Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste
L’affaire est bien plus qu’une injustice qu’il fallait réparer, elle « est un symptôme de la montée de l’islamisme […] et plus largement de décomposition française ».
Karine Le Marchand ne s’est pas contentée d’apporter le bonheur dans le pré : elle y a elle-même trouvé un certain bon sens paysan.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Ils ont prétendu construire une contre-culture, mais la vérité est qu’ils n’ont su qu’ériger une non-culture.
Un drôle d’oiseau, hein ? Faut-il qu’il soit un peu maso ? Ou juste décidé à faire son boulot.
Non, Marlène Schiappa, TOUT n’est pas misogynie
Fake news du Média : le lycéen « bourgeois » de l’Émission politique n’habite pas Neuilly mais le 93
Connaître les règles de savoir-vivre élémentaires – et les appliquer – n’est pas qu’une convention mais la moindre des politesses.
Attendez ne partez pas ! Ce n’est pas ce que vous croyez, un bouquin pour grenouille de bénitier qui va mortellement vous saouler. Au contraire, vous allez le dévorer.
Clémentine Autain n’a pas tort quand elle s’inquiète de « l’effet que [ce départ] va produire sur une partie de la population ».
Le débat en France tend à ressembler au sketch des oranges de Fernand Raynaud : Quoi que disent certains, ils en disent toujours trop. Ne leur reste qu’à se taire.
Les personnes âgées maltraitées… n’est-ce pas honteux dans un pays dit civilisé ?
Christiane Taubira, le retour. Et sur les questions féministes, bien sûr, qui occupent toute l’actualité, car Madame est experte. Paraît-il.
Préalable indispensable en même temps qu’arme redoutable pour combattre la PMA – GPA.
Un témoin raconte à Boulevard Voltaire.
Alors, on fait quoi ? On laisse se construire cette immense tour de Babel ?
Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin.
Il a porté de sa créativité et de son énergie à peu près toutes les causes indéfendables.
Comme on le voit, Rayan Nezzar n’a pas l’injure très sophistiquée ni le registre tellement varié.
Ce que l’on ne souhaite pas à son bifteck, pourquoi le vouloir pour sa femme ?
On ne peut plus ironiser, complimenter, se déguiser. Mais on peut, en revanche, dé-non-cer ! Trop belle la vie.
« Cette agitation féministe et ces cris d’orfraie me laissent assez sceptique. »
L’auteur explore les 300 synonymes – désuets, à la mode, littéraires, familiers, péjoratifs, flatteurs -, du mot « femme ».
Détruire la galanterie, c’est revenir à la loi du plus fort.
La semaine passée a été celle de l’union sacrée autour des défunts, c’est déjà terminé.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
« Il n’y a pas qu’à cette date que nous pensons à elle. Nous y pensons tous les jours »
Si l’on cessait d’offrir le spectacle d’un condensé de la caricature féminine telle qu’elle est véhiculée dans la littérature depuis le XIXe ?
Sur Boulevard Voltaire, nous dénonçons suffisamment les médias « mainstream », pour leur rendre justice lorsqu’ils défendent la liberté d’expression.
L’affaire est bien plus qu’une injustice qu’il fallait réparer, elle « est un symptôme de la montée de l’islamisme […] et plus largement de décomposition française ».
Karine Le Marchand ne s’est pas contentée d’apporter le bonheur dans le pré : elle y a elle-même trouvé un certain bon sens paysan.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Ils ont prétendu construire une contre-culture, mais la vérité est qu’ils n’ont su qu’ériger une non-culture.
Un drôle d’oiseau, hein ? Faut-il qu’il soit un peu maso ? Ou juste décidé à faire son boulot.
Non, Marlène Schiappa, TOUT n’est pas misogynie
Fake news du Média : le lycéen « bourgeois » de l’Émission politique n’habite pas Neuilly mais le 93
Connaître les règles de savoir-vivre élémentaires – et les appliquer – n’est pas qu’une convention mais la moindre des politesses.
Attendez ne partez pas ! Ce n’est pas ce que vous croyez, un bouquin pour grenouille de bénitier qui va mortellement vous saouler. Au contraire, vous allez le dévorer.
Clémentine Autain n’a pas tort quand elle s’inquiète de « l’effet que [ce départ] va produire sur une partie de la population ».
Le débat en France tend à ressembler au sketch des oranges de Fernand Raynaud : Quoi que disent certains, ils en disent toujours trop. Ne leur reste qu’à se taire.
Les personnes âgées maltraitées… n’est-ce pas honteux dans un pays dit civilisé ?
Christiane Taubira, le retour. Et sur les questions féministes, bien sûr, qui occupent toute l’actualité, car Madame est experte. Paraît-il.
Préalable indispensable en même temps qu’arme redoutable pour combattre la PMA – GPA.
Un témoin raconte à Boulevard Voltaire.
Alors, on fait quoi ? On laisse se construire cette immense tour de Babel ?
Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin.
Il a porté de sa créativité et de son énergie à peu près toutes les causes indéfendables.
Comme on le voit, Rayan Nezzar n’a pas l’injure très sophistiquée ni le registre tellement varié.
Ce que l’on ne souhaite pas à son bifteck, pourquoi le vouloir pour sa femme ?
On ne peut plus ironiser, complimenter, se déguiser. Mais on peut, en revanche, dé-non-cer ! Trop belle la vie.
« Cette agitation féministe et ces cris d’orfraie me laissent assez sceptique. »
L’auteur explore les 300 synonymes – désuets, à la mode, littéraires, familiers, péjoratifs, flatteurs -, du mot « femme ».
Détruire la galanterie, c’est revenir à la loi du plus fort.
La semaine passée a été celle de l’union sacrée autour des défunts, c’est déjà terminé.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
« Il n’y a pas qu’à cette date que nous pensons à elle. Nous y pensons tous les jours »
Si l’on cessait d’offrir le spectacle d’un condensé de la caricature féminine telle qu’elle est véhiculée dans la littérature depuis le XIXe ?
Sur Boulevard Voltaire, nous dénonçons suffisamment les médias « mainstream », pour leur rendre justice lorsqu’ils défendent la liberté d’expression.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Un vert manteau de mosquées
Lire la vidéo
