Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Entre-temps, les plus vieux seront morts d’isolement. Avec l’Union européenne, on meurt guéri.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Mais au fond, courir la nuit, c’est une riche idée, quand on y réfléchit un peu. Paraît-il, la délinquance a baissé depuis le début du confinement.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
M. Lannelongue parle de « licenciement politique ». Mais tout est politique, mon bon monsieur !
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
La reine ne s’écoute pas parler : elle n’a rien à prouver.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.
L’amour dure trois ans, dit-on. Parfois beaucoup moins. Exemple : celui qui était censé exister entre le couple Sussex et les Britanniques. Deux saisons, tout juste.
Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »
Parce que le Président se défend, chez nos amis italiens, de tout retard sur les mesures de confinement.
Le Tour de France à huis clos. Personne n’y avait pensé.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
On attend avec impatience l’arrêté préfectoral qui osera fixer les conditions réglementaires de la bagatelle afin de respecter les mesures de « distanciation sociale »…
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Va falloir s’occuper, les amis. Contrairement à la grève qui durait « des fois trois semaines, des fois même trois semaines, voire même trois semaines »,
Certes, dans le « bordel ambiant actuel », pour l’instant tout va bien, si l’on peut dire, pour le Président.
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.
Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Manuel Valls est un cas spécial.
Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Entre-temps, les plus vieux seront morts d’isolement. Avec l’Union européenne, on meurt guéri.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Mais au fond, courir la nuit, c’est une riche idée, quand on y réfléchit un peu. Paraît-il, la délinquance a baissé depuis le début du confinement.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
M. Lannelongue parle de « licenciement politique ». Mais tout est politique, mon bon monsieur !
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
La reine ne s’écoute pas parler : elle n’a rien à prouver.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.
L’amour dure trois ans, dit-on. Parfois beaucoup moins. Exemple : celui qui était censé exister entre le couple Sussex et les Britanniques. Deux saisons, tout juste.
Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »
Parce que le Président se défend, chez nos amis italiens, de tout retard sur les mesures de confinement.
Le Tour de France à huis clos. Personne n’y avait pensé.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
On attend avec impatience l’arrêté préfectoral qui osera fixer les conditions réglementaires de la bagatelle afin de respecter les mesures de « distanciation sociale »…
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Va falloir s’occuper, les amis. Contrairement à la grève qui durait « des fois trois semaines, des fois même trois semaines, voire même trois semaines »,
Certes, dans le « bordel ambiant actuel », pour l’instant tout va bien, si l’on peut dire, pour le Président.
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.
Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Manuel Valls est un cas spécial.
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