
Ce n’est pas un hasard si, à Chemnitz, l’un des slogans très souvent repris par les manifestants est celui de la « haute trahison » de Merkel.

Ce nouveau mur et ce nouveau mouvement populaire ressemblent à ceux de 1989 car ils dépassent l’Allemagne et fracturent toute l’Europe.

Une impression de déjà-vu. Sous Hollande.

Vous êtes, comme moi sans doute, des lecteurs assidus des chroniques de Lionel Baland qui rend compte régulièrement de la situation migratoire et politique en

Il est normal que l’on s’interroge, à tous les niveaux – fidèles, presse, institution, universitaires –, sur les causes de la pédophilie dans l’Église…

On nous montra le pont de Mostar, bien sûr, en nous signalant bien que c’était grâce à la Turquie d’Erdoğan qu’il fut reconstruit.

Selon le voisinage, il était en voie de radicalisation et sa femme souhaitait le quitter.

La gauche ne parvenant plus à nous vendre sa politique migratoire par la raison ne compte plus que sur l’émotion.

Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Élysée.

Cette semaine, Philippe de Villiers a de nouveau reçu, sur ses terres vendéennes, le chef de l’État et il a renouvelé photos et déclarations en sa faveur.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.

La présidente de l’UNEF de la Sorbonne – à chacun son « The Voice » – vient nous chanter la même chanson du voile léger, transparent, apolitique.

Lilâ, elle est vraiment trop cool ! Je me demande pourquoi Jean-Jacques Bourdin ne l’a pas encore invitée pour parler de sa super proposition.
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
Il l’a fait. Il a appuyé sur le bouton des frappes contre la Syrie.
Les cheminots, les zadistes, les étudiants et quelques autres croyaient occuper le devant des écrans, ils en ont été expulsés par le Président.
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.
L’enjeu est capital : des municipales gagnées à mi-mandat valideraient la politique réformatrice du Président et assurerait sa réélection en 2022.
Ce collège doit ouvrir à la prochaine rentrée scolaire. Bel hommage, que l’on ne peut que saluer.
Il ne faudrait pas que le geste héroïque du lieutenant-colonel Beltrame serve de nouvelle occasion à nos dirigeants pour fuir leurs responsabilités.
Plusieurs signes montrent que le pouvoir n’est pas si déterminé que cela face aux syndicats et qu’il consent même des reculs scandaleux pour leur donner raison.
C’est un pas décisif et irréversible qui aura de multiples conséquences, d’abord chez Les Républicains.
À droite, la trahison est toujours en marche.
Cette seconde quinzaine de mars est une période importante pour les professeurs car c’est celle des demandes de mutations internes aux académies.
Cette logique, cette réalité, les électeurs de base, le peuple de droite l’attendent depuis longtemps.
Virginie Calmels, avec ses saillies accablantes sur la personnalité, la ligne et l’entourage perdant-perdant d’Alain Juppé, aurait pu être éditorialiste à Boulevard Voltaire.

Ce n’est pas un hasard si, à Chemnitz, l’un des slogans très souvent repris par les manifestants est celui de la « haute trahison » de Merkel.

Ce nouveau mur et ce nouveau mouvement populaire ressemblent à ceux de 1989 car ils dépassent l’Allemagne et fracturent toute l’Europe.

Une impression de déjà-vu. Sous Hollande.

Vous êtes, comme moi sans doute, des lecteurs assidus des chroniques de Lionel Baland qui rend compte régulièrement de la situation migratoire et politique en

Il est normal que l’on s’interroge, à tous les niveaux – fidèles, presse, institution, universitaires –, sur les causes de la pédophilie dans l’Église…

On nous montra le pont de Mostar, bien sûr, en nous signalant bien que c’était grâce à la Turquie d’Erdoğan qu’il fut reconstruit.

Selon le voisinage, il était en voie de radicalisation et sa femme souhaitait le quitter.

La gauche ne parvenant plus à nous vendre sa politique migratoire par la raison ne compte plus que sur l’émotion.

Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Élysée.

Cette semaine, Philippe de Villiers a de nouveau reçu, sur ses terres vendéennes, le chef de l’État et il a renouvelé photos et déclarations en sa faveur.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.

La présidente de l’UNEF de la Sorbonne – à chacun son « The Voice » – vient nous chanter la même chanson du voile léger, transparent, apolitique.

Lilâ, elle est vraiment trop cool ! Je me demande pourquoi Jean-Jacques Bourdin ne l’a pas encore invitée pour parler de sa super proposition.
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
Il l’a fait. Il a appuyé sur le bouton des frappes contre la Syrie.
Les cheminots, les zadistes, les étudiants et quelques autres croyaient occuper le devant des écrans, ils en ont été expulsés par le Président.
La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.
L’enjeu est capital : des municipales gagnées à mi-mandat valideraient la politique réformatrice du Président et assurerait sa réélection en 2022.
Ce collège doit ouvrir à la prochaine rentrée scolaire. Bel hommage, que l’on ne peut que saluer.
Il ne faudrait pas que le geste héroïque du lieutenant-colonel Beltrame serve de nouvelle occasion à nos dirigeants pour fuir leurs responsabilités.
Plusieurs signes montrent que le pouvoir n’est pas si déterminé que cela face aux syndicats et qu’il consent même des reculs scandaleux pour leur donner raison.
C’est un pas décisif et irréversible qui aura de multiples conséquences, d’abord chez Les Républicains.
À droite, la trahison est toujours en marche.
Cette seconde quinzaine de mars est une période importante pour les professeurs car c’est celle des demandes de mutations internes aux académies.
Cette logique, cette réalité, les électeurs de base, le peuple de droite l’attendent depuis longtemps.
Virginie Calmels, avec ses saillies accablantes sur la personnalité, la ligne et l’entourage perdant-perdant d’Alain Juppé, aurait pu être éditorialiste à Boulevard Voltaire.
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