Même si, il y a des jours…
Il ne demandait pas grand-chose : une minute. Une petite minute. Une minute de silence à la mémoire des victimes du Bataclan.
Poulidor vient donc de franchir la ligne d’arrivée.
À bien y réfléchir, le voile de la princesse Victoria est le plus bel argument en faveur de la disparition du voile islamique dans notre espace public.
Faut reconnaître que Mélenchon a eu un bel enterrement.
« Oui à la critique de la religion, non à la haine du croyant ! » Chiche !
On sait, on s’en doute un peu – on n’est pas aveugles et complètement imbéciles -, que la France ne sera jamais plus comme dans les films de Fernandel.
Bien évidemment, la machine à victimisation accélérée s’est mise en branle.
Benalla n’est pas Pierre Richard, qui ne sait rien mais dira tout.
L’armée serait donc le couteau suisse de la République : prof, maton, animateur social, nounou, voire flic à ses heures perdues.
On peut dire qu’Édouard Philippe a su trouver les mots pour qualifier ceux qui ont incendié le chapiteau de Chanteloup-les-Vignes…
La Toussaint 2019 d’Emmanuel Macron, elle aussi, est rouge. De honte, pour ceux qui se souviennent.
Au fond, nous terminerons tous dans la farce commune.
Ne pas porter le voile est donc compatible avec l’islam. Il paraît même que ne pas porter le voile est aussi compatible avec la République !
Un militaire qui s’engage en politique, c’est un peu la bête de foire !
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
On le savait, ça.
Et pourquoi, le ministre de l’Éducation nationale ne serait pas bienvenu dans le 93 ?
Là où le droit de retrait trouve ses limites, c’est lorsque le pays tout entier est lui-même confronté à un « danger grave et imminent ».
Le cran de nos policiers a heureusement fonctionné, vendredi soir, à Saint-Denis. Jusqu’au jour…
Un lieu, une circonstance, une tenue : c’est pourtant pas compliqué. Faut croire que si.
Quelle sera la prochaine étape : l’armée ?
Quand on fait partie du camp des winners depuis tout petit, la loose n’est pas une option !
Mais on n’en reste jamais là, et ce, au nom du plus que jamais sacro-saint principe d’égalité…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Au fond, cela s’appelle le droit du sang et pas autrement.
Et les milliers d’enfants qui respirent l’air de Rouen, diront les mauvaises langues ?
Finalement, Sarkozy termine sa carrière publique là où Benalla l’a commencée : aux marches du palais de justice.
Même si, il y a des jours…
Il ne demandait pas grand-chose : une minute. Une petite minute. Une minute de silence à la mémoire des victimes du Bataclan.
Poulidor vient donc de franchir la ligne d’arrivée.
À bien y réfléchir, le voile de la princesse Victoria est le plus bel argument en faveur de la disparition du voile islamique dans notre espace public.
Faut reconnaître que Mélenchon a eu un bel enterrement.
« Oui à la critique de la religion, non à la haine du croyant ! » Chiche !
On sait, on s’en doute un peu – on n’est pas aveugles et complètement imbéciles -, que la France ne sera jamais plus comme dans les films de Fernandel.
Bien évidemment, la machine à victimisation accélérée s’est mise en branle.
Benalla n’est pas Pierre Richard, qui ne sait rien mais dira tout.
L’armée serait donc le couteau suisse de la République : prof, maton, animateur social, nounou, voire flic à ses heures perdues.
On peut dire qu’Édouard Philippe a su trouver les mots pour qualifier ceux qui ont incendié le chapiteau de Chanteloup-les-Vignes…
La Toussaint 2019 d’Emmanuel Macron, elle aussi, est rouge. De honte, pour ceux qui se souviennent.
Au fond, nous terminerons tous dans la farce commune.
Ne pas porter le voile est donc compatible avec l’islam. Il paraît même que ne pas porter le voile est aussi compatible avec la République !
Un militaire qui s’engage en politique, c’est un peu la bête de foire !
On peut d’ores et déjà prendre les paris que, dans les semaines et les mois qui vont venir, le port du voile va se propager à grande vitesse dans le pays…
On le savait, ça.
Et pourquoi, le ministre de l’Éducation nationale ne serait pas bienvenu dans le 93 ?
Là où le droit de retrait trouve ses limites, c’est lorsque le pays tout entier est lui-même confronté à un « danger grave et imminent ».
Le cran de nos policiers a heureusement fonctionné, vendredi soir, à Saint-Denis. Jusqu’au jour…
Un lieu, une circonstance, une tenue : c’est pourtant pas compliqué. Faut croire que si.
Quelle sera la prochaine étape : l’armée ?
Quand on fait partie du camp des winners depuis tout petit, la loose n’est pas une option !
Mais on n’en reste jamais là, et ce, au nom du plus que jamais sacro-saint principe d’égalité…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Au fond, cela s’appelle le droit du sang et pas autrement.
Et les milliers d’enfants qui respirent l’air de Rouen, diront les mauvaises langues ?
Finalement, Sarkozy termine sa carrière publique là où Benalla l’a commencée : aux marches du palais de justice.
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