fasse peur.
Le discours de résistance et de redressement mis en œuvre par Orbán dans sa politique et qui est approuvé par une grande majorité des Hongrois peut donner de la crédibilité à celui de Zemmour en France.
Le service public de l’audiovisuel sombre dans deux travers : une orientation politique univoque, à gauche toute, et un manque de rigueur et de dignité qui devraient pourtant être sa marque propre.
Les Français sont mal payés de leur suivisme à l’égard de Washington.
On peut être d’accord ou non avec Zemmour, on peut souhaiter ou non qu’il soit candidat à la présidence de la République : on n’a pas le droit de le faire taire !
Le terrorisme islamiste n’est pas leur ennemi prioritaire.
Or, tout le problème est là : une société où chacun ne pense plus qu’à persévérer dans son existence aura du mal à produire des héros.
Cette étape ne peut que souligner davantage la manipulation éhontée qui consiste à faire croire que la théâtrocratie actuelle serait un tant soit peu libérale.
Pendant quatre ans, ils ont fusillé Trump jour après jour, parce qu’il était « populiste », parce que son style était vulgaire, qu’il n’était pas digne de l’oligarchie mondialiste et progressiste qui doit diriger la planète.
Qui ne voit que l’absurdité du scénario afghan ne fait que refléter l’absurdité de nos sociétés « progressistes » ?
L’obligation vaccinale contenue dans le « passe sanitaire » rebute de nombreux Français vaccinés mais qui auraient préféré être convaincus par le discours et par l’exemple des détenteurs du pouvoir en qui ils auraient placé leur confiance.
Une fois de plus, l’Occident, bien que ce nom convienne de moins en moins à la civilisation matérialiste et consumériste qu’il désigne, l’Occident perd la face.
Des milliers de morts plus tard, dont 90 soldats français, notamment les dix tombés lors de l’embuscade menée par les Talibans à Surobi le 18 avril 2008, le pays est à la veille de redevenir un émirat islamique dirigé par un groupe terroriste !
Le ministre de l’Intérieur est devenu le commis-voyageur de l’insécurité, allant et venant, partout en France…
La fraternité d’un médecin français à l’égard d’un malade français sera réservée dans les hôpitaux, sauf urgence, au détenteur d’un passeport sanitaire.
Le but n’est évidemment pas de triompher de la maladie, ce qui arrivera de toute manière malgré le chœur des pleureuses alarmistes, mais d’être réélu, comme le sauveur
L’accession de M. Macron à la présidence est à la fois une imposture et une conclusion de la dérive de nos institutions.
La conjonction du quinquennat et de l’élection d’un personnage atypique a permis la dérive dictatoriale.
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.
Plutôt que de se mobiliser sur le vaccin, il est essentiel de faire le bilan global d’un mandat présidentiel calamiteux.
On pourrait sans cesse allonger la liste des privilèges accordés à des minorités pendant que la majorité perd sa liberté…
Des élus qui se prétendent « de droite » soutiennent le rejeton du PS tendance Attali, caviar et Terra Nova qui occupe l’Élysée…
En fait, tout se passe comme si l’on cherchait à dissoudre la conscience collective des Français, à leur faire perdre de vue leurs véritables intérêts, bref, à les aliéner.
Le fait qu’une idéologie portée par de puissants groupes de pression internationaux puisse ainsi dépouiller un État de sa souveraineté et mettre une démocratie sous le gouvernement des juges est une dérive gravissime.
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