
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.

La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.

On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.

Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.

Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.

Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.

Manuel Valls est un cas spécial.

Tout est grand, chez Juan Carlos, y compris les scandales…

La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.

Mieux que les animalistes, tout de même.

Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.

Donc, la pendaison sous l’Ancien Régime pour le détournement de fonds publics. Fort bien. Mais pourquoi en rester là ?

Si ça peut faire revenir les abstentionnistes aux urnes…

« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?

« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.

« Dégueulasse » : il y a, comme ça, des mots qui ne se démodent pas

Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?

Alors, extrapolons. Élargissons la problématique, comme on dit. Prenons au mot les recommandations de Bruno Questel.

Benjamin Griveaux, victime de ce qu’il a adoré ?

À qui la faute ?

On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…

Les thuriféraires du ministre semblent avoir zappé quelques passages du débat. Problème de vessie ou de casserole qui débordent, allez savoir !

« L’affaire Mila » aura eu ceci de bénéfique que la « rhétorique de la terreur » a, semble-t-il, reculé.

Le fils cadet de la reine a pris les devants pour ménager ses arrières, empêtré qu’il est dans l’affaire Epstein…

L’ajout de ce petit harnais de sécurité pour les ministres qui veulent s’essayer au grand saut à l’élastique municipal arrive cependant un peu tard.

Les bijoux de famille de la France font des envieux.

Vous me direz qu’il n’y a pas de petites économies. C’est vrai, mais il y a de grandes mesquineries.

Elle alla chez Hanouna quand d’autres vont à Canossa.

Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.

La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.

On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.

Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.

Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.

Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.

Manuel Valls est un cas spécial.

Tout est grand, chez Juan Carlos, y compris les scandales…

La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.

Mieux que les animalistes, tout de même.

Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.

Donc, la pendaison sous l’Ancien Régime pour le détournement de fonds publics. Fort bien. Mais pourquoi en rester là ?

Si ça peut faire revenir les abstentionnistes aux urnes…

« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?

« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.

« Dégueulasse » : il y a, comme ça, des mots qui ne se démodent pas

Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?

Alors, extrapolons. Élargissons la problématique, comme on dit. Prenons au mot les recommandations de Bruno Questel.

Benjamin Griveaux, victime de ce qu’il a adoré ?

À qui la faute ?

On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…

Les thuriféraires du ministre semblent avoir zappé quelques passages du débat. Problème de vessie ou de casserole qui débordent, allez savoir !

« L’affaire Mila » aura eu ceci de bénéfique que la « rhétorique de la terreur » a, semble-t-il, reculé.

Le fils cadet de la reine a pris les devants pour ménager ses arrières, empêtré qu’il est dans l’affaire Epstein…

L’ajout de ce petit harnais de sécurité pour les ministres qui veulent s’essayer au grand saut à l’élastique municipal arrive cependant un peu tard.

Les bijoux de famille de la France font des envieux.

Vous me direz qu’il n’y a pas de petites économies. C’est vrai, mais il y a de grandes mesquineries.

Elle alla chez Hanouna quand d’autres vont à Canossa.
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