Georges Michel
Editorialiste à BV, colonel (ER)
Les « gouvernements en exil » embarrassent toujours les gouvernements du pays accueillant. C’est une constante. Vous pouvez vérifier.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
L’Histoire, on le sait depuis Cléopâtre jusqu’aux ailes du papillon, tient parfois à pas grand-chose.
Ce matin, Thierry Solère expliquait qu’il était pour la suppression des allocations familiales à partir d’un certain niveau de revenus.
Un peu de décence, et – soyons fous – un peu de raison.
La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.
J’avoue que, jusqu’à tout à l’heure, j’ignorais totalement ce qu’était « l’art performance ». Comme sans doute beaucoup d’entre vous.
Ça c’est dit, donc. En tout cas, pour l’ennemi extérieur…
Julien Aubert, député de Vaucluse, ne sera pas candidat à la présidence de son mouvement, faute de parrainages.
Le Président déclare que lors du prochain Conseil européen, il compte rejoindre les seize Etats qui ont reconnu officiellement le drapeau européen.
Histoire d’apprendre à mettre son lit et ses idées au carré, dirons-nous. Cela ne ferait pas de mal à certains.
Toujours plus fort, toujours plus vite, toujours plus loin dans l’hagiographie présidentielle.
Emmanuel Macron fustigeait cette semaine ceux qui feraient mieux d’aller chercher du travail ailleurs plutôt que de foutre le bordel.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Pour reconstruire, il faudra un sacré plan Marshall !
Dans la logique de Sonia Nour, terrorisme islamiste et « terrorisme patriarcal », c’est kif-kif bourricot.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Qu’est-ce qu’une fausse nouvelle, tout du moins si l’on veut bien s’élever au niveau des préoccupations qui doivent être celles de l’Église ?
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Mercredi, sommet franco-italien avec le président du Conseil Paolo Gentiloni et jeudi visite sur le thème de la sécurité.
Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Quand va-t-on arrêter de vouloir encadrer, quadriller, conditionner et finalement limiter l’exercice de la vie politique française ?
À l’Assemblée, il y a les députés qui font dans la grosse commission et ceux – de seconde zone, j’imagine – qui se contentent de la petite…
Les immobilistes sont cavalièrement priés de bien vouloir contribuer à la marche du monde en baissant leurs loyers de 5 euros.
Un créneau bien comme il faut, où l’on ne risque pas de se prendre une prune par les aubergines de la pensée unique.
On a quand même fait de sacrés progrès dans la façon de cirer les pompes des grands de ce monde depuis qu’on imprime du papier.
Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.
Les « gouvernements en exil » embarrassent toujours les gouvernements du pays accueillant. C’est une constante. Vous pouvez vérifier.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
L’Histoire, on le sait depuis Cléopâtre jusqu’aux ailes du papillon, tient parfois à pas grand-chose.
Ce matin, Thierry Solère expliquait qu’il était pour la suppression des allocations familiales à partir d’un certain niveau de revenus.
Un peu de décence, et – soyons fous – un peu de raison.
La fascination des écrivains pour les hommes politiques ne date pas d’hier.
J’avoue que, jusqu’à tout à l’heure, j’ignorais totalement ce qu’était « l’art performance ». Comme sans doute beaucoup d’entre vous.
Ça c’est dit, donc. En tout cas, pour l’ennemi extérieur…
Julien Aubert, député de Vaucluse, ne sera pas candidat à la présidence de son mouvement, faute de parrainages.
Le Président déclare que lors du prochain Conseil européen, il compte rejoindre les seize Etats qui ont reconnu officiellement le drapeau européen.
Histoire d’apprendre à mettre son lit et ses idées au carré, dirons-nous. Cela ne ferait pas de mal à certains.
Toujours plus fort, toujours plus vite, toujours plus loin dans l’hagiographie présidentielle.
Emmanuel Macron fustigeait cette semaine ceux qui feraient mieux d’aller chercher du travail ailleurs plutôt que de foutre le bordel.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Pour reconstruire, il faudra un sacré plan Marshall !
Dans la logique de Sonia Nour, terrorisme islamiste et « terrorisme patriarcal », c’est kif-kif bourricot.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Qu’est-ce qu’une fausse nouvelle, tout du moins si l’on veut bien s’élever au niveau des préoccupations qui doivent être celles de l’Église ?
Emmanuel Macron a la solution : on va fabriquer un peuple européen.
Emmanuel Macron s’est affirmé en Sorbonne comme un parfait et très orthodoxe théologien de l’Européisme.
Mercredi, sommet franco-italien avec le président du Conseil Paolo Gentiloni et jeudi visite sur le thème de la sécurité.
Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Quand va-t-on arrêter de vouloir encadrer, quadriller, conditionner et finalement limiter l’exercice de la vie politique française ?
À l’Assemblée, il y a les députés qui font dans la grosse commission et ceux – de seconde zone, j’imagine – qui se contentent de la petite…
Les immobilistes sont cavalièrement priés de bien vouloir contribuer à la marche du monde en baissant leurs loyers de 5 euros.
Un créneau bien comme il faut, où l’on ne risque pas de se prendre une prune par les aubergines de la pensée unique.
On a quand même fait de sacrés progrès dans la façon de cirer les pompes des grands de ce monde depuis qu’on imprime du papier.
Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.
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