Des candidats issus de la vie civile, novices en politique, ont décidé de se lancer dans l’arène. Avec des étiquettes (très) lourdes à porter et des chances (très) incertaines. Tout à perdre, rien à gagner. Masochistes ? Non, amoureux de la France,
Ils sont moins d’un millier en France. Essentiellement ruraux, ils approvisionnent les pompiers, les infirmières, les agriculteurs, les retraités isolés, les commerciaux en déplacement sur
La politique se niche aujourd’hui à peu près partout, sauf dans les isoloirs.
Comment viser des islamistes quand ils sont étroitement mêlés à la population ? Si on renonce à les éliminer, c’est un échec. Si on les élimine, et avec eux les innocents qui les entourent, c’est aussi, bien sûr, un échec.
Comme les Sleeping Giants, il est le bras armé numérique de la gauche morale, mais dans un autre registre. Comme son nom l’indique, il « balance ».
Dans un courrier lapidaire, elle rend hommage au « courage » et à « l’abnégation » des forces de l’ordre, comprend leur révolte et fustige « un Castaner lamentable soutenu par un Macron soumis »…
Pourquoi les médias restent-ils si discrets sur cette information qui sonne « la fin de partie », pour reprendre une expression devenue célèbre, de cette vaste fumisterie ?
Mazette, il est tombé sur le serre-tête !
Il est encore des hommes humblement héroïques capables de sauver leur épouse au péril de leur vie. Preuve, peut-être, que tout n’est pas fini ?
Nous les avons guillotinés ? Pourtant, les princes qui nous restent semblent avoir fichtrement plus la tête sur les épaules que bien de leurs royaux cousins.
Du côté de la classe politique, on s’inquiète beaucoup… du bénéfice électoral que pourrait en retirer l’AfD !
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Et si on arrêtait, comme disait Pompidou, d’emmerder les Français ?
Et s’il fallait absolument construire, pourquoi s’être échiné à reproduire les centres commerciaux de la ZAC d’à côté ?
Le nom, finalement, ne va pas si mal à ce laboratoire urbain de la diversité heureuse : tout y est cul par-dessus tête.
Il est le premier chasseur de « fake news », et ce, depuis dix ans. À l’époque, on parlait le franchouillard et non le globish. On appelait ça, bêtement, des bobards.
On dit parfois que la France des gilets jaunes, c’est la France de Johnny, mais c’est sans doute aussi celle de Bardot.
Va-t-il ainsi, jusqu’au bout, empoisonner ce quinquennat à dose filée ?
Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.
Certains, dans ces colonnes, critiquent avec le dédain du propriétaire terrien mon nid, ma tanière, mon cocon…
Je ne sais pas, vous, mais toute cette série Plus moche la vie commence à me fatiguer.
Marion, le retour. Tous aux abris, sauve qui peut. Elle n’est pas franchement gaulée comme Schwarzy ou Stallone, mais c’est du pareil au même.
Il faut le savoir, quand on déçoit Bardot, ça peut barder.
Des candidats issus de la vie civile, novices en politique, ont décidé de se lancer dans l’arène. Avec des étiquettes (très) lourdes à porter et des chances (très) incertaines. Tout à perdre, rien à gagner. Masochistes ? Non, amoureux de la France,
Ils sont moins d’un millier en France. Essentiellement ruraux, ils approvisionnent les pompiers, les infirmières, les agriculteurs, les retraités isolés, les commerciaux en déplacement sur
La politique se niche aujourd’hui à peu près partout, sauf dans les isoloirs.
Comment viser des islamistes quand ils sont étroitement mêlés à la population ? Si on renonce à les éliminer, c’est un échec. Si on les élimine, et avec eux les innocents qui les entourent, c’est aussi, bien sûr, un échec.
Comme les Sleeping Giants, il est le bras armé numérique de la gauche morale, mais dans un autre registre. Comme son nom l’indique, il « balance ».
Dans un courrier lapidaire, elle rend hommage au « courage » et à « l’abnégation » des forces de l’ordre, comprend leur révolte et fustige « un Castaner lamentable soutenu par un Macron soumis »…
Pourquoi les médias restent-ils si discrets sur cette information qui sonne « la fin de partie », pour reprendre une expression devenue célèbre, de cette vaste fumisterie ?
Mazette, il est tombé sur le serre-tête !
Il est encore des hommes humblement héroïques capables de sauver leur épouse au péril de leur vie. Preuve, peut-être, que tout n’est pas fini ?
Nous les avons guillotinés ? Pourtant, les princes qui nous restent semblent avoir fichtrement plus la tête sur les épaules que bien de leurs royaux cousins.
Du côté de la classe politique, on s’inquiète beaucoup… du bénéfice électoral que pourrait en retirer l’AfD !
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Et si on arrêtait, comme disait Pompidou, d’emmerder les Français ?
Et s’il fallait absolument construire, pourquoi s’être échiné à reproduire les centres commerciaux de la ZAC d’à côté ?
Le nom, finalement, ne va pas si mal à ce laboratoire urbain de la diversité heureuse : tout y est cul par-dessus tête.
Il est le premier chasseur de « fake news », et ce, depuis dix ans. À l’époque, on parlait le franchouillard et non le globish. On appelait ça, bêtement, des bobards.
On dit parfois que la France des gilets jaunes, c’est la France de Johnny, mais c’est sans doute aussi celle de Bardot.
Va-t-il ainsi, jusqu’au bout, empoisonner ce quinquennat à dose filée ?
Ça suffit comme ça, on veut appeler un chat un chat.
Certains, dans ces colonnes, critiquent avec le dédain du propriétaire terrien mon nid, ma tanière, mon cocon…
Je ne sais pas, vous, mais toute cette série Plus moche la vie commence à me fatiguer.
Marion, le retour. Tous aux abris, sauve qui peut. Elle n’est pas franchement gaulée comme Schwarzy ou Stallone, mais c’est du pareil au même.
Il faut le savoir, quand on déçoit Bardot, ça peut barder.
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