Sous Emmanuel Macron, l’exceptionnel a tendance à se banaliser.
On assiste, ces jours-ci, à d’étranges renversements de la part des oppositions à la stratégie du gouvernement français.
Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.
Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.
Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».
La restauration laisse des milliers d’employés et de patrons sur le carreau du fait de l’explosion des factures
En Macronie, c’est Noël et jour de l’An en même temps…
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
N’ayant pas eu d’exégèse du verbe présidentiel, nous en sommes réduits à passer en revue toutes les hypothèses possibles…
Était-ce bien le moment de traiter ainsi les policiers ? De les désigner à la vindicte d’une extrême gauche qui a décidé d’en découdre, tous les samedis, et plus si nécessaire ?
On reste effaré devant le dévoilement sans fard d’une ambition de carrière qui ne repose que sur de la com’.
C’est la question que l’on doit se poser anxieusement dans bien des chaumières, en ce moment.
Alors oui, c’est injuste, on prend des mesures liberticides généralisées pour contraindre certains points noirs de notre société. Mais la situation a tellement dérivé que c’est peut-être la seule solution pour commencer enfin à crever les abcès.
Les crises sont toujours des révélateurs d’un état profond, mais que l’on ne voulait pas voir. 2020 constitue, de ce point de vue, un tournant : le roi est nu.
Le Monde et quelques autres vont devoir rapidement changer leurs tics de langage à l’égard du RN et des autres
Des messages dramatiques, contradictoires, suspects d’arrière-pensées, tel est le cocktail explosif créé par le pouvoir lui-même et les médias.
Denis Tillinac, c’était une gueule, une voix et un style. Mais aussi un patronyme et un terroir.
Je suis très inquiet pour la santé des Français.
Robert Ménard n’a pas dit « aventurière ». Mais c’est vrai qu’il n’est pas fan d’écriture inclusive. Ça tombe bien : Marion Maréchal non plus.
Emmanuel Macron, en lançant le débat sur la proportionnelle, peut faire, comme Mitterrand naguère, un beau coup politique, continuant à semer la division chez les adversaires.
Christian Estrosi, c’est le go-between LR-LREM, entre Macron et Sarkozy. Il est parfait dans son rôle.
Les crimes et délits, agressions en tous genres n’ont pas droit à un traçage, une surveillance, des obligations. Pour ce virus-là, vous n’avez que le bon vieux 17 comme recours.
Une désaffection aussi massive et aussi rapide ne peut s’expliquer que par une déception sur les fondamentaux mis en avant…
Renforcer la dictature sanitaire pour éviter de fermer. Tout un programme…
Le format « haut-commissaire », malgré le précédent fâcheux de Jean-Paul Delevoye, autre poids lourd de la Macronie remercié par un poste identique, avait toutes les faveurs de François Bayrou…
Il y a quelques jours, le ministère de l’Éducation nationale avait publié un nouveau protocole sanitaire pour la rentrée de septembre qui assouplissait considérablement les
M. Salomon arrive même à faire passer de vraies bonnes nouvelles sans rompre le lien d’angoisse auquel les Français se raccrochent comme à leur cordon ombilical…
Les contrôles et les amendes à 135 euros pour défaut de port du masque vont être renforcés !
Sous Emmanuel Macron, l’exceptionnel a tendance à se banaliser.
On assiste, ces jours-ci, à d’étranges renversements de la part des oppositions à la stratégie du gouvernement français.
Avec un macronisme défait et des LR en phase post-traumatique, il y a depuis longtemps un boulevard qui s’est ouvert. Pour le moment, celui des occasions perdues.
Le Figaro en fait un portrait séduisant, capable de toucher au-delà de ce premier cercle : fils de footballeur professionnel, chef d’entreprise, maire de terrain, attaché à sa vie de famille.
Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».
La restauration laisse des milliers d’employés et de patrons sur le carreau du fait de l’explosion des factures
En Macronie, c’est Noël et jour de l’An en même temps…
Avec Najat Vallaud-Belkacem, nous ne vivons pas dans le même monde, et le séparatisme n’est pour elle qu’un concept élastique, réversible à l’infini, comme la pâte à modeler qu’on lui a appris à malaxer à Sciences Po ou au PS…
N’ayant pas eu d’exégèse du verbe présidentiel, nous en sommes réduits à passer en revue toutes les hypothèses possibles…
Était-ce bien le moment de traiter ainsi les policiers ? De les désigner à la vindicte d’une extrême gauche qui a décidé d’en découdre, tous les samedis, et plus si nécessaire ?
On reste effaré devant le dévoilement sans fard d’une ambition de carrière qui ne repose que sur de la com’.
C’est la question que l’on doit se poser anxieusement dans bien des chaumières, en ce moment.
Alors oui, c’est injuste, on prend des mesures liberticides généralisées pour contraindre certains points noirs de notre société. Mais la situation a tellement dérivé que c’est peut-être la seule solution pour commencer enfin à crever les abcès.
Les crises sont toujours des révélateurs d’un état profond, mais que l’on ne voulait pas voir. 2020 constitue, de ce point de vue, un tournant : le roi est nu.
Le Monde et quelques autres vont devoir rapidement changer leurs tics de langage à l’égard du RN et des autres
Des messages dramatiques, contradictoires, suspects d’arrière-pensées, tel est le cocktail explosif créé par le pouvoir lui-même et les médias.
Denis Tillinac, c’était une gueule, une voix et un style. Mais aussi un patronyme et un terroir.
Je suis très inquiet pour la santé des Français.
Robert Ménard n’a pas dit « aventurière ». Mais c’est vrai qu’il n’est pas fan d’écriture inclusive. Ça tombe bien : Marion Maréchal non plus.
Emmanuel Macron, en lançant le débat sur la proportionnelle, peut faire, comme Mitterrand naguère, un beau coup politique, continuant à semer la division chez les adversaires.
Christian Estrosi, c’est le go-between LR-LREM, entre Macron et Sarkozy. Il est parfait dans son rôle.
Les crimes et délits, agressions en tous genres n’ont pas droit à un traçage, une surveillance, des obligations. Pour ce virus-là, vous n’avez que le bon vieux 17 comme recours.
Une désaffection aussi massive et aussi rapide ne peut s’expliquer que par une déception sur les fondamentaux mis en avant…
Renforcer la dictature sanitaire pour éviter de fermer. Tout un programme…
Le format « haut-commissaire », malgré le précédent fâcheux de Jean-Paul Delevoye, autre poids lourd de la Macronie remercié par un poste identique, avait toutes les faveurs de François Bayrou…
Il y a quelques jours, le ministère de l’Éducation nationale avait publié un nouveau protocole sanitaire pour la rentrée de septembre qui assouplissait considérablement les
M. Salomon arrive même à faire passer de vraies bonnes nouvelles sans rompre le lien d’angoisse auquel les Français se raccrochent comme à leur cordon ombilical…
Les contrôles et les amendes à 135 euros pour défaut de port du masque vont être renforcés !
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