
Les infos kebab que je vous rapporte ne proviennent ni de Béziers ni de Benoît Hamon, mais de Pau, la bonne ville du bon roi

Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.

LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.

S’il en va ainsi dans une petite ville de 20.000 habitants, que penser de la situation de nos banlieues ?

S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…

Dès qu’il y a le feu, vite, un général !

Stanislas Guerini ? Un fusible tout neuf pour remettre la lumière à Matignon.

Dans ce bel unanimisme, une voix discordante s’est élevée…

C’est aussi une tension nouvelle, potentiellement dangereuse, entre la police et des pans entiers de la société qui lui étaient spontanément favorables.

Devant leur Arc de Triomphe détruit, ils n’ont eu qu’un mot : « on va construire Notre-Dame ».

Quel déploiement si, un jour, les choses – celles-ci ou d’autres – devenaient vraiment plus graves ?

Un mouvement populaire (dans tous les sens du terme) sans chef et sans ligne, ça attire forcément les chefs et les lignes sans peuple.
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.

Désormais, le mouvement des gilets jaunes est mis en demeure, par sa nature même, de se réinventer, et dans ses revendications, et dans ses modes d’action, et dans sa stratégie vis-à-vis du pouvoir.

Comme on est loin de certaines échauffourées urbaines.
Lanceuse d’alerte ou danseuse alerte ?

On peut aussi rechercher des solutions concrètes et efficaces qui tiendraient compte de ces réalités que toutes les études montrent, loin des incantations.

Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.

Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…

Tous ces leaders-là, chacun avec ses postures, ne sont pas très sérieux.

Combien de samedis ?
Avant d’exploser en novembre, il y avait eu des alertes en janvier, en mars, en juin et en août. Il aurait pu décider une modulation, une décentralisation, un moratoire sur les radars.

Le feu de novembre-décembre est retombé, mais les braises sont vives.

C’est curieux, à l’heure où toutes les activités humaines sont passées au crible de l’écologie. Une seule y échappe, bénéficiant d’un sauf-conduit : l’immigration.

Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.

Et nous avons compris que Chérif Chekatt n’avait pas attendu la prison pour se radicaliser…

Le parti du Président est contraint de reculer partout. Et ce n’est peut-être que le début.

L’autre originalité de cette révolution des ronds-points, c’est la libération de la parole.

Les infos kebab que je vous rapporte ne proviennent ni de Béziers ni de Benoît Hamon, mais de Pau, la bonne ville du bon roi

Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.

LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.

S’il en va ainsi dans une petite ville de 20.000 habitants, que penser de la situation de nos banlieues ?

S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…

Dès qu’il y a le feu, vite, un général !

Stanislas Guerini ? Un fusible tout neuf pour remettre la lumière à Matignon.

Dans ce bel unanimisme, une voix discordante s’est élevée…

C’est aussi une tension nouvelle, potentiellement dangereuse, entre la police et des pans entiers de la société qui lui étaient spontanément favorables.

Devant leur Arc de Triomphe détruit, ils n’ont eu qu’un mot : « on va construire Notre-Dame ».

Quel déploiement si, un jour, les choses – celles-ci ou d’autres – devenaient vraiment plus graves ?

Un mouvement populaire (dans tous les sens du terme) sans chef et sans ligne, ça attire forcément les chefs et les lignes sans peuple.
Le symbole est puissant, sur ce rond-point de l’Olivier, du nom d’Olivier Daurelle, gilet jaune villeneuvois décédé en décembre.

Désormais, le mouvement des gilets jaunes est mis en demeure, par sa nature même, de se réinventer, et dans ses revendications, et dans ses modes d’action, et dans sa stratégie vis-à-vis du pouvoir.

Comme on est loin de certaines échauffourées urbaines.
Lanceuse d’alerte ou danseuse alerte ?

On peut aussi rechercher des solutions concrètes et efficaces qui tiendraient compte de ces réalités que toutes les études montrent, loin des incantations.

Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.

Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…

Tous ces leaders-là, chacun avec ses postures, ne sont pas très sérieux.

Combien de samedis ?
Avant d’exploser en novembre, il y avait eu des alertes en janvier, en mars, en juin et en août. Il aurait pu décider une modulation, une décentralisation, un moratoire sur les radars.

Le feu de novembre-décembre est retombé, mais les braises sont vives.

C’est curieux, à l’heure où toutes les activités humaines sont passées au crible de l’écologie. Une seule y échappe, bénéficiant d’un sauf-conduit : l’immigration.

Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.

Et nous avons compris que Chérif Chekatt n’avait pas attendu la prison pour se radicaliser…

Le parti du Président est contraint de reculer partout. Et ce n’est peut-être que le début.

L’autre originalité de cette révolution des ronds-points, c’est la libération de la parole.
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