

Les uns comme les autres recourent à deux techniques qui ont fait leurs preuves dans la défunte Union soviétique face à la pensée dissidente : la criminalisation et la psychiatrisation…

Et dire que certains chrétiens, qui, à Noël, viennent de célébrer le mystère de l’Alliance, pensent que leur foi n’a plus rien à dire au monde présent.

La vidéo d’Éric Zemmour nous confronte, par effet de contraste, non à un passé mythifié, mais à un processus de décivilisation.
Ce qui, il y a peu, semblait relever du seul folklore des campus américains (déconstruction, wokisme, théorie du genre, cancel culture…) envahit l’espace médiatique et s’infiltre à l’école et dans les universités….

À côté d’un vote de classe, il y a un vote communautaire qu’il n’est plus possible de négliger.

En fait, c’est au moment du remontage que des problèmes apparaîtraient.

Toutes proportions gardées, pour ce qui est de la campagne présidentielle en France, il ne fait pas de doute que la gauche radicale, en multipliant les agressions, fait le jeu du pouvoir en place.

À la fin des années 70, l’écrivain Milan Kundera, qui avait fui la Tchécoslovaquie soviétisée pour se réfugier en France, dénonçait le « massacre de la culture tchèque » par les communistes, à la suite du Printemps de Prague.

On ne peut alors s’empêcher de penser à cette formule de Raymond Aron : « Ils ont oublié que l’Histoire est tragique. »

Ce n’est pas seulement un réseau de propagande qui se déploie, mais aussi un système de surveillance, de délation et de répression pénale.

Notre pays connaît une forte poussée décivilisatrice marquée par un effondrement du monopole étatique de la violence.

Les uns comme les autres recourent à deux techniques qui ont fait leurs preuves dans la défunte Union soviétique face à la pensée dissidente : la criminalisation et la psychiatrisation…

Et dire que certains chrétiens, qui, à Noël, viennent de célébrer le mystère de l’Alliance, pensent que leur foi n’a plus rien à dire au monde présent.

La vidéo d’Éric Zemmour nous confronte, par effet de contraste, non à un passé mythifié, mais à un processus de décivilisation.
Ce qui, il y a peu, semblait relever du seul folklore des campus américains (déconstruction, wokisme, théorie du genre, cancel culture…) envahit l’espace médiatique et s’infiltre à l’école et dans les universités….

À côté d’un vote de classe, il y a un vote communautaire qu’il n’est plus possible de négliger.

En fait, c’est au moment du remontage que des problèmes apparaîtraient.

Toutes proportions gardées, pour ce qui est de la campagne présidentielle en France, il ne fait pas de doute que la gauche radicale, en multipliant les agressions, fait le jeu du pouvoir en place.

À la fin des années 70, l’écrivain Milan Kundera, qui avait fui la Tchécoslovaquie soviétisée pour se réfugier en France, dénonçait le « massacre de la culture tchèque » par les communistes, à la suite du Printemps de Prague.

On ne peut alors s’empêcher de penser à cette formule de Raymond Aron : « Ils ont oublié que l’Histoire est tragique. »

Ce n’est pas seulement un réseau de propagande qui se déploie, mais aussi un système de surveillance, de délation et de répression pénale.

Notre pays connaît une forte poussée décivilisatrice marquée par un effondrement du monopole étatique de la violence.
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