

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.

Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.

Trump comme Biden ont multiplié les promesses puis les prétextes pour se dérober.

La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?

La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.

Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

À vrai dire, qui s’intéresse encore à la question du statut de l’embryon humain ? Il faut donc rentrer dans le rang.

« Comment sortir de cette galère et éviter, en attendant, de se laisser entraîner dans une escalade incontrôlable ? » C’est la question qui doit

Pas de paix, donc, mais la guerre. Une guerre juste qui doit aboutir au triomphe du bien sur le mal. Une guerre qui ne se discute pas et qu’on laisse à d’autres le soin de faire.

Qu’il s’agisse d’« anéantissement biologique », d’« hécatombe du vivant » ou encore d’« extinction de masse », le discours écologiste annonce un monde proche de la destruction et qui périra si les hommes ne se convertissent pas à la nouvelle doxa verte.

Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.

Les yeux fixés sur la ligne de front, peut-être découvrirons-nous bientôt que ce ne sont ni les HIMARS ni les canons CAESAr qui finiront par déterminer le sort du conflit mais des pompes à essence…

L’État, en refusant de leur assigner une limite, contribue à la fabrique de ces nouveaux barbares pour lesquels la vie d’autrui est sans valeur, quand bien même il s’agirait d’une personne handicapée, d’une femme enceinte ou d’une personne âgée.
Louis Aliot prône plus de « générosité » et d’« ouverture sur le monde » car il faut parler aux Français « de toutes origines et de toutes religions ».

La suite du conflit – poursuite de l’escalade ou retour à la table des négociations – dépendra des résultats des prochaines échéances électorales américaines, et particulièrement des élections de mi-mandat en novembre prochain.

Manifestement, le gouvernement de Kiev n’a pas écouté les messages de modération de l’administration américaine. À moins de penser que cette action ait été validée par Washington. Où se situe, alors, la limite et quelqu’un en a-t-il vraiment fixé une ?

C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.

À y regarder de plus près, les déclarations de Vladimir Poutine font référence à trois grandes lignes de fracture qui constituent autant de défis pour les Occidentaux.

En tout cas, chez les « Nupiens », ça sent désormais la purge à plein nez…

C’est justement cette incapacité des belligérants à faire la différence qui rend la situation extrêmement dangereuse.

Il y a urgence, à un moment où l’écologie s’impose dans le débat public comme le thème dominant, à penser et à faire émerger une écologie enracinée soucieuse de préserver le patrimoine culturel et naturel qui nous a été transmis.

Dans ce contexte, où chaque partie exprime à nouveau, et de plus en plus clairement, sa capacité ou sa volonté de détruire l’autre, nous ne devrions pas sous-estimer la réponse de la Russie.

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.

Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.

Trump comme Biden ont multiplié les promesses puis les prétextes pour se dérober.

La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?

La meilleure façon d’intégrer les nouveaux venus, c’est de désintégrer la France.

En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.

Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.

Si l’on observe la situation de l’autre côté de l’Atlantique, on comprend vite que la guerre en Ukraine ne fait pas que des malheureux.

Maintenant que la guerre est là et que les Américains semblent désormais chercher une porte de sortie, devront-ils finalement constater que le plus gros obstacle n’est finalement pas à Moscou mais à Kiev ?

À vrai dire, qui s’intéresse encore à la question du statut de l’embryon humain ? Il faut donc rentrer dans le rang.

« Comment sortir de cette galère et éviter, en attendant, de se laisser entraîner dans une escalade incontrôlable ? » C’est la question qui doit

Pas de paix, donc, mais la guerre. Une guerre juste qui doit aboutir au triomphe du bien sur le mal. Une guerre qui ne se discute pas et qu’on laisse à d’autres le soin de faire.

Qu’il s’agisse d’« anéantissement biologique », d’« hécatombe du vivant » ou encore d’« extinction de masse », le discours écologiste annonce un monde proche de la destruction et qui périra si les hommes ne se convertissent pas à la nouvelle doxa verte.

Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.

Les yeux fixés sur la ligne de front, peut-être découvrirons-nous bientôt que ce ne sont ni les HIMARS ni les canons CAESAr qui finiront par déterminer le sort du conflit mais des pompes à essence…

L’État, en refusant de leur assigner une limite, contribue à la fabrique de ces nouveaux barbares pour lesquels la vie d’autrui est sans valeur, quand bien même il s’agirait d’une personne handicapée, d’une femme enceinte ou d’une personne âgée.
Louis Aliot prône plus de « générosité » et d’« ouverture sur le monde » car il faut parler aux Français « de toutes origines et de toutes religions ».

La suite du conflit – poursuite de l’escalade ou retour à la table des négociations – dépendra des résultats des prochaines échéances électorales américaines, et particulièrement des élections de mi-mandat en novembre prochain.

Manifestement, le gouvernement de Kiev n’a pas écouté les messages de modération de l’administration américaine. À moins de penser que cette action ait été validée par Washington. Où se situe, alors, la limite et quelqu’un en a-t-il vraiment fixé une ?

C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste.

À y regarder de plus près, les déclarations de Vladimir Poutine font référence à trois grandes lignes de fracture qui constituent autant de défis pour les Occidentaux.

En tout cas, chez les « Nupiens », ça sent désormais la purge à plein nez…

C’est justement cette incapacité des belligérants à faire la différence qui rend la situation extrêmement dangereuse.

Il y a urgence, à un moment où l’écologie s’impose dans le débat public comme le thème dominant, à penser et à faire émerger une écologie enracinée soucieuse de préserver le patrimoine culturel et naturel qui nous a été transmis.

Dans ce contexte, où chaque partie exprime à nouveau, et de plus en plus clairement, sa capacité ou sa volonté de détruire l’autre, nous ne devrions pas sous-estimer la réponse de la Russie.

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
