Manuel Valls va récupérer, à l’Assemblée nationale, le bureau qu’occupait François Fillon lors du précédent mandat.
On a du mal à voir sa ligne politique. Ou plutôt, on la voit se dessiner en creux, ce qui n’est pas du meilleur effet.
On a bien le droit de changer d’avis. Certains pourront même prétendre qu’il s’agit d’une mesure d’hygiène.
Mettons-nous un instant à leur place, aux LR. Juste un instant.
L’armée LR, sans chef, sans objectif, sans stratégie, déboussolée, voit ses divisions, ses incohérences s’exacerber.
Jadis, voire même autrefois, on s’enorgueillissait dans les milieux populaires de s’habiller « comme il faut » à certaines occasions.
Sagesse ou instinct de survie, les Français priorisent les problèmes.
Vendredi dernier, une cérémonie très particulière s’est déroulée à Aubagne, maison mère de la Légion étrangère.
En toute chose, il faut être cohérent.
On n’est pas loin du divorce.
Au fond, qu’est-ce que la morale dans la vie publique, en politique ?
Pas vraiment un scoop, ni un drame non plus, mais bon, un petit événement tout de même pour celui qui y était encarté depuis 1980.
Ségolène Royal vient d’apporter sa petite pierre personnelle à la lapidation du garde des Sceaux émérite.
Emmanuel Macron, au début de son règne, voudrait réunir le Congrès pour lui « donner le cap ».
Avec Emmanuel Macron, les temps s’annoncent difficiles pour les retraités.
Là où François Hollande dépasse toutes nos espérances, c’est que son appel à voter pour Emmanuel Macron, il nous l’a fait depuis Bruxelles. Tout un symbole.
Hasard du calendrier, le 23 avril 1972 – il y a tout juste 45 ans -, les Français étaient appelés aux urnes.
Dans moins de quatre semaines, le 33e grand maître de la Légion d’honneur sera investi. C’est imminent !
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».
Manuel Valls va récupérer, à l’Assemblée nationale, le bureau qu’occupait François Fillon lors du précédent mandat.
On a du mal à voir sa ligne politique. Ou plutôt, on la voit se dessiner en creux, ce qui n’est pas du meilleur effet.
On a bien le droit de changer d’avis. Certains pourront même prétendre qu’il s’agit d’une mesure d’hygiène.
Mettons-nous un instant à leur place, aux LR. Juste un instant.
L’armée LR, sans chef, sans objectif, sans stratégie, déboussolée, voit ses divisions, ses incohérences s’exacerber.
Jadis, voire même autrefois, on s’enorgueillissait dans les milieux populaires de s’habiller « comme il faut » à certaines occasions.
Sagesse ou instinct de survie, les Français priorisent les problèmes.
Vendredi dernier, une cérémonie très particulière s’est déroulée à Aubagne, maison mère de la Légion étrangère.
En toute chose, il faut être cohérent.
On n’est pas loin du divorce.
Au fond, qu’est-ce que la morale dans la vie publique, en politique ?
Pas vraiment un scoop, ni un drame non plus, mais bon, un petit événement tout de même pour celui qui y était encarté depuis 1980.
Ségolène Royal vient d’apporter sa petite pierre personnelle à la lapidation du garde des Sceaux émérite.
Emmanuel Macron, au début de son règne, voudrait réunir le Congrès pour lui « donner le cap ».
Avec Emmanuel Macron, les temps s’annoncent difficiles pour les retraités.
Là où François Hollande dépasse toutes nos espérances, c’est que son appel à voter pour Emmanuel Macron, il nous l’a fait depuis Bruxelles. Tout un symbole.
Hasard du calendrier, le 23 avril 1972 – il y a tout juste 45 ans -, les Français étaient appelés aux urnes.
Dans moins de quatre semaines, le 33e grand maître de la Légion d’honneur sera investi. C’est imminent !
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Et nous n’avons peut-être encore rien vu. Les prochaines semaines risquent de se profiler comme un immense « open bar ».
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