Ce n’est pas tant la maladie et ses solutions thérapeutiques qui doivent attirer l’attention que l’état de délabrement de notre démocratie et de notre fameux État de droit.
L’homme qui doit diriger la France n’a pas à s’interroger sur ce que sont les Français. Un chef d’État n’est pas un sociologue.
Noël est une fête intensément identitaire, au croisement de la géographie, de l’histoire, de la culture et de la religion.
135 euros, aussi sec, si c’était Madame Michu !
Le bon sens n’est plus la chose la mieux partagée au monde…
…ce mot que Macron a évité d’employer pendant la plus grande partie de l’émission avec Brut.
Pourrait-on jurer qu’un certain nombre de décisions, d’autorisations, de préconisations, d’interdictions ne soient nullement liées à l’influence de l’industrie pharmaceutique ?
Le « comique » épinglé n’est pas un accident, c’est un symbole de l’orientation globale, à gauche toute, anti-catho, anti-flic, blottie dans un caniveau que des rires de potaches boutonneux éclaboussent par rafales.
Certaines banlieues sont perdues pour la République parce que le pouvoir a accepté qu’elles ne soient plus culturellement françaises.
Son mandat présente déjà tous les symptômes de la gouvernance suicidaire que subit la France depuis 1974.
À force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que, dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux.
Il faut en finir avec Schengen !
Selon un sondage exclusif établi par l’institut IFOP, 85 % des Français s’attendent à une explosion sociale dans les prochains mois dans le pays…
« Métro, boulot, dodo ». La trilogie perçue comme le venin des années 60 est devenue la potion d’aujourd’hui.
La démocratie ne peut s’accommoder des excès de surveillance lorsque ceux-ci débordent les besoins de l’ordre public, du respect de la loi et de la sécurité, lorsqu’ils empiètent sur les libertés personnelles fondamentales…
Le nouveau « sultan » a deux fers au feu : le rassemblement des Turcs jusqu’au cœur de l’Asie, d’où son intervention décisive auprès de l’Azerbaïdjan, et l’expansion islamiste…
On ne peut comprendre de Gaulle qu’en prenant conscience des deux idées maîtresses qui l’animaient : maintenir la France à la hauteur d’elle-même et tenir compte de la réalité fuyante du temps.
C’est alors que la divine surprise du Covid-19 survint pour les démocrates : la frousse individualiste a terrassé le courage collectif…
Le premier ennemi à vaincre est en nous-même : c’est l’idéologie qui nous pousse à sacrifier les droits réels des citoyens français au profit des droits formels d’étrangers qui ne se contentent pas d’une présence illégale ou hostile mais veulent maintenant imposer leur loi.
Si l’Occident en général et la France en particulier n’avaient pas cultivé un esprit de repentance…
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
Comment apprendre à accepter qu’on puisse rire de tout sans blesser ceux qui ont encore une vague idée du sacré, sans provoquer ceux pour qui cette vague idée est le ressort de leur ego identitaire ?
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Devant cette passivité à répétition de l’État face à la menace islamiste, les sempiternels et péremptoires discours de matamore sur la fermeté sont ridicules, sinon odieux, de la part de ceux qui, depuis longtemps, ouvrent à n’importe qui les frontières de la France…
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.
À Beyrouth, il fallait que les Libanais présentent, dans les 15 jours, et au garde-à-vous, un nouveau gouvernement. Ce n’est toujours pas le cas…
Notre pays offre, actuellement, une série d’exemples qui montrent que la vie d’une personne ne tire sa valeur que de trois critères extérieurs : la médiatisation, l’émotion et l’idéologie.
Cette culpabilisation d’un peuple, victime, par une oligarchie, coupable, brandissant le mot populisme comme une insulte et une condamnation, n’est pas un accident mais un processus : c’est exactement le même qui est utilisé actuellement dans la crise sanitaire.
Ce n’est pas tant la maladie et ses solutions thérapeutiques qui doivent attirer l’attention que l’état de délabrement de notre démocratie et de notre fameux État de droit.
L’homme qui doit diriger la France n’a pas à s’interroger sur ce que sont les Français. Un chef d’État n’est pas un sociologue.
Noël est une fête intensément identitaire, au croisement de la géographie, de l’histoire, de la culture et de la religion.
135 euros, aussi sec, si c’était Madame Michu !
Le bon sens n’est plus la chose la mieux partagée au monde…
…ce mot que Macron a évité d’employer pendant la plus grande partie de l’émission avec Brut.
Pourrait-on jurer qu’un certain nombre de décisions, d’autorisations, de préconisations, d’interdictions ne soient nullement liées à l’influence de l’industrie pharmaceutique ?
Le « comique » épinglé n’est pas un accident, c’est un symbole de l’orientation globale, à gauche toute, anti-catho, anti-flic, blottie dans un caniveau que des rires de potaches boutonneux éclaboussent par rafales.
Certaines banlieues sont perdues pour la République parce que le pouvoir a accepté qu’elles ne soient plus culturellement françaises.
Son mandat présente déjà tous les symptômes de la gouvernance suicidaire que subit la France depuis 1974.
À force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que, dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux.
Il faut en finir avec Schengen !
Selon un sondage exclusif établi par l’institut IFOP, 85 % des Français s’attendent à une explosion sociale dans les prochains mois dans le pays…
« Métro, boulot, dodo ». La trilogie perçue comme le venin des années 60 est devenue la potion d’aujourd’hui.
La démocratie ne peut s’accommoder des excès de surveillance lorsque ceux-ci débordent les besoins de l’ordre public, du respect de la loi et de la sécurité, lorsqu’ils empiètent sur les libertés personnelles fondamentales…
Le nouveau « sultan » a deux fers au feu : le rassemblement des Turcs jusqu’au cœur de l’Asie, d’où son intervention décisive auprès de l’Azerbaïdjan, et l’expansion islamiste…
On ne peut comprendre de Gaulle qu’en prenant conscience des deux idées maîtresses qui l’animaient : maintenir la France à la hauteur d’elle-même et tenir compte de la réalité fuyante du temps.
C’est alors que la divine surprise du Covid-19 survint pour les démocrates : la frousse individualiste a terrassé le courage collectif…
Le premier ennemi à vaincre est en nous-même : c’est l’idéologie qui nous pousse à sacrifier les droits réels des citoyens français au profit des droits formels d’étrangers qui ne se contentent pas d’une présence illégale ou hostile mais veulent maintenant imposer leur loi.
Si l’Occident en général et la France en particulier n’avaient pas cultivé un esprit de repentance…
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
Comment apprendre à accepter qu’on puisse rire de tout sans blesser ceux qui ont encore une vague idée du sacré, sans provoquer ceux pour qui cette vague idée est le ressort de leur ego identitaire ?
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Devant cette passivité à répétition de l’État face à la menace islamiste, les sempiternels et péremptoires discours de matamore sur la fermeté sont ridicules, sinon odieux, de la part de ceux qui, depuis longtemps, ouvrent à n’importe qui les frontières de la France…
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.
À Beyrouth, il fallait que les Libanais présentent, dans les 15 jours, et au garde-à-vous, un nouveau gouvernement. Ce n’est toujours pas le cas…
Notre pays offre, actuellement, une série d’exemples qui montrent que la vie d’une personne ne tire sa valeur que de trois critères extérieurs : la médiatisation, l’émotion et l’idéologie.
Cette culpabilisation d’un peuple, victime, par une oligarchie, coupable, brandissant le mot populisme comme une insulte et une condamnation, n’est pas un accident mais un processus : c’est exactement le même qui est utilisé actuellement dans la crise sanitaire.
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