L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !
Cet « âge pivot » était l’invention du Premier ministre. Son retrait qui, il y a quelques jours, était impensable sonne pour lui comme un désaveu.
À l’aune de ces cinq ans d’histoire, le tweet d’Emmanuel Macron constitue une inquiétante régression, autant par les mots choisis que par les vérités proscrites.
Le procédé est à ajouter aux méthodes bien éprouvées de l’extrême gauche toujours prête à réduire la liberté d’expressio
Et le florilège est à la fois rassurant et inquiétant. Stupéfiant dans tous les cas.
Un chef de l’État magistralement recadré, sur le plan intellectuel et politique, par son ex-licteur, on n’avait pas vu ça depuis les Romains !
Dans ce conflit qui s’annonce long, le gouvernement ne pourra pas s’arc-bouter derrière ces formules magiques qui n’ont rien de rassurant.
L’erreur magistrale du gouvernement est d’avoir voulu imposer une réforme générale, et de faire passer l’ensemble des fonctionnaires pour des privilégiés – ce qu’ils ne sont pas.
Dans de nombreuses villes, PS et LREM partiront ensemble aux municipales.
Cette désinvolture de la droite LR, qui n’en finit pas de trahir ses électeurs et de piétiner ses convictions et ses engagements, libère par ailleurs ceux qui semblent encore y tenir.
Emmanuel Macron est non seulement dépassé, mais très affaibli.
Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ?
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…
Allez, vite, une loi sur la « polygamie pour tous ». Et pour toutes, évidemment !
L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.
Jean-Michel Blanquer a voulu toucher au bac, et il l’a mal fait.
Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?
Désormais, la Chine et le monde sont devant un événement politique majeur, planétaire, que les dirigeants chinois ne pourront pas traiter dans leur coin…
Le réveil actuel de Hong Kong n’est peut-être que le prélude d’autres réveils.
Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.
Devant une telle dignité, on ne peut que s’incliner. Cela n’enlève rien à la question brûlante des responsabilités.
Fidèle à la stratégie d’Emmanuel Macron contre les gilets jaunes, le ministre Blanquer joue l’opinion contre les enseignants.
Sa ligne ? « Gaulliste, patriote, républicaine, mais aussi populaire. »
Et si c’était lui qui, un jour, allait y arriver.
La recomposition politique n’est plus, à présent, entre les mains des marcheurs mais dans les jambes des coureurs, à gauche et au RN.
L’arboriculture française a perdu 40 % de ses vergers en vingt ans !
Cet « âge pivot » était l’invention du Premier ministre. Son retrait qui, il y a quelques jours, était impensable sonne pour lui comme un désaveu.
À l’aune de ces cinq ans d’histoire, le tweet d’Emmanuel Macron constitue une inquiétante régression, autant par les mots choisis que par les vérités proscrites.
Le procédé est à ajouter aux méthodes bien éprouvées de l’extrême gauche toujours prête à réduire la liberté d’expressio
Et le florilège est à la fois rassurant et inquiétant. Stupéfiant dans tous les cas.
Un chef de l’État magistralement recadré, sur le plan intellectuel et politique, par son ex-licteur, on n’avait pas vu ça depuis les Romains !
Dans ce conflit qui s’annonce long, le gouvernement ne pourra pas s’arc-bouter derrière ces formules magiques qui n’ont rien de rassurant.
L’erreur magistrale du gouvernement est d’avoir voulu imposer une réforme générale, et de faire passer l’ensemble des fonctionnaires pour des privilégiés – ce qu’ils ne sont pas.
Dans de nombreuses villes, PS et LREM partiront ensemble aux municipales.
Cette désinvolture de la droite LR, qui n’en finit pas de trahir ses électeurs et de piétiner ses convictions et ses engagements, libère par ailleurs ceux qui semblent encore y tenir.
Emmanuel Macron est non seulement dépassé, mais très affaibli.
Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ?
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…
Allez, vite, une loi sur la « polygamie pour tous ». Et pour toutes, évidemment !
L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.
Jean-Michel Blanquer a voulu toucher au bac, et il l’a mal fait.
Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?
Désormais, la Chine et le monde sont devant un événement politique majeur, planétaire, que les dirigeants chinois ne pourront pas traiter dans leur coin…
Le réveil actuel de Hong Kong n’est peut-être que le prélude d’autres réveils.
Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.
Devant une telle dignité, on ne peut que s’incliner. Cela n’enlève rien à la question brûlante des responsabilités.
Fidèle à la stratégie d’Emmanuel Macron contre les gilets jaunes, le ministre Blanquer joue l’opinion contre les enseignants.
Sa ligne ? « Gaulliste, patriote, républicaine, mais aussi populaire. »
Et si c’était lui qui, un jour, allait y arriver.
La recomposition politique n’est plus, à présent, entre les mains des marcheurs mais dans les jambes des coureurs, à gauche et au RN.
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