Ses locataires n’ont jamais payé leur loyer. « Elle a été contrainte de vendre son propre appartement pour rembourser le crédit de la maison qu’elle avait mise en location. »
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Les jeunes militants du FN et de LR se connaissent, se côtoient, lisent les mêmes magazines et se rendent dans les mêmes bars.
Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.
Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…
C’est en quatre lettres assassines – « oups ! » – que le journaliste Jean-Christophe Buisson résume le sentiment général sur son compte Twitter.
Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?
Un coup de com’ voyant au service d’une idéologie, indigne de qui prétend être « en même temps » le président (intelligent) de tous les Français.
Mais pourquoi donc cette effervescence des idées, reste-t-elle « composite et parfois foutraque », et sans traduction politique commune ?
Peuple de France, retourne à tes racines !
En France,« les règles sont faites pour être appliquées »… mais seulement par ceux qui sont trop bien élevés pour s’asseoir dessus.
La République en Marche sur la Tête, vous connaissez ?
À quel moment les élus du coin ont-ils trouvé que financer ce projet avec l’argent de leurs administrés était une bonne idée ?
Puisse ce 8 mai nous donner l’envie de nous bouger le train.
Droite du réel, car Robert Ménard, qui vient de la gauche, n’a pas franchi le Rubicon pour pêcher à la ligne.
La Légion étrangère reste l’un des derniers endroits, dans notre pays, sachant faire de « migrants » de vrais Français. Par le sang versé.
« Le sens du progrès, cela peut être celui que l’homme choisit et décide de lui donner au lieu de, parfois, le subir »
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
À quel « voile catholique » arboré par sa « maman », fait référence Christophe Castaner ?
Quoi que puisse en penser le chœur des pleureuses de gauche, Emmanuel Macron n’a donné aucun gage. Tout au plus a-t-il passé un baume sur les vieilles plaies.
On se gratte le menton : mais alors de qui, au juste, peut-il bien s’agir ?
Son dernier livre s’intitule « La Grande Peur des Catholiques de France », comprenez surtout : « La Grande Peur d’Henri Tincq ».
Emmanuel Macron s’est engagé. Devant un cercueil, devant une famille endeuillée, et surtout devant toute la France réunie qui ne se satisfera pas d’un éloge funèbre bien tourné.
Le jour de mon anniversaire, j’ai bu un verre de uscadet avec Jean Raspail.
À l’instar de tous ses camarades, passés comme lui par Saint-Cyr-l’École ou par l’EMIA, Arnaud Beltrame a lu Hélie de Saint-Marc. Et il l’a montré.
Un lieutenant-Colonel de gendarmerie s’est volontairement substitué à l’otage que l’islamiste tenait contre lui pour se protéger.
Ne les appelez plus « les Insoumis » mais les « Toutpermis ». Qui peuvent dire à leur guise tout et rien. Et surtout n’importe quoi.
Appelons-les djihadistes, terroristes, islamistes… ce ne sont pas les mots qui manquent.
Ses locataires n’ont jamais payé leur loyer. « Elle a été contrainte de vendre son propre appartement pour rembourser le crédit de la maison qu’elle avait mise en location. »
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Les jeunes militants du FN et de LR se connaissent, se côtoient, lisent les mêmes magazines et se rendent dans les mêmes bars.
Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.
Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…
C’est en quatre lettres assassines – « oups ! » – que le journaliste Jean-Christophe Buisson résume le sentiment général sur son compte Twitter.
Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?
Un coup de com’ voyant au service d’une idéologie, indigne de qui prétend être « en même temps » le président (intelligent) de tous les Français.
Mais pourquoi donc cette effervescence des idées, reste-t-elle « composite et parfois foutraque », et sans traduction politique commune ?
Peuple de France, retourne à tes racines !
En France,« les règles sont faites pour être appliquées »… mais seulement par ceux qui sont trop bien élevés pour s’asseoir dessus.
La République en Marche sur la Tête, vous connaissez ?
À quel moment les élus du coin ont-ils trouvé que financer ce projet avec l’argent de leurs administrés était une bonne idée ?
Puisse ce 8 mai nous donner l’envie de nous bouger le train.
Droite du réel, car Robert Ménard, qui vient de la gauche, n’a pas franchi le Rubicon pour pêcher à la ligne.
La Légion étrangère reste l’un des derniers endroits, dans notre pays, sachant faire de « migrants » de vrais Français. Par le sang versé.
« Le sens du progrès, cela peut être celui que l’homme choisit et décide de lui donner au lieu de, parfois, le subir »
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
À quel « voile catholique » arboré par sa « maman », fait référence Christophe Castaner ?
Quoi que puisse en penser le chœur des pleureuses de gauche, Emmanuel Macron n’a donné aucun gage. Tout au plus a-t-il passé un baume sur les vieilles plaies.
On se gratte le menton : mais alors de qui, au juste, peut-il bien s’agir ?
Son dernier livre s’intitule « La Grande Peur des Catholiques de France », comprenez surtout : « La Grande Peur d’Henri Tincq ».
Emmanuel Macron s’est engagé. Devant un cercueil, devant une famille endeuillée, et surtout devant toute la France réunie qui ne se satisfera pas d’un éloge funèbre bien tourné.
Le jour de mon anniversaire, j’ai bu un verre de uscadet avec Jean Raspail.
À l’instar de tous ses camarades, passés comme lui par Saint-Cyr-l’École ou par l’EMIA, Arnaud Beltrame a lu Hélie de Saint-Marc. Et il l’a montré.
Un lieutenant-Colonel de gendarmerie s’est volontairement substitué à l’otage que l’islamiste tenait contre lui pour se protéger.
Ne les appelez plus « les Insoumis » mais les « Toutpermis ». Qui peuvent dire à leur guise tout et rien. Et surtout n’importe quoi.
Appelons-les djihadistes, terroristes, islamistes… ce ne sont pas les mots qui manquent.
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