Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Nous allons nous battre pour nos clients afin que leurs voix soient entendues, que cesse ce silence assourdissant qui condamne les victimes à l’indifférence et à l’oubli et dérobe les coupables à la vindicte et au verdict judiciaires.
Il y a longtemps que je le dis : la France est en état d’auto-dhimmitude. La complaisance envers le burkini en est une nouvelle marque après tant d’autres.
C’est donc ça, le nouveau mandat du nouveau Président pour le nouveau peuple ? Il ressemble pourtant vachement à l’ancien. Le seul changement ?
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Alors, qui va payer, désormais ? Toujours les mêmes. Les Français.
Pas plus que la mort du fils du chef étoilé, percuté, sur son scooter à l’arrêt par une voiture volée, la tragique agression de ce médecin de haut vol ne fera descendre des foules indignées dans les rues.
Mais pour arriver à ses fins, pourra-t-il réellement faire l’économie d’un référendum ? C’est le dernier (maigre) espoir pour ceux qui sont attachés à la souveraineté des États.
Le pape va-t-il cesser de souffler le chaud et le froid et donner aux prêtres attachés au rite traditionnel la stabilité et la sécurité nécessaires à l’exercice de leur sacerdoce et à l’accueil de nouvelles vocations ?
Si le PS avait raison et LR avait tort ?
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
Après le décès de la Japonaise Kane Tanaka à l’âge vénérable de 119 ans et 107 jours, c’est la Française sœur André qui monte donc – virtuellement – sur le podium.
Ils sont grands déclassés, grands remplacés et maintenant grand méprisés par ceux qui autrefois, pourtant, quand ils votaient à gauche, voyaient dans l’ouvrier prolo une figure quasi christique.
Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.
Le seul à avoir saisi l’essentiel, c’est Gérald Darmanin. Il commentait en ces termes, jeudi matin, sur Europe 1, le débat de la veille : « On a vu le choix entre deux types de France. » Tout est là.
La vérité, c’est que ces élus ont une peur panique de l’islamisme parce qu’ils sont responsables de son implantation.
Sur la banquette du débat, dans le wagon les menant au deuxième tour, il s’étalait, avec l’aisance verbale qu’on lui connaît, et prenait, désinvolte, toute la place.
On le sait, on le sent, l’un des grands angles d’attaque d’Emmanuel Macron, lors du débat de mercredi soir, sera celui-là. C’est l’électorat de Jean-Luc Mélenchon qui est convoité.
Si « l’extrême droite gagne », Alice Coffin prédit « la mise à mort des militantes féministes, au sens littéral »…
Prenons autant de plaisir à cacher les œufs que jadis à les chercher.
Pour se consoler, il pourra se dire qu’il a sans doute été traîné à terre affectueusement. Et ça change tout, n’est-ce pas ?
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Quel paradoxe ! Le candidat le plus jeune, qui promettait le « nouveau monde », a été porté, dans cette présidentielle… par les Français les plus âgés.
Jusqu’en 1944, les femmes ne votaient pas. À cause de la gauche qui se méfiait d’elles.
Si « l’extrême droite » tire parti de ces sujets, ce n’est pas parce qu’elle en parle, mais parce que les autres n’en parlent pas.
Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
Il est des latitudes où le témoignage d’une femme vaut deux fois moins que celui d’un homme. Bénissons le ciel que ce ne soit pas le cas en Occident. Mais créer une disproportion inversée ne serait pas plus juste.
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Nous allons nous battre pour nos clients afin que leurs voix soient entendues, que cesse ce silence assourdissant qui condamne les victimes à l’indifférence et à l’oubli et dérobe les coupables à la vindicte et au verdict judiciaires.
Il y a longtemps que je le dis : la France est en état d’auto-dhimmitude. La complaisance envers le burkini en est une nouvelle marque après tant d’autres.
C’est donc ça, le nouveau mandat du nouveau Président pour le nouveau peuple ? Il ressemble pourtant vachement à l’ancien. Le seul changement ?
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Alors, qui va payer, désormais ? Toujours les mêmes. Les Français.
Pas plus que la mort du fils du chef étoilé, percuté, sur son scooter à l’arrêt par une voiture volée, la tragique agression de ce médecin de haut vol ne fera descendre des foules indignées dans les rues.
Mais pour arriver à ses fins, pourra-t-il réellement faire l’économie d’un référendum ? C’est le dernier (maigre) espoir pour ceux qui sont attachés à la souveraineté des États.
Le pape va-t-il cesser de souffler le chaud et le froid et donner aux prêtres attachés au rite traditionnel la stabilité et la sécurité nécessaires à l’exercice de leur sacerdoce et à l’accueil de nouvelles vocations ?
Si le PS avait raison et LR avait tort ?
Entre dénoncer la mondialisation et s’en servir, il va falloir choisir.
Après le décès de la Japonaise Kane Tanaka à l’âge vénérable de 119 ans et 107 jours, c’est la Française sœur André qui monte donc – virtuellement – sur le podium.
Ils sont grands déclassés, grands remplacés et maintenant grand méprisés par ceux qui autrefois, pourtant, quand ils votaient à gauche, voyaient dans l’ouvrier prolo une figure quasi christique.
Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.
Le seul à avoir saisi l’essentiel, c’est Gérald Darmanin. Il commentait en ces termes, jeudi matin, sur Europe 1, le débat de la veille : « On a vu le choix entre deux types de France. » Tout est là.
La vérité, c’est que ces élus ont une peur panique de l’islamisme parce qu’ils sont responsables de son implantation.
Sur la banquette du débat, dans le wagon les menant au deuxième tour, il s’étalait, avec l’aisance verbale qu’on lui connaît, et prenait, désinvolte, toute la place.
On le sait, on le sent, l’un des grands angles d’attaque d’Emmanuel Macron, lors du débat de mercredi soir, sera celui-là. C’est l’électorat de Jean-Luc Mélenchon qui est convoité.
Si « l’extrême droite gagne », Alice Coffin prédit « la mise à mort des militantes féministes, au sens littéral »…
Prenons autant de plaisir à cacher les œufs que jadis à les chercher.
Pour se consoler, il pourra se dire qu’il a sans doute été traîné à terre affectueusement. Et ça change tout, n’est-ce pas ?
Ce camp de la raison joue tellement à se faire peur depuis des dizaines d’années qu’il finit par croire à ses propres énormités.
Quel paradoxe ! Le candidat le plus jeune, qui promettait le « nouveau monde », a été porté, dans cette présidentielle… par les Français les plus âgés.
Jusqu’en 1944, les femmes ne votaient pas. À cause de la gauche qui se méfiait d’elles.
Si « l’extrême droite » tire parti de ces sujets, ce n’est pas parce qu’elle en parle, mais parce que les autres n’en parlent pas.
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