

Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.

La crise économique et sociale déclenchée par les sanctions contre la Russie ne fait, en réalité, que renforcer et cristalliser un « moment populiste » dans lequel de nombreux pays européens sont déjà entrés depuis longtemps.

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.

Une belle inversion des rôles basée sur une rhétorique classique de l’extrême gauche qui transforme les délinquants en victimes et les policiers en coupables.

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

Dans l’Hémicycle, les députés LFI multiplient les provocations et les invectives afin de satisfaire ce nouveau peuple qui réclame du pain et des jeux. Une politique incendiaire avec laquelle la gauche pactise désormais.

La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.

Heureux celui par qui le scandale arrive. Au royaume des Insoumis, il sera récompensé.

Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.

Les « territoires perdus de la République » ne sont donc pas perdus pour tout le monde. Bien au contraire, ils constituent un véritable vivier électoral pour les barons de la NUPES.

Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.

La violence et la criminalité prospèrent, non pas seulement en raison d’un manque de moyens de la Justice, mais surtout du fait d’une idéologie antipénale et anticarcérale qui continue à s’imposer contre la volonté des Français.

Une manœuvre qui ne nous fera pas oublier qui sont les vraies victimes et qui sont les barbares islamistes coupables d’une tuerie de masse.

Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.

Cela vous permettra de vous engager sur le chemin de la « sobriété » dans la joie et la bonne humeur mais, pendant ce temps-là, dans les coulisses, c’est plutôt panique à bord.

Narcisse ne connaît pas la culpabilité.

Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.

Il ne faudrait pas, cependant, abandonner ce type d’événements à la seule rubrique des faits divers.

Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?

C’est, en réalité, une révolution géostratégique qui se dessine sous nos yeux dans un silence assourdissant.

C’était mal le connaître. Incorrigible, Macron a, de nouveau, « macroné », comme disent les Ukrainiens et les Russes. C’est-à-dire parler pour ne rien dire et surtout ne rien faire.

On mesure à quel point les déclarations bellicistes de Macron, à Kiev, sont anachroniques. Celui qui se voulait le « maître des horloges » se révèle être, finalement, le maître des contre-temps.

Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».

Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Ce dont ont besoin ces quartiers, c’est une vraie volonté politique d’en finir avec le clientélisme et l’achat de la paix sociale.

Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo.

La crise économique et sociale déclenchée par les sanctions contre la Russie ne fait, en réalité, que renforcer et cristalliser un « moment populiste » dans lequel de nombreux pays européens sont déjà entrés depuis longtemps.

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

La fin des temps est proche. « Anéantissement biologique », « hécatombe du vivant », « extinction de masse » : pour Sandrine Rousseau, le monde s’apprête à disparaître dans l’indifférence des puissants.

Une belle inversion des rôles basée sur une rhétorique classique de l’extrême gauche qui transforme les délinquants en victimes et les policiers en coupables.

Comme Éric Ciotti le soulignait sur BFM TV, le 22 août dernier, la guerre en Ukraine sert d’alibi aux errances d’Emmanuel Macron.

La chute de Mario Draghi en Italie et la perspective de l’arrivée au pouvoir, en septembre prochain, de Giorgia Meloni, dirigeante du parti Fratelli d’Italia, ne seraient-ils pas les signes annonciateurs de bouleversements à venir ?

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

Dans l’Hémicycle, les députés LFI multiplient les provocations et les invectives afin de satisfaire ce nouveau peuple qui réclame du pain et des jeux. Une politique incendiaire avec laquelle la gauche pactise désormais.

La politique étrangère américaine servant désormais de boussole à la France, on lui indiquera que même Joe Biden a abandonné la politique des anathèmes et des imprécations.

Heureux celui par qui le scandale arrive. Au royaume des Insoumis, il sera récompensé.

Nous continuons à ressentir les conséquences de ce changement de paradigme qui, en tentant de s’affranchir de la loi du père et donc de l’institution de la limite, provoque une genèse à l’envers.

Les « territoires perdus de la République » ne sont donc pas perdus pour tout le monde. Bien au contraire, ils constituent un véritable vivier électoral pour les barons de la NUPES.

Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.

La violence et la criminalité prospèrent, non pas seulement en raison d’un manque de moyens de la Justice, mais surtout du fait d’une idéologie antipénale et anticarcérale qui continue à s’imposer contre la volonté des Français.

Une manœuvre qui ne nous fera pas oublier qui sont les vraies victimes et qui sont les barbares islamistes coupables d’une tuerie de masse.

Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.

Cela vous permettra de vous engager sur le chemin de la « sobriété » dans la joie et la bonne humeur mais, pendant ce temps-là, dans les coulisses, c’est plutôt panique à bord.

Narcisse ne connaît pas la culpabilité.

Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.

Il ne faudrait pas, cependant, abandonner ce type d’événements à la seule rubrique des faits divers.

Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?

C’est, en réalité, une révolution géostratégique qui se dessine sous nos yeux dans un silence assourdissant.

C’était mal le connaître. Incorrigible, Macron a, de nouveau, « macroné », comme disent les Ukrainiens et les Russes. C’est-à-dire parler pour ne rien dire et surtout ne rien faire.

On mesure à quel point les déclarations bellicistes de Macron, à Kiev, sont anachroniques. Celui qui se voulait le « maître des horloges » se révèle être, finalement, le maître des contre-temps.

Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».

Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Ce dont ont besoin ces quartiers, c’est une vraie volonté politique d’en finir avec le clientélisme et l’achat de la paix sociale.
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