Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Les Français ont sans doute aussi compris que tout n’est peut-être pas la faute « à » Poutine.
Cette attaque frontale de Stéphane Séjourné, en tribune, à l’évidence, vise moins la Lega de Salvini ou le Fidesz d’ Orbán que le Rassemblement national de Jordan Bardella…
Du parti groupusculaire, fondé en 1972 sous Georges Pompidou par Jean-Marie Le Pen, au mouvement comptant sous Emmanuel Macron plus d’une centaine de parlementaires (nationaux et européens), que de chemin parcouru !
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.
Agnès Pannier-Runacher déroule les éléments de langage comme d’autres déroulent du câble.
On dit que Macron déconstruit la France. L’œuvre est vaste et à hauteur du grand homme. Heureusement, il trouve « dans nos territoires » des tâcherons locaux pour l’aider.
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Tout cela est bien joli mais on en revient toujours à la même question hautement existentielle, voire philosophique : qui ferait mon lit, dans tout ça ?
Un plaisir que de parcourir ce jardin à l’anglaise qu’est la généalogie des rois d’Angleterre !
Charles, désormais Charles III, suivra-t-il cette tradition millénaire du sacre, lui qui se pique de spiritualité – de toutes les spiritualités – mais qui eut vingt ans sous le règne des Beatles et quarante sous celui de George Michael ?
Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.
Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.
La République fait parfois des miracles.
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Jean Castex recasé, désormais, dans la série des reclassements de l’été et SAV en tout genre, on n’attend plus que celui d’Amélie de Montchalin et de Christophe Castaner.
La chose devient ubuesque lorsqu’on apprend que les fameux renforts de sapeurs-pompiers européens n’étaient pas soumis à cette obligation vaccinale.
Comment, enfin, ne pas penser à la France ? Une France qui ne cesse de perdre de son influence en Afrique.
Cyrille Peyraube omet d’ailleurs de préciser que tout ça fonctionne sans perfusion d’argent public…
Visiblement, les universités d’été de LFI, c’est un peu comme le festival d’Avignon : il y a le in et le off…
Si les étrangers résidant sur le territoire national ont un jour les mêmes droits que les citoyens français, alors il n’y aura plus que des citoyens tout court, c’est-à-dire, à terme, des citoyens du monde.
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Naguère, on a appelé ça les « accommodements raisonnables ». C’est l’esprit de Juppé en slip et bonnet de bain qui prend un bain de jouvence après le passage obligatoire à la douche et aux pédiluves du politiquement correct.
Quand ça veut pas, ça veut pas.
« Ne laissez pas faire en France ce que nous avons laissé faire au Kosovo. »
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Les Français ont sans doute aussi compris que tout n’est peut-être pas la faute « à » Poutine.
Cette attaque frontale de Stéphane Séjourné, en tribune, à l’évidence, vise moins la Lega de Salvini ou le Fidesz d’ Orbán que le Rassemblement national de Jordan Bardella…
Du parti groupusculaire, fondé en 1972 sous Georges Pompidou par Jean-Marie Le Pen, au mouvement comptant sous Emmanuel Macron plus d’une centaine de parlementaires (nationaux et européens), que de chemin parcouru !
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.
Agnès Pannier-Runacher déroule les éléments de langage comme d’autres déroulent du câble.
On dit que Macron déconstruit la France. L’œuvre est vaste et à hauteur du grand homme. Heureusement, il trouve « dans nos territoires » des tâcherons locaux pour l’aider.
On continue la politique du « Je ramasse un maximum d’une main et de l’autre je redistribue des miettes »…
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Tout cela est bien joli mais on en revient toujours à la même question hautement existentielle, voire philosophique : qui ferait mon lit, dans tout ça ?
Un plaisir que de parcourir ce jardin à l’anglaise qu’est la généalogie des rois d’Angleterre !
Charles, désormais Charles III, suivra-t-il cette tradition millénaire du sacre, lui qui se pique de spiritualité – de toutes les spiritualités – mais qui eut vingt ans sous le règne des Beatles et quarante sous celui de George Michael ?
Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.
Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.
La République fait parfois des miracles.
Au début du premier mandat d’Emmanuel Macron, il fallait « penser printemps ». Aujourd’hui, ce sont les mêmes qui nous disent, avec la même assurance, qu’il va falloir penser, non pas hiver, mais à l’hiver qui vient…
Jean Castex recasé, désormais, dans la série des reclassements de l’été et SAV en tout genre, on n’attend plus que celui d’Amélie de Montchalin et de Christophe Castaner.
La chose devient ubuesque lorsqu’on apprend que les fameux renforts de sapeurs-pompiers européens n’étaient pas soumis à cette obligation vaccinale.
Comment, enfin, ne pas penser à la France ? Une France qui ne cesse de perdre de son influence en Afrique.
Cyrille Peyraube omet d’ailleurs de préciser que tout ça fonctionne sans perfusion d’argent public…
Visiblement, les universités d’été de LFI, c’est un peu comme le festival d’Avignon : il y a le in et le off…
Si les étrangers résidant sur le territoire national ont un jour les mêmes droits que les citoyens français, alors il n’y aura plus que des citoyens tout court, c’est-à-dire, à terme, des citoyens du monde.
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Naguère, on a appelé ça les « accommodements raisonnables ». C’est l’esprit de Juppé en slip et bonnet de bain qui prend un bain de jouvence après le passage obligatoire à la douche et aux pédiluves du politiquement correct.
Quand ça veut pas, ça veut pas.
« Ne laissez pas faire en France ce que nous avons laissé faire au Kosovo. »
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