
Un Macron ne s’excuse jamais, puisqu’il ne se trompe jamais !

Depuis son arrivée à l’Élysée comme secrétaire général adjoint jusqu’à la présidence, avec un passage au ministère de l’Économie, M. Macron n’a survolé la France qu’à haute altitude…

Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.

La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…

Ils ont le droit de communiquer jusqu’au prosélytisme que les autres ont perdu.

Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.

Nous sommes en France aussi, peut-être non loin de Paris, mais nous sommes dans un autre pays, où ce sont les policiers qui ont peur et s’enfuient.

La scandaleuse dissolution de Génération identitaire coche aussi une case de la dictature.
Sommes-nous gouvernés ou trahis ?

Quelle est la cause de ce suicide lent et inexorable ? La trahison des élites !

On comprend que la dictature orwellienne qui entend imposer son lexique à la France qui pense soit offusquée par l’intrusion d’un mot qu’elle n’a pas produit.

Les Français seraient-ils d’impénitents monarchistes au pire sens du terme, n’attendant que le bon plaisir du prince et l’en félicitant lorsqu’il leur est favorable, en oubliant tous les précédents moins heureux ?

C’est une exigence de salut public que le macronisme soit chassé du pouvoir !

Les militants de Génération identitaire n’ont jamais été condamnés, ne prônent ni ne pratiquent la violence, contrairement aux groupuscules antifas ou aux Black Blocs auxquels on ne touche guère.

Quant à la France, elle pourrait aujourd’hui saisir l’occasion de ce trouble diplomatique européen pour se rapprocher de la Russie.

Le « prêchi-prêcha » laïque, avec ses sermons sur l’esprit républicain, sonne creux dans la tête de la plupart des jeunes de banlieue et beaucoup d’autres Français n’y attachent plus guère d’importance.

Un bel exemple de mensonge institutionnel.

Un gouvernement qui s’acharne contre les citoyens, et qui sévit contre ceux qui appellent l’État à remplir son devoir en contrôlant les frontières, comment le qualifier ?

Le gouvernement des juges face à un pouvoir politique démonétisé ne va ni dans le sens de la démocratie, puisque le peuple est tenu à l’écart de cette lutte sourde à l’intérieur de l’oligarchie, ni dans celui de la République, puisqu’il inverse la hiérarchie légitime des pouvoirs…

Voilà des décennies que de prétendues élites occupent le pouvoir en imposant leurs priorités à une France qui en crève.

On retiendra surtout la férocité des adversaires de Trump, qu’illustre l’acariâtre Nancy Pelosi tentant la destitution in extremis, et même post mortem

L’union de la gauche revivrait donc dès qu’il s’agit de s’en prendre à la religion catholique et à ses symboles.

Désormais la France fait face à deux ennemis intérieurs : le premier, en haut, par idéologie, veut gommer l’identité nationale et les frontières qui la protègent en prétendant que la France a une vocation universelle ; le second, en bas, modifie sourdement et localement les modes de vie…

Le conflit majeur de notre époque, en Occident, est celui du progressisme et du conservatisme.

Il faut que les Français perçoivent d’où vient la menace : elle sera plus présente avec Biden qu’avec Trump !

Contrairement à Reagan, qui avait endossé la tenue du président, Donald Trump est resté lui-même, abordant la seconde élection comme la première, alors qu’il n’était plus un opposant mais un sortant porteur d’un bilan et revêtu d’une responsabilité…

La mise sous surveillance des Français est en marche.

Le mot de « guerre » n’a pas été employé par hasard par Macron pour désigner l’épidémie du Covid-19.

Un Macron ne s’excuse jamais, puisqu’il ne se trompe jamais !

Depuis son arrivée à l’Élysée comme secrétaire général adjoint jusqu’à la présidence, avec un passage au ministère de l’Économie, M. Macron n’a survolé la France qu’à haute altitude…

Contrairement à ce qui a été martelé par les grands médias pendant quatre ans, l’homme dangereux à la tête des États-Unis n’était pas Trump, c’est aujourd’hui Biden.

La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…

Ils ont le droit de communiquer jusqu’au prosélytisme que les autres ont perdu.

Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.

Nous sommes en France aussi, peut-être non loin de Paris, mais nous sommes dans un autre pays, où ce sont les policiers qui ont peur et s’enfuient.

La scandaleuse dissolution de Génération identitaire coche aussi une case de la dictature.
Sommes-nous gouvernés ou trahis ?

Quelle est la cause de ce suicide lent et inexorable ? La trahison des élites !

On comprend que la dictature orwellienne qui entend imposer son lexique à la France qui pense soit offusquée par l’intrusion d’un mot qu’elle n’a pas produit.

Les Français seraient-ils d’impénitents monarchistes au pire sens du terme, n’attendant que le bon plaisir du prince et l’en félicitant lorsqu’il leur est favorable, en oubliant tous les précédents moins heureux ?

C’est une exigence de salut public que le macronisme soit chassé du pouvoir !

Les militants de Génération identitaire n’ont jamais été condamnés, ne prônent ni ne pratiquent la violence, contrairement aux groupuscules antifas ou aux Black Blocs auxquels on ne touche guère.

Quant à la France, elle pourrait aujourd’hui saisir l’occasion de ce trouble diplomatique européen pour se rapprocher de la Russie.

Le « prêchi-prêcha » laïque, avec ses sermons sur l’esprit républicain, sonne creux dans la tête de la plupart des jeunes de banlieue et beaucoup d’autres Français n’y attachent plus guère d’importance.

Un bel exemple de mensonge institutionnel.

Un gouvernement qui s’acharne contre les citoyens, et qui sévit contre ceux qui appellent l’État à remplir son devoir en contrôlant les frontières, comment le qualifier ?

Le gouvernement des juges face à un pouvoir politique démonétisé ne va ni dans le sens de la démocratie, puisque le peuple est tenu à l’écart de cette lutte sourde à l’intérieur de l’oligarchie, ni dans celui de la République, puisqu’il inverse la hiérarchie légitime des pouvoirs…

Voilà des décennies que de prétendues élites occupent le pouvoir en imposant leurs priorités à une France qui en crève.

On retiendra surtout la férocité des adversaires de Trump, qu’illustre l’acariâtre Nancy Pelosi tentant la destitution in extremis, et même post mortem

L’union de la gauche revivrait donc dès qu’il s’agit de s’en prendre à la religion catholique et à ses symboles.

Désormais la France fait face à deux ennemis intérieurs : le premier, en haut, par idéologie, veut gommer l’identité nationale et les frontières qui la protègent en prétendant que la France a une vocation universelle ; le second, en bas, modifie sourdement et localement les modes de vie…

Le conflit majeur de notre époque, en Occident, est celui du progressisme et du conservatisme.

Il faut que les Français perçoivent d’où vient la menace : elle sera plus présente avec Biden qu’avec Trump !

Contrairement à Reagan, qui avait endossé la tenue du président, Donald Trump est resté lui-même, abordant la seconde élection comme la première, alors qu’il n’était plus un opposant mais un sortant porteur d’un bilan et revêtu d’une responsabilité…

La mise sous surveillance des Français est en marche.

Le mot de « guerre » n’a pas été employé par hasard par Macron pour désigner l’épidémie du Covid-19.
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