C’est l’armée qui devrait être envoyée dans ces territoires perdus de la République.
Après celui ouvert par l’incroyable entretien qu’Agnès Buzyn a accordé au Monde…
Il y a quelques mois, Emmanuel Macron nous faisait peur avec la « peste nationaliste »…
La parole de gauche a porté ses fruits et Zemmour n’a plus qu’à continuer à débattre, tous les soirs, avec ceux qui veulent bien affronter ses idées…
Imaginez la scène, le drame national, si un drapeau français avait été planté un vendredi matin sur une mosquée.
Peut-être Emmanuel Macron va-t-il, là encore, reconnaître une « erreur » et appeler le gouvernement à agir avec « humanité » ?
Quels seront les prochains uniformes à montrer tout le mépris qu’ils ont pour nos gouvernants actuels ?
Saint-Cloud ayant été intimement mêlé à plusieurs siècles d’Histoire de France, il serait envisageable de créer un grand spectacle à l’instar du Puy du Fou ou d’Amboise…
Depuis que les grévistes bloquent les trains, les métros, les tramways et les bus, médias et hommes politiques ne parlent plus que de Noël.
Après la manifestation du 5 décembre et les informations qui remontent, ici et là, notamment sur les réseaux sociaux, on se pose cette question :
Il ne reste plus, à Emmanuel Macron, qu’à s’inscrire aux cours d’arabe de l’IMA.
Il est un fait, en tout cas : ce voile islamique envahit tous les débats de nos chaînes de télévision.
Alors que nous offrons gîte et couvert à toute une population venue s’imposer chez nous.
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Au problème de ce voile, le Président répond par des non-dits, par des banalités qui font plus reculer le débat que de l’avancer.
Messieurs Macron, Philippe, Castaner : vous devez vos excuses à ces femmes et à ces hommes courageux que vous n’aviez pas le droit de faire traiter comme de vulgaires Black Blocs !
66 % des Français sont favorables à l’interdiction du port ostentatoire de signes religieux…
Un homme vient de s’élever contre cette chasse aux sorcières en la personne de Philippe de Villiers…
Personnellement, je préfère voir Catherine Deneuve sous son grand chapeau rose des Demoiselles de Rochefort, mais l’art n’est-il pas celui de la liberté de créer ?
La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée.
Nous vivons une époque épatante où celui qui viole la loi est privilégié par rapport à celui qui la défend.
« C’est le b… » : ce cri n’en finira donc pas d’être répété des milliers de fois chaque jour !
Eux qui se battent tous les jours pour que vive cette belle langue française au milieu d’un univers anglophile sont choqués par la présence envahissante de l’anglais sur le sol français.
Le communiqué français a dû faire sourire Vladimir Poutine.
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
J’ai un nom, pour l’instant oublié des faveurs présidentielles : Antoine Albeau.
Mais maintenant, c’est carrément la loi de 1881 que l’on veut retoucher ; sous prétexte de l’améliorer, bien sûr.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
C’est l’armée qui devrait être envoyée dans ces territoires perdus de la République.
Après celui ouvert par l’incroyable entretien qu’Agnès Buzyn a accordé au Monde…
Il y a quelques mois, Emmanuel Macron nous faisait peur avec la « peste nationaliste »…
La parole de gauche a porté ses fruits et Zemmour n’a plus qu’à continuer à débattre, tous les soirs, avec ceux qui veulent bien affronter ses idées…
Imaginez la scène, le drame national, si un drapeau français avait été planté un vendredi matin sur une mosquée.
Peut-être Emmanuel Macron va-t-il, là encore, reconnaître une « erreur » et appeler le gouvernement à agir avec « humanité » ?
Quels seront les prochains uniformes à montrer tout le mépris qu’ils ont pour nos gouvernants actuels ?
Saint-Cloud ayant été intimement mêlé à plusieurs siècles d’Histoire de France, il serait envisageable de créer un grand spectacle à l’instar du Puy du Fou ou d’Amboise…
Depuis que les grévistes bloquent les trains, les métros, les tramways et les bus, médias et hommes politiques ne parlent plus que de Noël.
Après la manifestation du 5 décembre et les informations qui remontent, ici et là, notamment sur les réseaux sociaux, on se pose cette question :
Il ne reste plus, à Emmanuel Macron, qu’à s’inscrire aux cours d’arabe de l’IMA.
Il est un fait, en tout cas : ce voile islamique envahit tous les débats de nos chaînes de télévision.
Alors que nous offrons gîte et couvert à toute une population venue s’imposer chez nous.
Une semaine horssol, sans radio ni télé, sans même Boulevard Voltaire. Et, au retour, je m’aperçois que rien n’a changé. Enfin, presque rien.
Au problème de ce voile, le Président répond par des non-dits, par des banalités qui font plus reculer le débat que de l’avancer.
Messieurs Macron, Philippe, Castaner : vous devez vos excuses à ces femmes et à ces hommes courageux que vous n’aviez pas le droit de faire traiter comme de vulgaires Black Blocs !
66 % des Français sont favorables à l’interdiction du port ostentatoire de signes religieux…
Un homme vient de s’élever contre cette chasse aux sorcières en la personne de Philippe de Villiers…
Personnellement, je préfère voir Catherine Deneuve sous son grand chapeau rose des Demoiselles de Rochefort, mais l’art n’est-il pas celui de la liberté de créer ?
La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée.
Nous vivons une époque épatante où celui qui viole la loi est privilégié par rapport à celui qui la défend.
« C’est le b… » : ce cri n’en finira donc pas d’être répété des milliers de fois chaque jour !
Eux qui se battent tous les jours pour que vive cette belle langue française au milieu d’un univers anglophile sont choqués par la présence envahissante de l’anglais sur le sol français.
Le communiqué français a dû faire sourire Vladimir Poutine.
Souvenez-vous des dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy lorsqu’il était ministre de l’Économie et du Numérique.
J’ai un nom, pour l’instant oublié des faveurs présidentielles : Antoine Albeau.
Mais maintenant, c’est carrément la loi de 1881 que l’on veut retoucher ; sous prétexte de l’améliorer, bien sûr.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
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