47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
Cette situation rejoint une tendance générale aux États-Unis actuellement : la fuite des résidents (qui en ont les moyens) vers des gouvernements locaux conservateurs et libres.
Mardi dernier, le Sénat de Floride adoptait un projet de loi faisant grincer les dents des démocrates. Il s’agit d’interdire dans les écoles primaires de l’État républicain toute discussion sur « l’orientation sexuelle ou l’identité de genre ».
Après dix-huit ans de bons et loyaux services pour numériser – et épier – la vie des gens, serait-il temps de passer à autre chose ?
Les revendications du mouvement, au-delà d’une profession, est d’arrêter toutes les restrictions sanitaires dans le pays, sources de faillites économiques et morales.
L’analyste Jack Posobiec faisait récemment une remarque intéressante. Pour lui, le dossier du Capitole illustre la faiblesse de la droite conservatrice, qui pèche toujours au même endroit : laisser la gauche faire l’actualité sur les sujets qu’elle-même choisit.
Le retour potentiel d’Hillary Clinton montre tout d’abord l’orgueil démesuré de cette caste politique…
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Après les restrictions sévères vis-à-vis des possibilités d’avortement, c’est désormais la reprise en main des programmes scolaires qui fait les gros titres des médias américains.
Force est de constater qu’un mois après, les médias américains sont passés à autre chose. Pour les témoins et victimes du drame, ils veulent simplement étouffer le scandale de l’idéologie gauchiste.
Quand certains ne font que parler, lui agit. Et c’est bien la marque de fabrique de cet hyperactif, de pourtant soixante-quinze ans.
Depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de la théorie critique de la race à l’école…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
Ainsi, quand en France l’avortement ne fait même plus débat, la question devient pivot pour une élection américaine et pourrait bien déstabiliser l’administration Biden.
Neuf mois après son installation à la Maison-Blanche, la cote de popularité du démocrate est en berne.
Bien que le dernier bébé de Donald Trump soit moqué par la presse, notamment française (on se rappelle les sarcasmes de début 2016 sur le « ridicule » candidat républicain), la nouvelle a fait mouche du côté des investisseurs.
Les enquêtes d’opinion indiquent cependant un bon positionnement de DeSantis derrière Donald Trump dans le cas d’une primaire républicaine.
Frances Haugen avance que l’entreprise ment délibérément au public et à ses investisseurs lorsqu’elle dit lutter contre « les discours de haine, de violence et de fausses informations ».
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
Cette situation rejoint une tendance générale aux États-Unis actuellement : la fuite des résidents (qui en ont les moyens) vers des gouvernements locaux conservateurs et libres.
Mardi dernier, le Sénat de Floride adoptait un projet de loi faisant grincer les dents des démocrates. Il s’agit d’interdire dans les écoles primaires de l’État républicain toute discussion sur « l’orientation sexuelle ou l’identité de genre ».
Après dix-huit ans de bons et loyaux services pour numériser – et épier – la vie des gens, serait-il temps de passer à autre chose ?
Les revendications du mouvement, au-delà d’une profession, est d’arrêter toutes les restrictions sanitaires dans le pays, sources de faillites économiques et morales.
L’analyste Jack Posobiec faisait récemment une remarque intéressante. Pour lui, le dossier du Capitole illustre la faiblesse de la droite conservatrice, qui pèche toujours au même endroit : laisser la gauche faire l’actualité sur les sujets qu’elle-même choisit.
Le retour potentiel d’Hillary Clinton montre tout d’abord l’orgueil démesuré de cette caste politique…
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Tous rejoignent Newsweek : « Aucun président de l’ère moderne, pas Jimmy Carter, pas même Donald Trump, n’est tombé en disgrâce si rapidement et si tôt dans une présidence. » Joe Biden le reconnaît d’ailleurs lui-même…
Après les restrictions sévères vis-à-vis des possibilités d’avortement, c’est désormais la reprise en main des programmes scolaires qui fait les gros titres des médias américains.
Force est de constater qu’un mois après, les médias américains sont passés à autre chose. Pour les témoins et victimes du drame, ils veulent simplement étouffer le scandale de l’idéologie gauchiste.
Quand certains ne font que parler, lui agit. Et c’est bien la marque de fabrique de cet hyperactif, de pourtant soixante-quinze ans.
Depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de la théorie critique de la race à l’école…
Pour Mike Pompeo, secrétaire d’État du président Trump et ancien directeur de la CIA, « la vice-présidente déshonore les États-Unis sur la scène internationale ».
Ainsi, quand en France l’avortement ne fait même plus débat, la question devient pivot pour une élection américaine et pourrait bien déstabiliser l’administration Biden.
Neuf mois après son installation à la Maison-Blanche, la cote de popularité du démocrate est en berne.
Bien que le dernier bébé de Donald Trump soit moqué par la presse, notamment française (on se rappelle les sarcasmes de début 2016 sur le « ridicule » candidat républicain), la nouvelle a fait mouche du côté des investisseurs.
Les enquêtes d’opinion indiquent cependant un bon positionnement de DeSantis derrière Donald Trump dans le cas d’une primaire républicaine.
Frances Haugen avance que l’entreprise ment délibérément au public et à ses investisseurs lorsqu’elle dit lutter contre « les discours de haine, de violence et de fausses informations ».
Fin septembre, Ben Schreckinger, reporter pour le journal américain de centre gauche Politico, publiait un livre-enquête sur l’ascension de la première famille des États-Unis : The Bidens.
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