Christian Vanneste
Homme politique - Ancien député UMP, Président du Rassemblement pour la France, Président de La Droite Libre
La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !
Nous sommes en train de redécouvrir la valeur des frontières et des distances. Le virus ne vient pas tout seul et sans passeport.
La France, grande puissance, pays riche, menait une lutte médiévale destinée à ralentir la propagation…
En fait, le confinement, c’est notre ligne Maginot. Cela peut bloquer l’ennemi, le ralentir, mais cela ne peut le vaincre.
Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance.
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
Manifestement, le pouvoir actuel n’a pas réussi à implanter un parti qui lui soit propre…
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Les maires qui ont été élus en 2014 avec l’étiquette républicaine et qui ont rejoint Macron ont fait preuve d’une malhonnêteté intellectuelle qui doit être sanctionnée.
Lorsqu’un pays déborde de richesses naturelles, les risques de corruption, de sécession, de violences internes et de conflits avec des voisins hostiles s’accroissent.
Quel retour ! Celui de l’ordre moral !
La Grèce est la mère de l’Europe. Il faut encourager et soutenir sa fermeté face à l’invasion !
Quant à nos gouvernants, membres de l’OTAN et de l’UE, s’ils avaient un peu de cette force de caractère qui anime les deux protagonistes, ils devraient exclure la Turquie de l’OTAN, bloquer résolument les frontières et cesser de verser une rançon.
La Russie soutient l’État syrien et sa souveraineté. Les Occidentaux et les Turcs leur portent atteinte : curieux renversement des principes depuis la guerre froide.
Par une belle ironie de l’Histoire, il est aujourd’hui facile de montrer qu’il n’y a peut-être pas, en Europe, de démocratie plus illibérale que la France.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
La Turquie est toujours nationaliste, mais elle se réapproprie l’islamisme, celui des Frères musulmans…
Parce qu’un homme politique de premier plan a eu un comportement d’adolescent boutonneux un rien pervers, certains exigent de resserrer un peu plus l’espace de liberté que constituent les réseaux sociaux.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Le printemps arabe a été une supercherie…
Il est temps, pour la France, de prendre conscience que ses intérêts convergent avec la politique russe et sont en tous points opposés à ceux de la Turquie.
Ceux qui applaudissent en disant « enfin » ne se rendent pas compte qu’il est trop tard et que cette poudre aux yeux de la communication n’aura pas le moindre impact sur la réalité.
On peut difficilement être plus mauvais !
Le double langage et la double vie font partie, au contraire, de l’entre-soi de la caste au pouvoir et de son mépris pour le peuple.
Rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.
Le désenchantement est profond.
Derrière le sursaut et la petite victoire de la liberté d’expression, on devine trop la confusion qui règne dans notre société. Celle-ci devrait connaître une profonde révolution, une révolution conservatrice, si elle veut survivre.
Mme Belloubet, en prétendant que l’injure envers une religion portait « atteinte à la liberté de conscience », commet un gigantesque contresens qui devrait faire de sa présence au ministère de la Justice un scandale.
La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !
Nous sommes en train de redécouvrir la valeur des frontières et des distances. Le virus ne vient pas tout seul et sans passeport.
La France, grande puissance, pays riche, menait une lutte médiévale destinée à ralentir la propagation…
En fait, le confinement, c’est notre ligne Maginot. Cela peut bloquer l’ennemi, le ralentir, mais cela ne peut le vaincre.
Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance.
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
Manifestement, le pouvoir actuel n’a pas réussi à implanter un parti qui lui soit propre…
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Les maires qui ont été élus en 2014 avec l’étiquette républicaine et qui ont rejoint Macron ont fait preuve d’une malhonnêteté intellectuelle qui doit être sanctionnée.
Lorsqu’un pays déborde de richesses naturelles, les risques de corruption, de sécession, de violences internes et de conflits avec des voisins hostiles s’accroissent.
Quel retour ! Celui de l’ordre moral !
La Grèce est la mère de l’Europe. Il faut encourager et soutenir sa fermeté face à l’invasion !
Quant à nos gouvernants, membres de l’OTAN et de l’UE, s’ils avaient un peu de cette force de caractère qui anime les deux protagonistes, ils devraient exclure la Turquie de l’OTAN, bloquer résolument les frontières et cesser de verser une rançon.
La Russie soutient l’État syrien et sa souveraineté. Les Occidentaux et les Turcs leur portent atteinte : curieux renversement des principes depuis la guerre froide.
Par une belle ironie de l’Histoire, il est aujourd’hui facile de montrer qu’il n’y a peut-être pas, en Europe, de démocratie plus illibérale que la France.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
La Turquie est toujours nationaliste, mais elle se réapproprie l’islamisme, celui des Frères musulmans…
Parce qu’un homme politique de premier plan a eu un comportement d’adolescent boutonneux un rien pervers, certains exigent de resserrer un peu plus l’espace de liberté que constituent les réseaux sociaux.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Le printemps arabe a été une supercherie…
Il est temps, pour la France, de prendre conscience que ses intérêts convergent avec la politique russe et sont en tous points opposés à ceux de la Turquie.
Ceux qui applaudissent en disant « enfin » ne se rendent pas compte qu’il est trop tard et que cette poudre aux yeux de la communication n’aura pas le moindre impact sur la réalité.
On peut difficilement être plus mauvais !
Le double langage et la double vie font partie, au contraire, de l’entre-soi de la caste au pouvoir et de son mépris pour le peuple.
Rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.
Le désenchantement est profond.
Derrière le sursaut et la petite victoire de la liberté d’expression, on devine trop la confusion qui règne dans notre société. Celle-ci devrait connaître une profonde révolution, une révolution conservatrice, si elle veut survivre.
Mme Belloubet, en prétendant que l’injure envers une religion portait « atteinte à la liberté de conscience », commet un gigantesque contresens qui devrait faire de sa présence au ministère de la Justice un scandale.
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