Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…
L’Albanie, la Bosnie, le Kosovo, la Macédoine, le Monténégro et la Serbie.
Les missions de ces associations dites « d’intérêt public » n’ont quasiment aucun intérêt pour 90 % de la population.
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?

Emmanuel Macron ne chercherait-t-il tout simplement pas à assouvir ses propres fantasmes, soit devenir le premier président de l’Europe ?
Le projet de loi sur le terrorisme présenté à l’Assemblée nationale est insuffisant.
Lui qui se faisait fort d’être un chef de l’État pédagogue, capable d’expliciter ses réformes, s’enferme comme ses prédécesseurs dans une opacité coupable.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
L’Europe a subi pas moins de dix-sept attentats de grande ampleur en deux ans.

Emmanuel Macron a déjà perdu dix points de popularité en l’espace d’à peine un petit mois. L’état de grâce n’aura donc duré qu’un temps.

Depuis l’affaire Merah, nous savons qu’une armée attend sur notre sol.

Véritable poudrière, cette région de notre continent ne s’est toujours pas remise des conflits qui ont conduit au démantèlement de feu la Yougoslavie.
Pour 65 % des Français, il y a trop d’étrangers dans notre pays.

Il faut croire que l’intrigue paie dans ce pays, tant le nouveau pouvoir qui se dessine présentement semble déconnecté des attentes réelles du pays.
Le défi démographique est la tâche la plus importante qui attend la France et l’Europe.
Il convient de prendre conscience du danger posé par une jeunesse immigrée de plus en plus radicalisée.
La France est dans une situation chaotique. Quatre solutions s’offrent aux électeurs.

L’incendie du camp de Grande-Synthe, en début de semaine, illustre l’échec de l’exécutif socialiste dans la lutte contre l’immigration de masse.
Il faut lire le détail du programme d’Emmanuel Macron pour prendre conscience de son inanité.
Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…
L’Albanie, la Bosnie, le Kosovo, la Macédoine, le Monténégro et la Serbie.
Les missions de ces associations dites « d’intérêt public » n’ont quasiment aucun intérêt pour 90 % de la population.
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?

Emmanuel Macron ne chercherait-t-il tout simplement pas à assouvir ses propres fantasmes, soit devenir le premier président de l’Europe ?
Le projet de loi sur le terrorisme présenté à l’Assemblée nationale est insuffisant.
Lui qui se faisait fort d’être un chef de l’État pédagogue, capable d’expliciter ses réformes, s’enferme comme ses prédécesseurs dans une opacité coupable.
Le président de la Commission veut proposer, pour lutter contre les flux de « migrants », la création de « voies de migration légales » !
L’Europe a subi pas moins de dix-sept attentats de grande ampleur en deux ans.

Emmanuel Macron a déjà perdu dix points de popularité en l’espace d’à peine un petit mois. L’état de grâce n’aura donc duré qu’un temps.

Depuis l’affaire Merah, nous savons qu’une armée attend sur notre sol.

Véritable poudrière, cette région de notre continent ne s’est toujours pas remise des conflits qui ont conduit au démantèlement de feu la Yougoslavie.
Pour 65 % des Français, il y a trop d’étrangers dans notre pays.

Il faut croire que l’intrigue paie dans ce pays, tant le nouveau pouvoir qui se dessine présentement semble déconnecté des attentes réelles du pays.
Le défi démographique est la tâche la plus importante qui attend la France et l’Europe.
Il convient de prendre conscience du danger posé par une jeunesse immigrée de plus en plus radicalisée.
La France est dans une situation chaotique. Quatre solutions s’offrent aux électeurs.

L’incendie du camp de Grande-Synthe, en début de semaine, illustre l’échec de l’exécutif socialiste dans la lutte contre l’immigration de masse.
Il faut lire le détail du programme d’Emmanuel Macron pour prendre conscience de son inanité.
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