Des Philippines au Nigéria, la violence est associée à la présence islamiste.
Cette guerre, terrible pour les Syriens qui l’ont subie, est une tache sur l’honneur de nos démocraties.
La personnalité particulière de l’occupant actuel de l’Élysée est-elle compatible avec la fonction présidentielle ?
La prévision des dégâts matériels et des risques humains n’a manifestement pas été suffisante.
Rarement, dans l’Histoire, un peuple aura accéléré son suicide avec autant d’aveuglement !
Être de droite, cela consiste à être conservateur, attaché aux valeurs héritées.
Le processus de renoncement à la culture ou à la mémoire identitaires atteint aujourd’hui le sommet du grotesque.
En un geste le président Macron a signé sa politique. « Les Français détestent les réformes… C’est un peuple qui déteste ça. »
Il ne faut accorder que peu d’importance aux hommes du « machin » et à leurs propos.
Le règlement de Dublin, qui laisse au premier pays membre de l’UE où arrivent les migrants le soin de déclencher la procédure d’asile, est inepte.
Il faut gagner l’électeur comme on attire le client, étudier l’électorat comme on scrute le marché.
Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.
À travers l’idéologie antiraciste, pourchassant les « phobies » en tout genre, l’intolérance a subrepticement changé de côté.
Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.
Le terrorisme n’est pas un ennemi, en chair et en os, c’est un moyen d’action politique, un concept.
La poudre aux yeux, tous les jours, voilà le régime choisi par une majorité relative de Français pour les années à venir.
La France est distancée par l’Allemagne dont elle s’écarte pour se rapprocher des pays du sud.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.
L’égalitarisme s’est plu à supprimer les distances, à nier les hiérarchies.
Après son recul impressionnant dans les sondages, Emmanuel Macron a intensifié son omniprésence médiatique.
La réaction de Macron, dont la tête enfle à vue d’œil, a été déplacée à l’encontre d’un général qui a une vie d’actions et de décisions derrière lui.
L’accueil de Vladimir Poutine et de Donald Trump dans des cadres prestigieux permet de redonner à la France sa place dans le concert des nations.
Manifestement, Emmanuel Macron s’est agacé de ne pas prendre la place qu’il ambitionnait à Hambourg.
Lorsque la politique se dissout dans la communication, on aboutit au discours d’Emmanuel Macron devant le Congrès.
Nations d’Europe, unissez-vous pour faire de la démocratie enfin une réalité !
La liberté et l’égalité dans la prise de parole sont des illusions dans notre pays.
Il n’y a pas de culture française, mais des cultures en France. Saint-Saëns et Wagner, même combat ! Si Macron l’a dit, respect !
Des Philippines au Nigéria, la violence est associée à la présence islamiste.
Cette guerre, terrible pour les Syriens qui l’ont subie, est une tache sur l’honneur de nos démocraties.
La personnalité particulière de l’occupant actuel de l’Élysée est-elle compatible avec la fonction présidentielle ?
La prévision des dégâts matériels et des risques humains n’a manifestement pas été suffisante.
Rarement, dans l’Histoire, un peuple aura accéléré son suicide avec autant d’aveuglement !
Être de droite, cela consiste à être conservateur, attaché aux valeurs héritées.
Le processus de renoncement à la culture ou à la mémoire identitaires atteint aujourd’hui le sommet du grotesque.
En un geste le président Macron a signé sa politique. « Les Français détestent les réformes… C’est un peuple qui déteste ça. »
Il ne faut accorder que peu d’importance aux hommes du « machin » et à leurs propos.
Le règlement de Dublin, qui laisse au premier pays membre de l’UE où arrivent les migrants le soin de déclencher la procédure d’asile, est inepte.
Il faut gagner l’électeur comme on attire le client, étudier l’électorat comme on scrute le marché.
Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.
À travers l’idéologie antiraciste, pourchassant les « phobies » en tout genre, l’intolérance a subrepticement changé de côté.
Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.
Le terrorisme n’est pas un ennemi, en chair et en os, c’est un moyen d’action politique, un concept.
La poudre aux yeux, tous les jours, voilà le régime choisi par une majorité relative de Français pour les années à venir.
La France est distancée par l’Allemagne dont elle s’écarte pour se rapprocher des pays du sud.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.
L’égalitarisme s’est plu à supprimer les distances, à nier les hiérarchies.
Après son recul impressionnant dans les sondages, Emmanuel Macron a intensifié son omniprésence médiatique.
La réaction de Macron, dont la tête enfle à vue d’œil, a été déplacée à l’encontre d’un général qui a une vie d’actions et de décisions derrière lui.
L’accueil de Vladimir Poutine et de Donald Trump dans des cadres prestigieux permet de redonner à la France sa place dans le concert des nations.
Manifestement, Emmanuel Macron s’est agacé de ne pas prendre la place qu’il ambitionnait à Hambourg.
Lorsque la politique se dissout dans la communication, on aboutit au discours d’Emmanuel Macron devant le Congrès.
Nations d’Europe, unissez-vous pour faire de la démocratie enfin une réalité !
La liberté et l’égalité dans la prise de parole sont des illusions dans notre pays.
Il n’y a pas de culture française, mais des cultures en France. Saint-Saëns et Wagner, même combat ! Si Macron l’a dit, respect !
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