
Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.

Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.

Donc revoilà les LR repartis pour une énième élection à la présidence, toujours coincés dans leurs contradictions, jouant à front renversé, comme le soulignait avec humour Marc Eynaud dans un tweet.

Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.

Nos élites, pourtant adeptes de l’en même temps et de l’ubiquité, ont oublié que les catastrophes, elles aussi, malheureusement, pratiquent cet en même temps.

Alain Rousset, qui passait pour un socialiste modéré, est en voie de « pannotisation ». Est-ce l’atmosphère de fin de règne qui le pousse à ces excès ?

Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.

Olivier Marleix a raison d’enfoncer le clou dans le cercueil des arrogances sanitaires de Macron 1.

Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.

Certes, l’Éducation nationale a toujours été gangrenée par l’idéologie, mais peut-elle, vu son manque d’attractivité, se permettre de continuer à organiser son naufrage ?

Au moment où les dirigeants occidentaux ont affiché pour le G7 une complicité décontractée et narcissique, de bien mauvais aloi vu la gravité de la situation, la tribune de ces intellectuels allemands les ramène à la réalité d’une guerre qu’ils n’ont pas su prévenir

Une réécriture en rose. Cela doit être la consigne du moment : positive attitude. Encore une conséquence de cette majorité relative, peut-être…
Où sont les priorités du pouvoir d’achat, du climat et de la sécurité ?

En tout cas, après la bataille de Grenoble et l’escarmouche de Toulouse, la guerre du burkini ne fait sans doute que commencer.

Il ne s’agit pas de nier le succès du RN mais de préparer les victoires à venir.

La tendance totalitaire de la Révolution émergea dès ce 20 juin.

Quand le seul horizon de pèlerinage, pour beaucoup de jeunes, est La Mecque, oui, Sylvie Germain devient un auteur incompréhensible, étranger.
Laura a eu l’impression que les gendarmes étaient venus « à la demande de quelqu’un ».

Toute ressemblance avec la situation actuelle serait purement fortuite. Mais notre Histoire constitutionnelle, malgré ses cohérences majoritaires bien huilées, recèle tout de même quelques situations de crise.

La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.

Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.

Emmanuel Macron prend le risque de perdre sur les deux tableaux.

Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.

La voiture Borne n’est même pas hybride et ne marche qu’à l’énergie NUPES. À droite, plus personne n’est dupe. Elle nous conduit droit dans le mur.

Hervé Morin n’a pas tort de souligner cette déconnexion géographique et technocratique de la composition du gouvernement Borne qui l’expose à une nouvelle révolte de la France périphérique.

Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle

« Je veux un Henri IV à Matignon ». Mais alors, qui les Français ont-ils remis à l’Élysée ?
En mathématiques, dont on a beaucoup parlé ces derniers temps à cause de la réforme Blanquer et du niveau des enseignants, seuls 816 candidats sont admissibles, pour 1.035 postes ouverts.

Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.

Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.

Donc revoilà les LR repartis pour une énième élection à la présidence, toujours coincés dans leurs contradictions, jouant à front renversé, comme le soulignait avec humour Marc Eynaud dans un tweet.

Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.

Nos élites, pourtant adeptes de l’en même temps et de l’ubiquité, ont oublié que les catastrophes, elles aussi, malheureusement, pratiquent cet en même temps.

Alain Rousset, qui passait pour un socialiste modéré, est en voie de « pannotisation ». Est-ce l’atmosphère de fin de règne qui le pousse à ces excès ?

Si l’affaire Panot permettait d’arrêter enfin l’instrumentalisation des « heures sombres », ce serait une bonne nouvelle. Pour la vérité historique. pour le respect des victimes et de leurs familles. Et pour le débat politique actuel.

Olivier Marleix a raison d’enfoncer le clou dans le cercueil des arrogances sanitaires de Macron 1.

Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.

Certes, l’Éducation nationale a toujours été gangrenée par l’idéologie, mais peut-elle, vu son manque d’attractivité, se permettre de continuer à organiser son naufrage ?

Au moment où les dirigeants occidentaux ont affiché pour le G7 une complicité décontractée et narcissique, de bien mauvais aloi vu la gravité de la situation, la tribune de ces intellectuels allemands les ramène à la réalité d’une guerre qu’ils n’ont pas su prévenir

Une réécriture en rose. Cela doit être la consigne du moment : positive attitude. Encore une conséquence de cette majorité relative, peut-être…
Où sont les priorités du pouvoir d’achat, du climat et de la sécurité ?

En tout cas, après la bataille de Grenoble et l’escarmouche de Toulouse, la guerre du burkini ne fait sans doute que commencer.

Il ne s’agit pas de nier le succès du RN mais de préparer les victoires à venir.

La tendance totalitaire de la Révolution émergea dès ce 20 juin.

Quand le seul horizon de pèlerinage, pour beaucoup de jeunes, est La Mecque, oui, Sylvie Germain devient un auteur incompréhensible, étranger.
Laura a eu l’impression que les gendarmes étaient venus « à la demande de quelqu’un ».

Toute ressemblance avec la situation actuelle serait purement fortuite. Mais notre Histoire constitutionnelle, malgré ses cohérences majoritaires bien huilées, recèle tout de même quelques situations de crise.

La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.

Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.

Emmanuel Macron prend le risque de perdre sur les deux tableaux.

Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.

La voiture Borne n’est même pas hybride et ne marche qu’à l’énergie NUPES. À droite, plus personne n’est dupe. Elle nous conduit droit dans le mur.

Hervé Morin n’a pas tort de souligner cette déconnexion géographique et technocratique de la composition du gouvernement Borne qui l’expose à une nouvelle révolte de la France périphérique.

Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle

« Je veux un Henri IV à Matignon ». Mais alors, qui les Français ont-ils remis à l’Élysée ?
En mathématiques, dont on a beaucoup parlé ces derniers temps à cause de la réforme Blanquer et du niveau des enseignants, seuls 816 candidats sont admissibles, pour 1.035 postes ouverts.
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