Le totalitarisme est bien passé de ce côté-ci du mur !
Il n’y a jamais eu de démocratie chez les peuples nomades.
Le désintérêt pour la politique de la première des nations historiques n’est pas une anecdote. C’est le résultat effarant d’une trahison des prétendues élites…
Mais qui ?
La France serait-elle le seul État à croire vraiment aux prétextes idéologiques, à la croisade démocratique, pour imposer le pluralisme et les droits de l’homme à des cultures qui y sont rétives ?
La France n’a pas perdu la guerre. Elle a perdu quelques batailles en laissant s’effondrer son économie, en minant la cohésion nationale par une immigration suicidaire, en abandonnant son exigence d’excellence dans le domaine de l’éducation.
Il est assez clair que toute la politique menée par les États-Unis, notamment sous les présidences démocrates, a développé un impérialisme cynique…
Don Quichotte n’a pas agi seul. Sancho Pança prenait des images, ce qui établit la complicité dans le crime prémédité…
Gifler le monarque est, certes, hautement symbolique, mais si l’altitude institutionnelle de la cible appelle une sanction proportionnée, la signification du geste est lourde de sens…
On s’épuiserait à dresser la liste des échecs dans lesquels la France s’enlise parce que la caste qui la dirige a fait les mauvais choix au mauvais moment.
Seul le recours systématique au référendum d’initiative populaire pourra trancher le nœud gordien qui étrangle la France.
Certes, le pouvoir politique, celui du Président, est le plus élevé et doit être respecté, mais à condition qu’il soit lui-même capable de respect.
Avec l’intégration de Benzéma dans l’équipe dite « de France » et le choix du rappeur Youssoupha pour « l’hymne » de cette équipe, la FFF et le gouvernement sont allés jusqu’au bout de cette dérive.
C’est une révolution conservatrice qu’il nous faut, et le régime actuel en est exactement le contraire.
Les manigances de Muselier et de ses acolytes pour garder le pouvoir local avec le soutien d’un parti qui détient le pouvoir national ressemblent fort aux manœuvres de Ciudadanos.
La solution d’un seul État est la plus réaliste, mais elle laisse subsister le problème le plus épineux : celui de la population arabo-musulmane sur le territoire du Grand Israël…
L’objectif est toujours le même, non pas susciter un « putsch » mais, au contraire, prévenir les élus et la population que l’armée sera obligée de répondre à l’appel du gouvernement pour rétablir l’ordre…
Emmanuel Macron, empêtré dans son « en même temps », ne choisit pas. Pis : il n’assume pas les conséquences de ses choix antérieurs.
M. Macron parlant de Napoléon, c’est le peintre du dimanche commentant Delacroix.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.
S’il ne s’agissait pas du patriotisme affirmé par des militaires mais d’une lubie écologiste ou d’une protestation communautaire, on parlerait de « lanceurs d’alerte », mais ceux-ci sont du mauvais côté de la rue.
On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie…
Nous vivons une démocratie de l’entre-soi !
Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
Quant aux immigrés d’origine algérienne, Macron aura réalisé ce prodige de leur donner des raisons de détester le pays d’accueil et d’avoir des droits sur lui.
Avec beaucoup de cohérence, la vraie droite, légitimiste, conservatrice, nationale, a retrouvé la voie de la contestation, voire de la rébellion.
L’incident du divan est en fait beaucoup plus grave que l’affirmation du sexisme islamiste. C’est la révélation, à ceux qui l’ignoraient encore, que l’Union européenne est un désastre.
Manifestement, l’Assemblée, ses électeurs, ça compte peu, chez la diplômée de la Kennedy School de Harvard entrée par le haut dans la politique…
Le totalitarisme est bien passé de ce côté-ci du mur !
Il n’y a jamais eu de démocratie chez les peuples nomades.
Le désintérêt pour la politique de la première des nations historiques n’est pas une anecdote. C’est le résultat effarant d’une trahison des prétendues élites…
Mais qui ?
La France serait-elle le seul État à croire vraiment aux prétextes idéologiques, à la croisade démocratique, pour imposer le pluralisme et les droits de l’homme à des cultures qui y sont rétives ?
La France n’a pas perdu la guerre. Elle a perdu quelques batailles en laissant s’effondrer son économie, en minant la cohésion nationale par une immigration suicidaire, en abandonnant son exigence d’excellence dans le domaine de l’éducation.
Il est assez clair que toute la politique menée par les États-Unis, notamment sous les présidences démocrates, a développé un impérialisme cynique…
Don Quichotte n’a pas agi seul. Sancho Pança prenait des images, ce qui établit la complicité dans le crime prémédité…
Gifler le monarque est, certes, hautement symbolique, mais si l’altitude institutionnelle de la cible appelle une sanction proportionnée, la signification du geste est lourde de sens…
On s’épuiserait à dresser la liste des échecs dans lesquels la France s’enlise parce que la caste qui la dirige a fait les mauvais choix au mauvais moment.
Seul le recours systématique au référendum d’initiative populaire pourra trancher le nœud gordien qui étrangle la France.
Certes, le pouvoir politique, celui du Président, est le plus élevé et doit être respecté, mais à condition qu’il soit lui-même capable de respect.
Avec l’intégration de Benzéma dans l’équipe dite « de France » et le choix du rappeur Youssoupha pour « l’hymne » de cette équipe, la FFF et le gouvernement sont allés jusqu’au bout de cette dérive.
C’est une révolution conservatrice qu’il nous faut, et le régime actuel en est exactement le contraire.
Les manigances de Muselier et de ses acolytes pour garder le pouvoir local avec le soutien d’un parti qui détient le pouvoir national ressemblent fort aux manœuvres de Ciudadanos.
La solution d’un seul État est la plus réaliste, mais elle laisse subsister le problème le plus épineux : celui de la population arabo-musulmane sur le territoire du Grand Israël…
L’objectif est toujours le même, non pas susciter un « putsch » mais, au contraire, prévenir les élus et la population que l’armée sera obligée de répondre à l’appel du gouvernement pour rétablir l’ordre…
Emmanuel Macron, empêtré dans son « en même temps », ne choisit pas. Pis : il n’assume pas les conséquences de ses choix antérieurs.
M. Macron parlant de Napoléon, c’est le peintre du dimanche commentant Delacroix.
La race reprenait des couleurs avec un nouveau racisme – on n’ose pas dire repeint à neuf – appelé racialisme.
S’il ne s’agissait pas du patriotisme affirmé par des militaires mais d’une lubie écologiste ou d’une protestation communautaire, on parlerait de « lanceurs d’alerte », mais ceux-ci sont du mauvais côté de la rue.
On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie…
Nous vivons une démocratie de l’entre-soi !
Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
Quant aux immigrés d’origine algérienne, Macron aura réalisé ce prodige de leur donner des raisons de détester le pays d’accueil et d’avoir des droits sur lui.
Avec beaucoup de cohérence, la vraie droite, légitimiste, conservatrice, nationale, a retrouvé la voie de la contestation, voire de la rébellion.
L’incident du divan est en fait beaucoup plus grave que l’affirmation du sexisme islamiste. C’est la révélation, à ceux qui l’ignoraient encore, que l’Union européenne est un désastre.
Manifestement, l’Assemblée, ses électeurs, ça compte peu, chez la diplômée de la Kennedy School de Harvard entrée par le haut dans la politique…
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