Après la chaîne CNews, est-ce au tour de la radio Europe 1 de tomber dans l’escarcelle de Vincent Bolloré ? Quelle impact sur le paysage
Vous sortez un opuscule sur le médiatique Yann Barthès, animateur de « Quotidien » et anciennement du « Petit Journal » de Canal+, Yann Barthès,
L’avalanche de faits divers signale que la température du réel sociétal monte.
Dans un grand quotidien provincial, un ancien rédacteur de l’Observatoire du journalisme me signale qu’en conférence de rédaction, une question revient régulièrement : « Cette information pourrait-elle favoriser le Rassemblement national ? » Si la réponse est oui, l’information est édulcorée ou elle passe à la trappe.
On entend quelques voix timides demandant un retour à des règles déontologiques simples : le respect du réel et du public.
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
L’objectif : couper les vivres à tout ce qui n’est pas au côté du monde libéral libertaire dont ils défendent les valeurs et les intérêts.
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Le site de l’Observatoire du journalisme (OJIM) a subi, la semaine dernière, une attaque informatique le rendant indisponible pendant presque 24 heures. Auparavant, sans que puisse
La question que l’on devrait se poser, c’est pourquoi, en 2018, il faut aller sur une chaîne russe pour pouvoir faire une vraie émission culturelle avec de vrais débats.
La crise de la presse écrite précipite, en France, la concentration du secteur privé de l’information dans les mains d’une dizaine de groupes financiers.
La volonté de l’Élysée de choisir les journalistes accompagnant Emmanuel Macron pour son premier voyage a provoqué une levée de boucliers.
Après la chaîne CNews, est-ce au tour de la radio Europe 1 de tomber dans l’escarcelle de Vincent Bolloré ? Quelle impact sur le paysage
Vous sortez un opuscule sur le médiatique Yann Barthès, animateur de « Quotidien » et anciennement du « Petit Journal » de Canal+, Yann Barthès,
L’avalanche de faits divers signale que la température du réel sociétal monte.
Dans un grand quotidien provincial, un ancien rédacteur de l’Observatoire du journalisme me signale qu’en conférence de rédaction, une question revient régulièrement : « Cette information pourrait-elle favoriser le Rassemblement national ? » Si la réponse est oui, l’information est édulcorée ou elle passe à la trappe.
On entend quelques voix timides demandant un retour à des règles déontologiques simples : le respect du réel et du public.
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
L’objectif : couper les vivres à tout ce qui n’est pas au côté du monde libéral libertaire dont ils défendent les valeurs et les intérêts.
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Le site de l’Observatoire du journalisme (OJIM) a subi, la semaine dernière, une attaque informatique le rendant indisponible pendant presque 24 heures. Auparavant, sans que puisse
La question que l’on devrait se poser, c’est pourquoi, en 2018, il faut aller sur une chaîne russe pour pouvoir faire une vraie émission culturelle avec de vrais débats.
La crise de la presse écrite précipite, en France, la concentration du secteur privé de l’information dans les mains d’une dizaine de groupes financiers.
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