Au pays des fameux boudoirs Fossier délicatement trempés dans le champagne, les braves gens devront-ils, comme ailleurs, boire la coupe jusqu’à la lie ?
Reste dans tout cela un dilemme : comment reconnaître un artiste d’un islamiste ?
Puisque les trappistes sont, ces temps-ci, à la mode, on peut aussi parler des bénédictins… Il sont plus transgressifs que tous les punks à chien, les antifas à cheveux bleus, plus écolos que tout EELV réuni.
Bref, relativisons, chers amis. Un islamiste est une sorte de militant de Sens commun, un Tory, un prêtre en soutane façon Don Camillo, ou ce brave Rabbi Jacob. Il faut le « respecter ».
Le syllogisme est devenu mode de raisonnement ordinaire…
De façon fortuite mais emblématique, on a assisté, dimanche, à l’émergence, sur deux fronts différents – la bioéthique et l’islamisme -, d’un contre-féminisme porté par de très jeunes femmes.
La Liberté guidant le peuple a été censurée. Et ce n’est pas une image. Au sens propre du terme.
« Ce n’est pas nouveau que les religions veuillent prendre la main sur la vie des gens à travers l’école, les clubs sportifs », explique donc avec assurance François de Rugy en commission à l’Assemblée, « cela a existé massivement avec la religion catholique ».
Ils sont forts. Ils sont très forts. Chapeau bas, maestro ! L’art de retourner leur débâcle comme une chaussette.
Quel rapport entre « les kippas et les croix très visibles » et l’islamisme ? Connaît-on un seul salafiste ayant fait d’une kippa ou d’une croix son étendard ?
Plus que dans la coiffure du ministre délégué, c’est dans sa pensée emmêlée qu’il faudrait mettre un peu d’ordre.
Si l’on ne craignait pas de faire son Tertullien de comptoir ou son Psichari grandiloquent, on dirait que le sang des soldats est aux Français ce que celui des martyrs est aux chrétiens : une semence.
Notre gouvernement, si prompt, pourtant, à inonder les réseaux sociaux de son indignation surjouée, est, en ce dimanche, d’une discrétion de violette, muet comme une carpe, motus et bouche cousue.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Susceptible, donneuse de leçons, dogmatique comme une bonne sœur agnostique.
Le soir de Noël, on a le droit de croire un peu à tout et à n’importe quoi, alors pourquoi pas à ça ?
Il paraît que pour cette finale – demain, à 21 h 00 -, les téléspectateurs peuvent voter. On va se gêner !
Depuis les fresques de Stains et de Noisy-le-Sec, l’icône de l’antiracisme a fait du chemin.
Tandis que, sur les réseaux sociaux, la polémique sur le « negru » lâché par un arbitre roumain fait rage, d’autres « Noirs », en France, font l’objet de menaces sans que nul ne s’en émeuve…
Les Français savent-ils qu’à l’école la question de l’immigration est abordée sous un prisme d’extrême gauche ?
La presse nous le répète en boucle : sur Brut, le Président a voulu parler « aux jeunes ». Mais à quels jeunes ?
« Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre. »
Puisse Anne-Sylvestre retrouver son petit-fils dans cette cathédrale éternelle qu’on appelle le Ciel, pour qu’on l’y entende sonner toujours.
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
La France n’est pas seulement l’Absurdistan. Elle était, aujourd’hui, l’Injustistan et l’Anarchistan.
Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…
France Info est devenue Gulli, les Français sont revenus à l’école maternelle et le professeur Salomon parle comme l’autocollant dans le métro…
Gabrielle Cluzel invitée de « Midi News Week-end » du 21/11/2020 sur CNews https://www.dailymotion.com/video/x7xmgpu Gabrielle Cluzel invitée de « Soir Info » du 19/11/2020 sur CNews https://www.dailymotion.com/video/x7xlf6k Gabrielle Cluzel
Au pays des fameux boudoirs Fossier délicatement trempés dans le champagne, les braves gens devront-ils, comme ailleurs, boire la coupe jusqu’à la lie ?
Reste dans tout cela un dilemme : comment reconnaître un artiste d’un islamiste ?
Puisque les trappistes sont, ces temps-ci, à la mode, on peut aussi parler des bénédictins… Il sont plus transgressifs que tous les punks à chien, les antifas à cheveux bleus, plus écolos que tout EELV réuni.
Bref, relativisons, chers amis. Un islamiste est une sorte de militant de Sens commun, un Tory, un prêtre en soutane façon Don Camillo, ou ce brave Rabbi Jacob. Il faut le « respecter ».
Le syllogisme est devenu mode de raisonnement ordinaire…
De façon fortuite mais emblématique, on a assisté, dimanche, à l’émergence, sur deux fronts différents – la bioéthique et l’islamisme -, d’un contre-féminisme porté par de très jeunes femmes.
La Liberté guidant le peuple a été censurée. Et ce n’est pas une image. Au sens propre du terme.
« Ce n’est pas nouveau que les religions veuillent prendre la main sur la vie des gens à travers l’école, les clubs sportifs », explique donc avec assurance François de Rugy en commission à l’Assemblée, « cela a existé massivement avec la religion catholique ».
Ils sont forts. Ils sont très forts. Chapeau bas, maestro ! L’art de retourner leur débâcle comme une chaussette.
Quel rapport entre « les kippas et les croix très visibles » et l’islamisme ? Connaît-on un seul salafiste ayant fait d’une kippa ou d’une croix son étendard ?
Plus que dans la coiffure du ministre délégué, c’est dans sa pensée emmêlée qu’il faudrait mettre un peu d’ordre.
Si l’on ne craignait pas de faire son Tertullien de comptoir ou son Psichari grandiloquent, on dirait que le sang des soldats est aux Français ce que celui des martyrs est aux chrétiens : une semence.
Notre gouvernement, si prompt, pourtant, à inonder les réseaux sociaux de son indignation surjouée, est, en ce dimanche, d’une discrétion de violette, muet comme une carpe, motus et bouche cousue.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Susceptible, donneuse de leçons, dogmatique comme une bonne sœur agnostique.
Le soir de Noël, on a le droit de croire un peu à tout et à n’importe quoi, alors pourquoi pas à ça ?
Il paraît que pour cette finale – demain, à 21 h 00 -, les téléspectateurs peuvent voter. On va se gêner !
Depuis les fresques de Stains et de Noisy-le-Sec, l’icône de l’antiracisme a fait du chemin.
Tandis que, sur les réseaux sociaux, la polémique sur le « negru » lâché par un arbitre roumain fait rage, d’autres « Noirs », en France, font l’objet de menaces sans que nul ne s’en émeuve…
Les Français savent-ils qu’à l’école la question de l’immigration est abordée sous un prisme d’extrême gauche ?
La presse nous le répète en boucle : sur Brut, le Président a voulu parler « aux jeunes ». Mais à quels jeunes ?
« Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre. »
Puisse Anne-Sylvestre retrouver son petit-fils dans cette cathédrale éternelle qu’on appelle le Ciel, pour qu’on l’y entende sonner toujours.
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
La France n’est pas seulement l’Absurdistan. Elle était, aujourd’hui, l’Injustistan et l’Anarchistan.
Assis sur un tas de ruines fumant, Emmanuel Macron propose de « bâtir ensemble » un « travail de civilisation »…
France Info est devenue Gulli, les Français sont revenus à l’école maternelle et le professeur Salomon parle comme l’autocollant dans le métro…
Gabrielle Cluzel invitée de « Midi News Week-end » du 21/11/2020 sur CNews https://www.dailymotion.com/video/x7xmgpu Gabrielle Cluzel invitée de « Soir Info » du 19/11/2020 sur CNews https://www.dailymotion.com/video/x7xlf6k Gabrielle Cluzel
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