Comme le laissait présager la présence du logo sur la présentation, le cours dispensé s’apparente alors davantage à un colloque militant qu’à une formation scientifique.
Nicolas Daragon, maire de Valence (LR) et proche de Laurent Wauquiez, continue de soutenir son conseiller municipal.
Leur objectif ? Accuser publiquement le gouvernement d’« inaction climatique ».
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Après la partie de Monopoly d’Olivier Faure et le clip déroutant sur les difficultés des Français, le Parti socialiste semblait avoir touché le fond dès les premiers jours de l’année 2023. C’était sans compter sur l’inventivité de la majorité municipale de Pantin.
Dans le Vaucluse, même si le logo de BarakaCity a été soigneusement effacé de la nouvelle affiche, la réunion continue donc d’inquiéter.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Après la grève des contrôleurs autour du week-end de Noël, des usagers, lassés par les mouvements de grève à répétition de la SNCF, décident de se rebeller.
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.
« Laisser notre patrimoine à l’abandon, c’est perdre notre identité, perdre notre mémoire […] et une part de notre histoire », dit Stéphane Bern.
Le changement de stratégie du gouvernement laisse donc perplexe. Quelles sont les contreparties du rétablissement des visas ?
Le RN refuse-t-il de « mettre fin aux ingérences étrangères », comme l’affirme Valérie Hayer, coprésidente de Europe Ensemble ? Radiographie d’un gros mensonge.
L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.
Si certains enseignants ne sont pas en reste pour promouvoir l’idéologie LGBT auprès de leurs élèves, ils peuvent compter sur le soutien de militants qui ont dorénavant l’autorisation de pénétrer au sein des établissements.
Au-delà de l’importance sportive de cette rencontre, ces deux joueurs de haut niveau incarnent deux France qui se font face, l’une discrète et patriote, l’autre issue d’une immigration non assimilée.
Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.
Face à l’emballement médiatique et politique, la parole se libère au sein de Sciences Po.
Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.
« À 53 ans, je n’ai jamais été féministe mais je vais le devenir »
Ces personnalités, parce que issues de l’immigration, devraient forcément encourager l’ouverture des frontières et accueillir généreusement tout étranger.
Derrière les épais murs de pierre de la cathédrale, c’est un chantier titanesque, invisible aux yeux des Parisiens, qui se développe depuis plus de trois ans.
Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe.
C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.
Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
En seulement deux décennies, la proportion de citoyens belges d’origine belge n’a eu de cesse de diminuer : de 81,2 % en 2002, elle est aujourd’hui tombée à 66,6 %.
Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.
Comme le laissait présager la présence du logo sur la présentation, le cours dispensé s’apparente alors davantage à un colloque militant qu’à une formation scientifique.
Nicolas Daragon, maire de Valence (LR) et proche de Laurent Wauquiez, continue de soutenir son conseiller municipal.
Leur objectif ? Accuser publiquement le gouvernement d’« inaction climatique ».
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Après la partie de Monopoly d’Olivier Faure et le clip déroutant sur les difficultés des Français, le Parti socialiste semblait avoir touché le fond dès les premiers jours de l’année 2023. C’était sans compter sur l’inventivité de la majorité municipale de Pantin.
Dans le Vaucluse, même si le logo de BarakaCity a été soigneusement effacé de la nouvelle affiche, la réunion continue donc d’inquiéter.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Après la grève des contrôleurs autour du week-end de Noël, des usagers, lassés par les mouvements de grève à répétition de la SNCF, décident de se rebeller.
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Si la radicalisation reste (encore) une exception, l’islamisme, lui, séduit de plus en plus les adolescents.
« Laisser notre patrimoine à l’abandon, c’est perdre notre identité, perdre notre mémoire […] et une part de notre histoire », dit Stéphane Bern.
Le changement de stratégie du gouvernement laisse donc perplexe. Quelles sont les contreparties du rétablissement des visas ?
Le RN refuse-t-il de « mettre fin aux ingérences étrangères », comme l’affirme Valérie Hayer, coprésidente de Europe Ensemble ? Radiographie d’un gros mensonge.
L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.
Si certains enseignants ne sont pas en reste pour promouvoir l’idéologie LGBT auprès de leurs élèves, ils peuvent compter sur le soutien de militants qui ont dorénavant l’autorisation de pénétrer au sein des établissements.
Au-delà de l’importance sportive de cette rencontre, ces deux joueurs de haut niveau incarnent deux France qui se font face, l’une discrète et patriote, l’autre issue d’une immigration non assimilée.
Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.
Face à l’emballement médiatique et politique, la parole se libère au sein de Sciences Po.
Plus que jamai, les enseignants craignent pour leur vie.
« À 53 ans, je n’ai jamais été féministe mais je vais le devenir »
Ces personnalités, parce que issues de l’immigration, devraient forcément encourager l’ouverture des frontières et accueillir généreusement tout étranger.
Derrière les épais murs de pierre de la cathédrale, c’est un chantier titanesque, invisible aux yeux des Parisiens, qui se développe depuis plus de trois ans.
Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe.
C’est ce que semblent souhaiter une très grande majorité (71 %) des Français.
Cette fin de la chrétienté majoritaire s’accompagne, d’une part, d’une hausse spectaculaire de l’athéisme sur le sol anglais (+12,5 points en dix ans) et, d’autre part, d’une progression continue de la religion musulmane.
L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction.
En seulement deux décennies, la proportion de citoyens belges d’origine belge n’a eu de cesse de diminuer : de 81,2 % en 2002, elle est aujourd’hui tombée à 66,6 %.
Depuis quelques mois, l’affaire semblait enterrée. Mais dans la plus grande discrétion, le PNF enquêtait.
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