
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.

Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…

Allez, vite, une loi sur la « polygamie pour tous ». Et pour toutes, évidemment !

L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.

Jean-Michel Blanquer a voulu toucher au bac, et il l’a mal fait.

Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?

Désormais, la Chine et le monde sont devant un événement politique majeur, planétaire, que les dirigeants chinois ne pourront pas traiter dans leur coin…

Le réveil actuel de Hong Kong n’est peut-être que le prélude d’autres réveils.

Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.

Devant une telle dignité, on ne peut que s’incliner. Cela n’enlève rien à la question brûlante des responsabilités.

Fidèle à la stratégie d’Emmanuel Macron contre les gilets jaunes, le ministre Blanquer joue l’opinion contre les enseignants.

Sa ligne ? « Gaulliste, patriote, républicaine, mais aussi populaire. »

Et si c’était lui qui, un jour, allait y arriver.

La recomposition politique n’est plus, à présent, entre les mains des marcheurs mais dans les jambes des coureurs, à gauche et au RN.

Quels que soient les chiffres avancés par le ministère, les réalités vécues sur le terrain sont là : des pointes de grévistes à 50 % dans certains lycées de région parisienne…

Le rectorat juge ces « sanctions du conseil de discipline disproportionnées ».

La réforme du lycée et du bac est une véritable usine à gaz qui va rendre encore plus complexe ce qu’il aurait fallu simplifier.

Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.

Pour éviter de répéter ce cycle 2014-2017…

L’École que nous prépare M. Blanquer et sa philosophie molle à l’égard de l’islam ne sont pas celles de la confiance. Et encore moins du courage.

Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.

Cela fait désordre et nous ramène à l’affaire Fillon, et à cette pauvre Penelope, qui ouvrit la voie de l’Élysée à Emmanuel Macron. Quelqu’un parlait, ici, de retour de boomerang ?

Est-ce que, finalement, au bout de deux ans, la technique du bashing macronien n’est pas en train de revenir en boomerang à la face de la Macronie, représentée par Nathalie Loiseau ?

Qui l’eût cru ?
Depuis vendredi soir, nous savons le record battu : il y aura 33 listes (de 79 candidats chacune) pour les élections européennes de la fin du mois.

Le bilan objectif, c’est que Jean-Michel Blanquer, loin d’avoir pris le contre-pied de ses prédécesseurs, poursuit, parfois plus habilement, mais plus brutalement aussi, le grand sabordage de l’Éducation nationale.

Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.

Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…

Allez, vite, une loi sur la « polygamie pour tous ». Et pour toutes, évidemment !

L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits.

Jean-Michel Blanquer a voulu toucher au bac, et il l’a mal fait.

Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?

Désormais, la Chine et le monde sont devant un événement politique majeur, planétaire, que les dirigeants chinois ne pourront pas traiter dans leur coin…

Le réveil actuel de Hong Kong n’est peut-être que le prélude d’autres réveils.

Christian Jacob a le mérite d’avoir tranché et les militants LR devraient lui en savoir gré lors du vote interne.

Devant une telle dignité, on ne peut que s’incliner. Cela n’enlève rien à la question brûlante des responsabilités.

Fidèle à la stratégie d’Emmanuel Macron contre les gilets jaunes, le ministre Blanquer joue l’opinion contre les enseignants.

Sa ligne ? « Gaulliste, patriote, républicaine, mais aussi populaire. »

Et si c’était lui qui, un jour, allait y arriver.

La recomposition politique n’est plus, à présent, entre les mains des marcheurs mais dans les jambes des coureurs, à gauche et au RN.

Quels que soient les chiffres avancés par le ministère, les réalités vécues sur le terrain sont là : des pointes de grévistes à 50 % dans certains lycées de région parisienne…

Le rectorat juge ces « sanctions du conseil de discipline disproportionnées ».

La réforme du lycée et du bac est une véritable usine à gaz qui va rendre encore plus complexe ce qu’il aurait fallu simplifier.

Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.

Pour éviter de répéter ce cycle 2014-2017…

L’École que nous prépare M. Blanquer et sa philosophie molle à l’égard de l’islam ne sont pas celles de la confiance. Et encore moins du courage.

Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.

Cela fait désordre et nous ramène à l’affaire Fillon, et à cette pauvre Penelope, qui ouvrit la voie de l’Élysée à Emmanuel Macron. Quelqu’un parlait, ici, de retour de boomerang ?

Est-ce que, finalement, au bout de deux ans, la technique du bashing macronien n’est pas en train de revenir en boomerang à la face de la Macronie, représentée par Nathalie Loiseau ?

Qui l’eût cru ?
Depuis vendredi soir, nous savons le record battu : il y aura 33 listes (de 79 candidats chacune) pour les élections européennes de la fin du mois.

Le bilan objectif, c’est que Jean-Michel Blanquer, loin d’avoir pris le contre-pied de ses prédécesseurs, poursuit, parfois plus habilement, mais plus brutalement aussi, le grand sabordage de l’Éducation nationale.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
