Qu’il assume ! Et faisons de ces récalcitrants des délinquants et pourquoi pas des criminels pendant qu’on y est.
En Provence, pour se « souhaiter les vœux », on dit traditionnellement : « À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins ! » Là, c’est tout le contraire, que nous dit Taubira.
Les Allemands et, par voie de conséquence (!), les Européens ont-ils hérité d’une main de fer dans un gant de fer ?
L’héritier du trône peut « épouser une personne du même sexe et ne pas renoncer à son droit au trône ». En somme, la monarchie inclusive.
Marine Le Pen se construit, peu à peu, une stature internationale ou, tout du moins, européenne.
Il n’y a pas, il n’y a plus de leader naturel dans cette formation politique, très lointaine héritière des partis gaullistes qui cultivaient la mystique de l’homme providentiel…
Christine Kelly parle de crise sociale, économique, sanitaire, politique, identitaire. Pas institutionnelle !
Quand, soudain, tout déraille. La Martichoux pose une question qui, soi-disant, n’était pas prévue dans la planif.
Christophe Castaner, c’est en quelque sorte la Nadine de Rothschild de la Macronie.
Lorsque chroniques mondaine et judiciaire se rejoignent.
Au fond, c’est quoi, 700.000 clandestins, sur une population de 67 millions d’habitants ?
Cela ne pèse sans doute pas autant que ces indignations convenables et convenues, mais si l’on peut, ici, apporter notre soutien admiratif à l’intelligence et à la beauté d’âme, c’est bien volontiers !
Il a commencé sa carrière politique en chantant « L’Internationale sera le genre humain » ; il la termine en voulant introduire dans la Constitution « la liberté de genre ».
Le pronom « Iel » débarque dans Le Robert. À côté de ce charabia, le très macronien « celles et ceux » passe pour de la littérature Grand Siècle.
Une fois les bijoux de famille vendus, on fait comment ?
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
La dernière fois qu’un général se vit conférer (à titre posthume) cette dignité dans l’État ce fut le 8 juin 1984, par décret de François Mitterrand au profit du général d’armée Pierre Koenig (1898-1970), héros de Bir Hakeim…
Hasard du calendrier ? Main du destin ou de la providence ? En tout cas, c’est un fait : l’armistice fut signé le 11 novembre, jour de la Saint-Martin.
Faire campagne sans le dire. Car ce mardi 9 novembre, Emmanuel Macron nous a brossé le tableau d’un pays merveilleux qui s’appelle la France.
Déposer des chrysanthèmes, à défaut de les inaugurer, devient un acte militant, un combat, une lutte contre la bête immonde. Un petit effort, encore, et Charles de Gaulle sera érigé en défenseur des migrants.
Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.
Au passage, une question : cette allocution sera-t-elle comptée par le CSA dans le temps de parole du futur candidat ?
Sauf erreur de notre part, Emmanuel Macron n’est toujours pas grand-croix de l’ordre du Mérite de la République fédérale d’Allemagne. Une injustice qu’il conviendrait de réparer au plus vite.
Et puis, tant qu’on y est, moins de délinquance, de criminalité, moins de policiers…
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
À défaut de faire l’Histoire, Emmanuel Macron adore la revisiter.
Est-ce le sondage qui fait l’opinion ou le contraire ?
Plus on est à droite, plus on pense que le grand remplacement aura lieu…
Qu’il assume ! Et faisons de ces récalcitrants des délinquants et pourquoi pas des criminels pendant qu’on y est.
En Provence, pour se « souhaiter les vœux », on dit traditionnellement : « À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins ! » Là, c’est tout le contraire, que nous dit Taubira.
Les Allemands et, par voie de conséquence (!), les Européens ont-ils hérité d’une main de fer dans un gant de fer ?
L’héritier du trône peut « épouser une personne du même sexe et ne pas renoncer à son droit au trône ». En somme, la monarchie inclusive.
Marine Le Pen se construit, peu à peu, une stature internationale ou, tout du moins, européenne.
Il n’y a pas, il n’y a plus de leader naturel dans cette formation politique, très lointaine héritière des partis gaullistes qui cultivaient la mystique de l’homme providentiel…
Christine Kelly parle de crise sociale, économique, sanitaire, politique, identitaire. Pas institutionnelle !
Quand, soudain, tout déraille. La Martichoux pose une question qui, soi-disant, n’était pas prévue dans la planif.
Christophe Castaner, c’est en quelque sorte la Nadine de Rothschild de la Macronie.
Lorsque chroniques mondaine et judiciaire se rejoignent.
Au fond, c’est quoi, 700.000 clandestins, sur une population de 67 millions d’habitants ?
Cela ne pèse sans doute pas autant que ces indignations convenables et convenues, mais si l’on peut, ici, apporter notre soutien admiratif à l’intelligence et à la beauté d’âme, c’est bien volontiers !
Il a commencé sa carrière politique en chantant « L’Internationale sera le genre humain » ; il la termine en voulant introduire dans la Constitution « la liberté de genre ».
Le pronom « Iel » débarque dans Le Robert. À côté de ce charabia, le très macronien « celles et ceux » passe pour de la littérature Grand Siècle.
Une fois les bijoux de famille vendus, on fait comment ?
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
La dernière fois qu’un général se vit conférer (à titre posthume) cette dignité dans l’État ce fut le 8 juin 1984, par décret de François Mitterrand au profit du général d’armée Pierre Koenig (1898-1970), héros de Bir Hakeim…
Hasard du calendrier ? Main du destin ou de la providence ? En tout cas, c’est un fait : l’armistice fut signé le 11 novembre, jour de la Saint-Martin.
Faire campagne sans le dire. Car ce mardi 9 novembre, Emmanuel Macron nous a brossé le tableau d’un pays merveilleux qui s’appelle la France.
Déposer des chrysanthèmes, à défaut de les inaugurer, devient un acte militant, un combat, une lutte contre la bête immonde. Un petit effort, encore, et Charles de Gaulle sera érigé en défenseur des migrants.
Mais on imagine qu’il ne faut surtout pas appeler cela de la discrimination.
Au passage, une question : cette allocution sera-t-elle comptée par le CSA dans le temps de parole du futur candidat ?
Sauf erreur de notre part, Emmanuel Macron n’est toujours pas grand-croix de l’ordre du Mérite de la République fédérale d’Allemagne. Une injustice qu’il conviendrait de réparer au plus vite.
Et puis, tant qu’on y est, moins de délinquance, de criminalité, moins de policiers…
On attendait des excuses, on a été servis ! Une séance publique où le Président français, la main gauche crispée sur le genou, doit avaler cet évident mensonge.
À défaut de faire l’Histoire, Emmanuel Macron adore la revisiter.
Est-ce le sondage qui fait l’opinion ou le contraire ?
Plus on est à droite, plus on pense que le grand remplacement aura lieu…
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