Comme porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire n’aura tenu que quelques semaines. Comme ministre des PME, c’est peut-être déjà trop, non ?
Ce vendredi, on apprend que les impératifs familiaux invoqués par Jean Rottner n’étaient que le joli ruban d’un très joli cadeau professionnel pour lequel l’élu a abandonné une présidence de région.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Un enjeu aussi urgent, autant économique que civilisationnel, mérite en effet plus que de belles paroles.
Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.
Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.
La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.
Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.
Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.
Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.
Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
La vidéo s’est, bien sûr, retrouvée sur les réseaux sociaux, avec sous-titrage en langue vernaculaire, et les commentaires de la jeune fille : « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire. »
Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.
C’est un tournant majeur : les retraités et les catégories aisées désormais majoritairement mécontents d’Emmanuel Macron.
Il était devenu une institution, avec tout ce que cela comporte d’ambiguïté.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?
À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.
La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)
Ce qui ressort de beaucoup de ces hommages, c’est la tendance à noyer le poisson islamiste, une fois de plus.
Il y a donc bien des sujets qui fâchent et qui clivent sur lesquels LR se retrouve de facto dans une opposition de droite et où LREM est bien de gauche.
« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»
Le pouvoir a-t-il pris conscience de l’ampleur de l’incendie qu’il a lui-même allumé ? Et va-t-il ajourner cette réforme ?
Les étudiants, qu’ils soient littéraires, philosophes, sociologues, historiens, et le grand public trouveront en Paul Veyne non seulement un admirable écrivain, mais aussi un inlassable questionneur.
Dans l’Histoire, les effondrements militaires suivis de l’instauration de régimes plus démocratiques, s’ils apportent un temps un espoir de paix, parviennent rarement à éviter la résurgence du conflit…
Le coût politique semble bien réel pour le Président puisque l’alternative qui se dessine est assez simple : Macron va-t-il enterrer sa réforme des retraites (ou le contraire) ?
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
Comme porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire n’aura tenu que quelques semaines. Comme ministre des PME, c’est peut-être déjà trop, non ?
Ce vendredi, on apprend que les impératifs familiaux invoqués par Jean Rottner n’étaient que le joli ruban d’un très joli cadeau professionnel pour lequel l’élu a abandonné une présidence de région.
Quoi de plus inclusif que Noël ? Certains le découvrent, d’autres le savent depuis deux mille ans.
Un enjeu aussi urgent, autant économique que civilisationnel, mérite en effet plus que de belles paroles.
Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.
Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.
La ligne Paris-Limoges avait été le symbole de l’essor de la puissance française, elle est aujourd’hui une nouvelle manifestation de son déclin. Et l’élection de la gare de Limoges comme plus belle gare de France, cette année, n’y a rien changé.
Loin devant Macron et Borne, qui s’enfoncent un peu plus encore dans cette enquête YouGov pour Le HuffPost.
Ces micro-péripéties chez EELV sont plus importantes qu’il n’y paraît pour la recomposition politique en cours, y compris à droite.
Danielle Simonnet aurait pu demander des comptes à l’entreprise et au ministre du Travail pour mettre un terme à ces situations administratives d’embauches abusives qui n’auraient pas lieu d’être dans un État de droit.
Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.
Et puis Didier Lallement lâche cette phrase : « Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour. »
La vidéo s’est, bien sûr, retrouvée sur les réseaux sociaux, avec sous-titrage en langue vernaculaire, et les commentaires de la jeune fille : « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire. »
Si Emmanuel Macron cherchait un incident à l’Assemblée pour dissoudre, puisque c’est son obsession selon le JDD, il lui faudra chercher autre chose que cette manipulation qui fait pschitt. Et qui lui revient en boomerang.
C’est un tournant majeur : les retraités et les catégories aisées désormais majoritairement mécontents d’Emmanuel Macron.
Il était devenu une institution, avec tout ce que cela comporte d’ambiguïté.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
Marine Le Pen, en annonçant que le groupe RN voterait la motion proposée par la gauche, les place davantage encore devant leur responsabilité : voudront-ils finir comme les derniers soutiens d’un macronisme en perdition ?
À demi-mot, Nicolas Sarkozy souligne l’impasse politique d’Emmanuel Macron.
La cote d’Emmanuel Macron prend l’eau dans les secteurs qui constituaient son pré carré : sa compétence et sa capacité à rassurer (-8 points)
Ce qui ressort de beaucoup de ces hommages, c’est la tendance à noyer le poisson islamiste, une fois de plus.
Il y a donc bien des sujets qui fâchent et qui clivent sur lesquels LR se retrouve de facto dans une opposition de droite et où LREM est bien de gauche.
« L’idée de Macron selon laquelle l’abondance serait finie n’a ainsi pas de fondement. Cette fin de l’abondance pourrait arriver du fait de décisions politiques, mais non pas du fait des limitations de l’ingéniosité humaine à trouver des solutions.»
Le pouvoir a-t-il pris conscience de l’ampleur de l’incendie qu’il a lui-même allumé ? Et va-t-il ajourner cette réforme ?
Les étudiants, qu’ils soient littéraires, philosophes, sociologues, historiens, et le grand public trouveront en Paul Veyne non seulement un admirable écrivain, mais aussi un inlassable questionneur.
Dans l’Histoire, les effondrements militaires suivis de l’instauration de régimes plus démocratiques, s’ils apportent un temps un espoir de paix, parviennent rarement à éviter la résurgence du conflit…
Le coût politique semble bien réel pour le Président puisque l’alternative qui se dessine est assez simple : Macron va-t-il enterrer sa réforme des retraites (ou le contraire) ?
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
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