Ce qui devrait nous inquiéter encore, c’est qu’il se trouve des journalistes, des responsables de rédaction qui sont capables de venir défendre cette décision et justifier l’idéologie qui la porte.
En cette rentrée, les éditeurs qui connaissent ce tropisme idéologique d’une grande partie des enseignants et du gouvernement ont de nouveau répondu à l’appel.
C’est certainement le père du Brexit, le Britannique Nigel Farage, qui a eu le mot le plus juste : « Michel Barnier est le plus grand hypocrite de tous les temps. »
Cette candidature réintroduit la figure du troisième homme.
C’est tout de même plus beau – et plus juste – que les « gens infréquentables » de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT…
Quand allons-nous prendre conscience qu’une véritable politique de santé publique ne saurait reposer sur un passe sanitaire qui n’a rien de sanitaire, Doctolib et McFly et Carlito ?
La seule question qu’on aimerait poser à M. Véran, c’est celle de la condition – précise – de la disparition du passe sanitaire.
Éric Zemmour vient troubler le jeu à droite et renvoie les partis et les candidats installés à leurs faiblesses structurelles : flou et indécision chez LR, absence de concurrence au RN.
Comme si l’élection en mode Covid était déjà jouée.
Les majorités que l’on ne saurait voir se cachent parfois dans les détails des sondages.
La proportion des mécontents s’élève à 63 %.
J’aimerais bien consulter les notes desdits services qu’Emmanuel Macron avait sur son bureau avant ce fatidique 12 juillet où il a fait basculer le pays dans… autre chose.
Le Macron du 11 août n’est plus le prophète du progrès à marche forcée du 12 juillet mais le commentateur un peu dépassé de son erreur stratégique qui en est réduit à s’alarmer de la « situation dramatique ».
Quel point commun rassemble l’arc méditerranéen, la vallée de la Garonne, du Rhône, les quartiers nord de Marseille, les banlieues de Lyon, la Seine-Saint-Denis ?
Il est toujours bon d’écouter ceux qui ne pensent pas comme vous : ma belle-sœur et Le Monde, par exemple. La réciproque devrait être plus systématique aussi.
Il semble que beaucoup d’électeurs de droite rêvent d’écrire le mot avec un Z. Mais pas celui de Wauquiez.
La Macronie a réussi cet exploit en une semaine : démontrer elle-même l’inefficacité d’une mesure présentée comme LA solution et mettre, en plein été, des centaines de milliers de Français dans les rues depuis trois semaines.
Cercle infernal, vicieux, que le grand instigateur du passe n’avait pas prévu.
Ainsi, par la grâce d’Emmanuel Macron, la France est redevenue un phare pour le monde libre, en brandissant la torche de l’obligation et de la contrainte.
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Emmanuel Macron voudrait exciter encore davantage la colère du peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
Jean Castex avait rappelé qu’il n’instaurerait pas l’obligation vaccinale pour les enseignants. Mais au train où vont les reniements de la parole gouvernementale sur ces questions, rien n’est exclu dans les semaines qui viennent.
Un échec doublé d’une incohérence, aujourd’hui, avec cette extension aveugle et brutale du passe sanitaire.
Les éléments de langage de Gabriel Attal ne sont ni une erreur ni une exception mais seulement le haut de l’iceberg de la morgue macronienne.
Quels trains soumettre au passe ? TGV et Intercités, mais pas les TER.
On ne se rue pas vers le vaccin mais vers la liberté rabougrie qui nous est encore concédée.
Quelque chose me dit d’ailleurs que dans la campagne de diabolisation des non-vaccinés, le gouvernement saura habilement contourner la Seine-Saint-Denis pour venir stigmatiser la Lozère.
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
Ce qui devrait nous inquiéter encore, c’est qu’il se trouve des journalistes, des responsables de rédaction qui sont capables de venir défendre cette décision et justifier l’idéologie qui la porte.
En cette rentrée, les éditeurs qui connaissent ce tropisme idéologique d’une grande partie des enseignants et du gouvernement ont de nouveau répondu à l’appel.
C’est certainement le père du Brexit, le Britannique Nigel Farage, qui a eu le mot le plus juste : « Michel Barnier est le plus grand hypocrite de tous les temps. »
Cette candidature réintroduit la figure du troisième homme.
C’est tout de même plus beau – et plus juste – que les « gens infréquentables » de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT…
Quand allons-nous prendre conscience qu’une véritable politique de santé publique ne saurait reposer sur un passe sanitaire qui n’a rien de sanitaire, Doctolib et McFly et Carlito ?
La seule question qu’on aimerait poser à M. Véran, c’est celle de la condition – précise – de la disparition du passe sanitaire.
Éric Zemmour vient troubler le jeu à droite et renvoie les partis et les candidats installés à leurs faiblesses structurelles : flou et indécision chez LR, absence de concurrence au RN.
Comme si l’élection en mode Covid était déjà jouée.
Les majorités que l’on ne saurait voir se cachent parfois dans les détails des sondages.
La proportion des mécontents s’élève à 63 %.
J’aimerais bien consulter les notes desdits services qu’Emmanuel Macron avait sur son bureau avant ce fatidique 12 juillet où il a fait basculer le pays dans… autre chose.
Le Macron du 11 août n’est plus le prophète du progrès à marche forcée du 12 juillet mais le commentateur un peu dépassé de son erreur stratégique qui en est réduit à s’alarmer de la « situation dramatique ».
Quel point commun rassemble l’arc méditerranéen, la vallée de la Garonne, du Rhône, les quartiers nord de Marseille, les banlieues de Lyon, la Seine-Saint-Denis ?
Il est toujours bon d’écouter ceux qui ne pensent pas comme vous : ma belle-sœur et Le Monde, par exemple. La réciproque devrait être plus systématique aussi.
Il semble que beaucoup d’électeurs de droite rêvent d’écrire le mot avec un Z. Mais pas celui de Wauquiez.
La Macronie a réussi cet exploit en une semaine : démontrer elle-même l’inefficacité d’une mesure présentée comme LA solution et mettre, en plein été, des centaines de milliers de Français dans les rues depuis trois semaines.
Cercle infernal, vicieux, que le grand instigateur du passe n’avait pas prévu.
Ainsi, par la grâce d’Emmanuel Macron, la France est redevenue un phare pour le monde libre, en brandissant la torche de l’obligation et de la contrainte.
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Emmanuel Macron voudrait exciter encore davantage la colère du peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
Jean Castex avait rappelé qu’il n’instaurerait pas l’obligation vaccinale pour les enseignants. Mais au train où vont les reniements de la parole gouvernementale sur ces questions, rien n’est exclu dans les semaines qui viennent.
Un échec doublé d’une incohérence, aujourd’hui, avec cette extension aveugle et brutale du passe sanitaire.
Les éléments de langage de Gabriel Attal ne sont ni une erreur ni une exception mais seulement le haut de l’iceberg de la morgue macronienne.
Quels trains soumettre au passe ? TGV et Intercités, mais pas les TER.
On ne se rue pas vers le vaccin mais vers la liberté rabougrie qui nous est encore concédée.
Quelque chose me dit d’ailleurs que dans la campagne de diabolisation des non-vaccinés, le gouvernement saura habilement contourner la Seine-Saint-Denis pour venir stigmatiser la Lozère.
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
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