Le retour en arrière (ou a minima la stabilisation) dépend de la « force » que l’on veut appliquer au système en place.
La déchirure s’opère sur une autre trame du tissu national : entre le conservatisme sociétal et civilisationnel, pour l’une, et un faible intérêt pour ces sujets, pour l’autre.
De quels crimes inexpiables Jean-Michel Blanquer est-il coupable ? D’avoir peut-être cédé à sa promise sur le choix d’une destination très connotée bling-bling ?
Imaginons ce que pourrait être une Marche de la Fierté française ! Et qu’on ne parle pas de « French Pride ».
Leurs mythes théogoniques leur prédisaient la venue de dieux blancs et barbus surgissant du Levant sur d’étranges pirogues et de non moins étranges montures…
De cette façon, on croit changer la réalité en euphémisant les mots : incivilités pour sauvageries, déséquilibré pour fou, fou pour terroriste, terroriste pour islamiste, lieu de privation de liberté pour prison.
La France déliquescente sait encore produire des hommes de cette envergure.
L’Égalité des droits a entraîné l’Égalité des chances et aujourd’hui l’Égalité des résultats qui tente de corriger en nivelant par le bas.
Ce sociologue qui venait du froid est très rafraîchissant et nous réchauffe le cœur.
En mettant de côté le rocher de Sisyphe que pousse la police en une lutte sans fin, baisser le pavillon reviendrait à faire soumission, à s’acculturer à des coutumes et des dépendances qui ne sont pas les nôtres.
Soudain, qu’observez-vous ? Un précipité, une couche de sel qui, au fond du tube à essai, s’amoncelle et refuse de se mélanger. Vous aurez beau vous démener à secouer, encore et encore, rien à faire. Saperlipopette ! Que s’est-il donc passé ?
Tous ergots dehors, ils se volèrent dans les plumes avec une férocité inouïe…
Les exécutions au poteau pour haute trahison ne sont plus au goût du jour d’une époque devenue « totalitairement » humaniste. Que faire, alors ?
Une majorité a-t-elle toujours raison ?
Être un écologiste de droite serait-il un oxymore ?
C’est le choix collectif de cette nation souveraine : rester ce qu’elle est en préservant sa culture et son identité.
Être entouré des œuvres choisies des hommes, entassées en piles envahissantes dans toutes les pièces de la maison, constitue un décor chaleureux et procure un paisible bonheur…
Un acte terroriste de faible intensité vient de frapper la France.
Confions l’autorité à des hommes aux épaules d’envergure qui, ayant déjà rempli leur vie, ne sonnent jamais creux…
L’actualité vient, une fois de plus, nous rappeler que notre monde désaxé ne tourne plus très rond.
On a les idoles qu’on choisit… ou qu’on mérite.
Peu importe le vainqueur, le résultat sera toujours le même : les voitures brûlées, les dégradations et les déferlements élyséens.
Une telle grande gueule ne peut contenir une langue de bois.
Alors, arrimé au Zinc, z’y dépenserai avec zèle mes derniers złotys…
Une expérience malheureuse ne tient pas lieu de loi mais il suffit de la vivre, ne serait-ce qu’une seule fois, pour que tout l’édifice s’ébranle et s’écroule.
Bienvenue pour les Français de désir et adieu pour les Français de papiers.
Alors, c’est peut-être pas bien mais, voyez-vous, je ne peux m’en empêcher. Quand il neige en été, moi, je ricane avec méchanceté !
L’apparition multi-périodique du Seigneur Météo est la grand-messe préférée des seniors français…
Le retour en arrière (ou a minima la stabilisation) dépend de la « force » que l’on veut appliquer au système en place.
La déchirure s’opère sur une autre trame du tissu national : entre le conservatisme sociétal et civilisationnel, pour l’une, et un faible intérêt pour ces sujets, pour l’autre.
De quels crimes inexpiables Jean-Michel Blanquer est-il coupable ? D’avoir peut-être cédé à sa promise sur le choix d’une destination très connotée bling-bling ?
Imaginons ce que pourrait être une Marche de la Fierté française ! Et qu’on ne parle pas de « French Pride ».
Leurs mythes théogoniques leur prédisaient la venue de dieux blancs et barbus surgissant du Levant sur d’étranges pirogues et de non moins étranges montures…
De cette façon, on croit changer la réalité en euphémisant les mots : incivilités pour sauvageries, déséquilibré pour fou, fou pour terroriste, terroriste pour islamiste, lieu de privation de liberté pour prison.
La France déliquescente sait encore produire des hommes de cette envergure.
L’Égalité des droits a entraîné l’Égalité des chances et aujourd’hui l’Égalité des résultats qui tente de corriger en nivelant par le bas.
Ce sociologue qui venait du froid est très rafraîchissant et nous réchauffe le cœur.
En mettant de côté le rocher de Sisyphe que pousse la police en une lutte sans fin, baisser le pavillon reviendrait à faire soumission, à s’acculturer à des coutumes et des dépendances qui ne sont pas les nôtres.
Soudain, qu’observez-vous ? Un précipité, une couche de sel qui, au fond du tube à essai, s’amoncelle et refuse de se mélanger. Vous aurez beau vous démener à secouer, encore et encore, rien à faire. Saperlipopette ! Que s’est-il donc passé ?
Tous ergots dehors, ils se volèrent dans les plumes avec une férocité inouïe…
Les exécutions au poteau pour haute trahison ne sont plus au goût du jour d’une époque devenue « totalitairement » humaniste. Que faire, alors ?
Une majorité a-t-elle toujours raison ?
Être un écologiste de droite serait-il un oxymore ?
C’est le choix collectif de cette nation souveraine : rester ce qu’elle est en préservant sa culture et son identité.
Être entouré des œuvres choisies des hommes, entassées en piles envahissantes dans toutes les pièces de la maison, constitue un décor chaleureux et procure un paisible bonheur…
Un acte terroriste de faible intensité vient de frapper la France.
Confions l’autorité à des hommes aux épaules d’envergure qui, ayant déjà rempli leur vie, ne sonnent jamais creux…
L’actualité vient, une fois de plus, nous rappeler que notre monde désaxé ne tourne plus très rond.
On a les idoles qu’on choisit… ou qu’on mérite.
Peu importe le vainqueur, le résultat sera toujours le même : les voitures brûlées, les dégradations et les déferlements élyséens.
Une telle grande gueule ne peut contenir une langue de bois.
Alors, arrimé au Zinc, z’y dépenserai avec zèle mes derniers złotys…
Une expérience malheureuse ne tient pas lieu de loi mais il suffit de la vivre, ne serait-ce qu’une seule fois, pour que tout l’édifice s’ébranle et s’écroule.
Bienvenue pour les Français de désir et adieu pour les Français de papiers.
Alors, c’est peut-être pas bien mais, voyez-vous, je ne peux m’en empêcher. Quand il neige en été, moi, je ricane avec méchanceté !
L’apparition multi-périodique du Seigneur Météo est la grand-messe préférée des seniors français…
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