Le désir d’abattre les statues qui jalonnent l’histoire de notre pays atteint le paroxysme de ce mouvement suicidaire…
Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.
C’est cet esprit nourri de ce « riche legs de souvenirs », comme l’écrivait Renan, qui doit nous animer.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Ainsi, une revue étrangère avait conduit le ministre d’un grand pays soi-disant doté du meilleur système de santé du monde… à prendre une décision précipitée d’ignorant pressé.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.
…une théâtrocratie narcissique qui, à travers ses virages et ses mirages, parvient avec virtuosité à conduire la France… droit dans le mur.
Quant au retraité qui a perdu la vie parce que ce type n’a pas été puni dès le début de ses méfaits, aucune importance…
Durant la crise sanitaire, l’ignorance et le mépris du peuple se sont affichés sans vergogne, sans doute par aveuglement.
On ne parle pas, en Allemagne, de « couple franco-allemand ». Cette expression relève d’un fantasme devenue une lubie de ce côté-ci de la frontière.
La peur est, sous différentes formes, la marque principale de notre époque.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Il fut un temps où le bon sens approuvait l’idée que chaque État, prioritairement, devait accorder une attention particulière à ses ressortissants, bref, une préférence nationale, parce que, dans le fond, c’était son « boulot ».
La loi du 23 mars confère à l’exécutif le pouvoir de limiter les libertés individuelles et collectives et, donc, écorne sérieusement l’État de droit dont on nous rebat les oreilles en pointant d’un doigt accusateur les prétendus régimes « illibéraux ».
L’État a récupéré la catastrophe pour en faire un instrument de son autorité et de son rôle de sauveur suprême.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
Faute de combattre la maladie avec une stratégie claire, une thérapeutique efficace, on a seulement pratiqué une gestion hôtelière de la maladie…
Lorsque la parenthèse du virus se refermera, il faudrait que les Français se rendent compte qu’il sont en guerre et contre de véritables ennemis.
On sent sur la pandémie se projeter un conflit idéologique, pour le coup virulent, qui n’a pas grand-chose à voir avec la science, comme si le simulacre du jeu politique cachait la vérité scientifique, laquelle n’est d’ailleurs pas clairement établie.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
M. Macron a parlé de transparence. Rien de plus opaque qu’un écran occupé par un homme seul !
Il y a un an, quelques jours avant Pâques, la cathédrale Notre-Dame de Paris, symbole de l’union profonde de la France et du catholicisme, brûlait. Peut-être était-ce là le signe d’un pays qui abandonne une identité avant tout spirituelle ?
La guerre civile a-t-elle sa place dans la guerre contre l’ennemi ? Les retards mis dans les soins et les morts qu’ils peuvent entraîner sont criminels.
Le sommet du grotesque sera atteint lorsque, les masques enfin disponibles, la police verbalisera les gens qui n’en porteront pas avec plus d’intransigeance qu’elle n’en met pour les porteuses de voile intégral.
Cette politique de Gribouille aura deux conséquences désastreuses : la mise en sommeil de notre économie et celle de nos libertés.
Le désir d’abattre les statues qui jalonnent l’histoire de notre pays atteint le paroxysme de ce mouvement suicidaire…
Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.
C’est cet esprit nourri de ce « riche legs de souvenirs », comme l’écrivait Renan, qui doit nous animer.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
On se rappelle avec quelle sévérité étaient traités les instigateurs des manifestations de gilets jaunes ! Quel effondrement intellectuel et moral peut-il conduire des ministres à dissoudre la loi, l’ordre, la raison dans le bain de l’émotion ?
Il s’agit, bien sûr, du racisme blanc contre les Noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui, décidément, ne vaudrait plus rien.
Ainsi, une revue étrangère avait conduit le ministre d’un grand pays soi-disant doté du meilleur système de santé du monde… à prendre une décision précipitée d’ignorant pressé.
Alors même que l’antiracisme est devenu obsessionnel dans un pays qui ignorait les races, on assiste à un double mouvement fondé sur une transposition de la situation américaine.
…une théâtrocratie narcissique qui, à travers ses virages et ses mirages, parvient avec virtuosité à conduire la France… droit dans le mur.
Quant au retraité qui a perdu la vie parce que ce type n’a pas été puni dès le début de ses méfaits, aucune importance…
Durant la crise sanitaire, l’ignorance et le mépris du peuple se sont affichés sans vergogne, sans doute par aveuglement.
On ne parle pas, en Allemagne, de « couple franco-allemand ». Cette expression relève d’un fantasme devenue une lubie de ce côté-ci de la frontière.
La peur est, sous différentes formes, la marque principale de notre époque.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Il fut un temps où le bon sens approuvait l’idée que chaque État, prioritairement, devait accorder une attention particulière à ses ressortissants, bref, une préférence nationale, parce que, dans le fond, c’était son « boulot ».
La loi du 23 mars confère à l’exécutif le pouvoir de limiter les libertés individuelles et collectives et, donc, écorne sérieusement l’État de droit dont on nous rebat les oreilles en pointant d’un doigt accusateur les prétendus régimes « illibéraux ».
L’État a récupéré la catastrophe pour en faire un instrument de son autorité et de son rôle de sauveur suprême.
Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades…
Faute de combattre la maladie avec une stratégie claire, une thérapeutique efficace, on a seulement pratiqué une gestion hôtelière de la maladie…
Lorsque la parenthèse du virus se refermera, il faudrait que les Français se rendent compte qu’il sont en guerre et contre de véritables ennemis.
On sent sur la pandémie se projeter un conflit idéologique, pour le coup virulent, qui n’a pas grand-chose à voir avec la science, comme si le simulacre du jeu politique cachait la vérité scientifique, laquelle n’est d’ailleurs pas clairement établie.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
M. Macron a parlé de transparence. Rien de plus opaque qu’un écran occupé par un homme seul !
Il y a un an, quelques jours avant Pâques, la cathédrale Notre-Dame de Paris, symbole de l’union profonde de la France et du catholicisme, brûlait. Peut-être était-ce là le signe d’un pays qui abandonne une identité avant tout spirituelle ?
La guerre civile a-t-elle sa place dans la guerre contre l’ennemi ? Les retards mis dans les soins et les morts qu’ils peuvent entraîner sont criminels.
Le sommet du grotesque sera atteint lorsque, les masques enfin disponibles, la police verbalisera les gens qui n’en porteront pas avec plus d’intransigeance qu’elle n’en met pour les porteuses de voile intégral.
Cette politique de Gribouille aura deux conséquences désastreuses : la mise en sommeil de notre économie et celle de nos libertés.
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