Quand cette folie cessera-t-elle ?
La vigueur et le nombre des commissaires politiques qui réclament sa condamnation nous rappellent que la liberté de pensée ne cesse de reculer dans notre pays depuis des lustres.
La tentative du Président français d’échapper au brouillard « covidien » de la politique intérieure en s’ébrouant sur la scène internationale, de la Libye à l’Arménie, accroît malheureusement les doutes sur son inexpérience.
On le voit avec la loi Bioéthique. Les sénateurs, et singulièrement le président du Sénat, ont vocation à être les porte-parole de l’opposition lorsque cette dernière est écrasée à l’Assemblée, comme c’est le cas actuellement. Mais ce rôle demeure bien faible.
La loi avait été appliquée avec laxisme et sans provocation périlleuse. Et voilà qu’au nom de la sécurité, sanitaire cette fois, il devient impératif de se masquer et, donc, de cacher son identité.
La France est atteinte d’une maladie politique infiniment plus grave que le Covid-19 pour les Français.
Médiatiquement, le président turc devient une bonne cible.
Il ne suffit plus que le dominant cesse de dominer, il faut qu’il s’écrase, qu’il s’efface, qu’il soit à son tour dominé.
À Munich, siège de l’équipe victorieuse, rien de tel : on a fêté la victoire. À Paris, victoire ou défaite, on casse !
Les Français vont-ils accepter longtemps encore un pouvoir qui ne sait pas évaluer les véritables dangers et protéger véritablement toute la population ?
La Turquie semble vouloir étendre son influence sur son ancien empire, en flattant le nationalisme turc à l’intérieur et la solidarité islamique à l’extérieur.
Il est nécessaire de renverser la table, de procéder à une révolution conservatrice, si c’est encore possible.
Le communautarisme était évidemment un moindre mal, mais il condamne aujourd’hui le pays à l’impuissance du consensus impossible.
Plus les orages éclatent, plus le marchand de paratonnerres fait fortune.
L’idée stupide, antinationale, qui consiste à choisir Stora pour mener une mission « historienne » sur la colonisation et la guerre d’Algérie est le comble de la faute.
Curieusement, le technocrate sans expérience qui habite l’Élysée se révèle davantage comme un idéologue progressiste, sensible aux arguments gauchistes dès qu’il ne s’agit pas d’économie…
La voie du redressement, s’il est encore possible, n’est pas technique mais idéologique.
La France n’a pas construit assez de prisons. La surpopulation carcérale est due à cette insuffisance et non à la dureté des châtiments.
Chacun repart donc chez soi pour y chanter victoire tandis que tous les problèmes sont restés avec la poussière sous le tapis.
Et si, dans la guerre des civilisations, le vainqueur était l’Extrême-Orient ?
C’était une fête nationale au rabais.
Ce n’est pas très agréable, mais c’est une évidence !
Il y a dans ces choix une désinvolture qui confine au mépris.
Le problème posé par les « Noirs » comme ceux qui s’agitent autour de la famille Traoré n’est pas lié à la couleur de leur peau mais à des comportements qui témoignent d’une absence d’assimilation et même d’intégration à la nation française.
Notre société connaît une menace mortelle, c’est l’addition des communautés minoritaires unies pour renverser plus qu’un pays : une civilisation.
La vague verte n’est électoralement parlant qu’une vaguelette mais c’est un tsunami symbolique…
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Ces gens-là sont une élite de contrebande, un gratin faisandé, un sommet de la hiérarchie miné par la corruption et les conflits d’intérêts
Quand cette folie cessera-t-elle ?
La vigueur et le nombre des commissaires politiques qui réclament sa condamnation nous rappellent que la liberté de pensée ne cesse de reculer dans notre pays depuis des lustres.
La tentative du Président français d’échapper au brouillard « covidien » de la politique intérieure en s’ébrouant sur la scène internationale, de la Libye à l’Arménie, accroît malheureusement les doutes sur son inexpérience.
On le voit avec la loi Bioéthique. Les sénateurs, et singulièrement le président du Sénat, ont vocation à être les porte-parole de l’opposition lorsque cette dernière est écrasée à l’Assemblée, comme c’est le cas actuellement. Mais ce rôle demeure bien faible.
La loi avait été appliquée avec laxisme et sans provocation périlleuse. Et voilà qu’au nom de la sécurité, sanitaire cette fois, il devient impératif de se masquer et, donc, de cacher son identité.
La France est atteinte d’une maladie politique infiniment plus grave que le Covid-19 pour les Français.
Médiatiquement, le président turc devient une bonne cible.
Il ne suffit plus que le dominant cesse de dominer, il faut qu’il s’écrase, qu’il s’efface, qu’il soit à son tour dominé.
À Munich, siège de l’équipe victorieuse, rien de tel : on a fêté la victoire. À Paris, victoire ou défaite, on casse !
Les Français vont-ils accepter longtemps encore un pouvoir qui ne sait pas évaluer les véritables dangers et protéger véritablement toute la population ?
La Turquie semble vouloir étendre son influence sur son ancien empire, en flattant le nationalisme turc à l’intérieur et la solidarité islamique à l’extérieur.
Il est nécessaire de renverser la table, de procéder à une révolution conservatrice, si c’est encore possible.
Le communautarisme était évidemment un moindre mal, mais il condamne aujourd’hui le pays à l’impuissance du consensus impossible.
Plus les orages éclatent, plus le marchand de paratonnerres fait fortune.
L’idée stupide, antinationale, qui consiste à choisir Stora pour mener une mission « historienne » sur la colonisation et la guerre d’Algérie est le comble de la faute.
Curieusement, le technocrate sans expérience qui habite l’Élysée se révèle davantage comme un idéologue progressiste, sensible aux arguments gauchistes dès qu’il ne s’agit pas d’économie…
La voie du redressement, s’il est encore possible, n’est pas technique mais idéologique.
La France n’a pas construit assez de prisons. La surpopulation carcérale est due à cette insuffisance et non à la dureté des châtiments.
Chacun repart donc chez soi pour y chanter victoire tandis que tous les problèmes sont restés avec la poussière sous le tapis.
Et si, dans la guerre des civilisations, le vainqueur était l’Extrême-Orient ?
C’était une fête nationale au rabais.
Ce n’est pas très agréable, mais c’est une évidence !
Il y a dans ces choix une désinvolture qui confine au mépris.
Le problème posé par les « Noirs » comme ceux qui s’agitent autour de la famille Traoré n’est pas lié à la couleur de leur peau mais à des comportements qui témoignent d’une absence d’assimilation et même d’intégration à la nation française.
Notre société connaît une menace mortelle, c’est l’addition des communautés minoritaires unies pour renverser plus qu’un pays : une civilisation.
La vague verte n’est électoralement parlant qu’une vaguelette mais c’est un tsunami symbolique…
Ce mouvement, une fois encore généré par la folie américaine se répand en France jusqu’à l’absurde.
Ces gens-là sont une élite de contrebande, un gratin faisandé, un sommet de la hiérarchie miné par la corruption et les conflits d’intérêts
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