

C’est surtout parce que la France est devenue à la fois un pays sous influence communautaire à l’intérieur de ses frontières et en perte d’influence et de puissance dans un monde qui se désoccidentalise.

Depuis le début du conflit, la communication est d’une importance vitale pour Kiev du fait de sa dépendance totale à l’aide occidentale.

Dans ce contexte de « guerre culturelle », on reconnaîtra à Ron DeSantis, et aux nombreux élus républicains qui partagent son combat contre la révolution en cours, le courage de s’exposer.

Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.

Est-il encore temps, pour les Européens, d’échapper au piège des rivalités impériales ? Cela paraît peu probable, tant ils semblent s’être accoutumés à un esprit de soumission qu’ils dissimulent derrière le masque de la vertu.

Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.

Il fallait bien trouver des appuis quelque part.

Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.

Nous ne saurons peut-être jamais si des preuves matérielles de l’implication de Washington existent. En revanche, ce qui est certain, c’est qu’il y avait bien un mobile.

Hersh n’est pas le premier venu. Aux États-Unis, c’est une légende du journalisme. En 1970, il avait reçu le prix Pulitzer…

Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.

Il aura suffi d’un mystérieux ballon chinois survolant l’espace aérien américain pour que revienne au galop le langage de la confrontation et de l’invective.

Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?

De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…

Les chars ne sont qu’une étape qui conduit à une autre et qui conduit ainsi progressivement les Occidentaux à accepter l’idée qu’ils n’ont pas d’autre solution qu’une confrontation directe avec la Russie.

Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.

Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.

Depuis des années, Joe Biden ne cesse de le répéter, il y a une tache qui salit l’âme de la nation américaine : « la haine et le suprémacisme blanc ».

La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.

Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.

Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.

Son incessante danse à contre-pied, dans un contexte de confrontation avec une puissance nucléaire, n’a cependant rien de risible. Bien au contraire, elle rend la politique de la France illisible et imprévisible.

Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.

La crise, oui, les épreuves, oui, mais à l’horizon, les lendemains qui chantent.

En réalité, la grande mosquée de Paris n’avait à aucun moment été animée par la volonté « d’interdire l’irrévérence, de condamner le blasphème ou de censurer des caricaturistes ». Pas du tout, la vraie raison était tout autre.

Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.

À l’approche d’une nouvelle année, souhaitons alors à l’Europe en guerre de pouvoir un jour respirer avec ses deux poumons.

On se souvient de Montesquieu pour qui les juges devaient être la « bouche de la loi ». Il est à craindre qu’ils soient aussi, parfois, la « bouche de l’idéologie ».

C’est surtout parce que la France est devenue à la fois un pays sous influence communautaire à l’intérieur de ses frontières et en perte d’influence et de puissance dans un monde qui se désoccidentalise.

Depuis le début du conflit, la communication est d’une importance vitale pour Kiev du fait de sa dépendance totale à l’aide occidentale.

Dans ce contexte de « guerre culturelle », on reconnaîtra à Ron DeSantis, et aux nombreux élus républicains qui partagent son combat contre la révolution en cours, le courage de s’exposer.

Le sujet de l’avortement révèle, derrière un apparent consensus, de fortes lignes de fracture politiques et géographiques qui témoignent du malaise dans la civilisation américaine.

Est-il encore temps, pour les Européens, d’échapper au piège des rivalités impériales ? Cela paraît peu probable, tant ils semblent s’être accoutumés à un esprit de soumission qu’ils dissimulent derrière le masque de la vertu.

Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.

Il fallait bien trouver des appuis quelque part.

Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.

Nous ne saurons peut-être jamais si des preuves matérielles de l’implication de Washington existent. En revanche, ce qui est certain, c’est qu’il y avait bien un mobile.

Hersh n’est pas le premier venu. Aux États-Unis, c’est une légende du journalisme. En 1970, il avait reçu le prix Pulitzer…

Nikki Haley, qui devrait annoncer officiellement sa candidature le 15 février prochain, a le sens du marketing politique et cherche à jouer de ses différences auprès des électeurs et des médias.

Il aura suffi d’un mystérieux ballon chinois survolant l’espace aérien américain pour que revienne au galop le langage de la confrontation et de l’invective.

Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?

De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…

Les chars ne sont qu’une étape qui conduit à une autre et qui conduit ainsi progressivement les Occidentaux à accepter l’idée qu’ils n’ont pas d’autre solution qu’une confrontation directe avec la Russie.

Si, bien entendu, sa candidature reste fragile en raison de ses multiples affaires, on notera malgré tout l’étonnante résistance de celui qui reste, à ce stade, le seul candidat républicain déclaré.

Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.

Depuis des années, Joe Biden ne cesse de le répéter, il y a une tache qui salit l’âme de la nation américaine : « la haine et le suprémacisme blanc ».

La guerre, donc, une guerre mondiale qui part du principe que les intérêts américains se confondent avec ceux de l’Europe et de la France.

Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.

Le conflit ukrainien aura constitué pour Bruxelles comme pour Washington une formidable occasion d’accélérer, vis-à-vis des États nations européens, une double captation de souveraineté.

Son incessante danse à contre-pied, dans un contexte de confrontation avec une puissance nucléaire, n’a cependant rien de risible. Bien au contraire, elle rend la politique de la France illisible et imprévisible.

Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.

La crise, oui, les épreuves, oui, mais à l’horizon, les lendemains qui chantent.

En réalité, la grande mosquée de Paris n’avait à aucun moment été animée par la volonté « d’interdire l’irrévérence, de condamner le blasphème ou de censurer des caricaturistes ». Pas du tout, la vraie raison était tout autre.

Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.

À l’approche d’une nouvelle année, souhaitons alors à l’Europe en guerre de pouvoir un jour respirer avec ses deux poumons.

On se souvient de Montesquieu pour qui les juges devaient être la « bouche de la loi ». Il est à craindre qu’ils soient aussi, parfois, la « bouche de l’idéologie ».
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