Georges Michel
Editorialiste à BV, colonel (ER)
Faut-il qu’on ignore à ce point l’Histoire de France chez les hommes en costumes gris de la Macronie ?
On fait des efforts pour les pauvres. Ils ne voudraient tout de même pas qu’on leur offre de la fraise de Carpentras.
Lorsqu’on est à la tête d’un pays comme la France, il n’y a pas de jour, il n’y a pas de nuit.
Comment, maintenant, « la rue » va-t-elle réagir ?
Stéphane Séjourné estime qu’on a échappé à « l’incompétence, l’incurie, les choix désastreux ». Ouf ?
Prévoir une augmentation plus forte des crédits après 2027 revient à fabriquer des avions en papier.
On attendrait de ce successeur de saint Rémi qu’il nous parle de choses qui font vibrer les voûtes des cathédrales.
Par cette proposition, le député Bordat, en fait, vise tout simplement à supprimer un symbole d’unité nationale.
Devant la représentation nationale, on attendait un ministre. On a eu un mauvais CPE.
Un plan d’eau pour parler du plan Eau au moment où les écolos de tout poil nous bassinent, c’est trop bien.
Le danger que voit se profiler Darmanin, c’est, à la fin des fins, un duel au sommet entre Marine Le Pen et Mélenchon.
Olivier Véran joue la carte du parti de l’ordre…
Histoire de remettre un bidon d’essence sur le brasier ! Aveuglement, bêtise, naïveté ? Les trois à la fois ?
Lorsqu’on naissait au milieu du XVIIIe siècle au fin fond de la Poméranie, statistiquement, les chances d’être métis devaient être plutôt minces…
Décidément, le roi Charles III n’a pas de chance. Sa première visite d’État en France risque en effet de tourner vinaigre « en raison du contexte social ».
Cela peut-il dédouaner de leurs responsabilités tous ceux qui ont contribué à démanteler ces dernières années notre parc nucléaire ?
Et dans ce poker plus ou moins menteur, il ne manquait plus qu’Aurore Bergé, qui vient de lancer un contre-feu plutôt malin.
Si la situation chaotique venait ainsi à perdurer, sauf drame (mort, par exemple), il est possible que le pouvoir finisse par en profiter en jouant la carte du parti de l’ordre.
Il n’y aura pas de quoi pavoiser car, à l’évidence, c’est une victoire à la Pyrrhus qu’Emmanuel Macron va emporter.
C’est donc le quai passant devant le musée d’Orsay, rive gauche, qui portera désormais le nom du troisième président de la Ve République.
Ça fait cher la chicha, mais si, en plus, on peut faire des roues arrière, pourquoi se priver !
En tout cas, on est à un tournant. Des tournants, il y en a tous les jours, en politique, comme sur la route. Mais à l’évidence, celui des prochains jours sera décisif.
Sur les plateaux télé, les experts défilaient comme à la parade.
Entre nous soit dit, ce sera sans doute une bien belle cérémonie.
Après avoir frôlé l’incident diplomatique, Emmanuel Macron est allé se frotter à la foule en sortant en boîte de nuit à Kinshasa.
Emmanuel Macron ne pouvait pas faire moins après que celui qui ne sera jamais président du Sénat appelle à voter pour lui dès le premier tour en 2022.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
Mettre la question de la natalité dans le débat des retraites, comme l’a fait le Rassemblement national, relève du discours fasciste.
Faut-il qu’on ignore à ce point l’Histoire de France chez les hommes en costumes gris de la Macronie ?
On fait des efforts pour les pauvres. Ils ne voudraient tout de même pas qu’on leur offre de la fraise de Carpentras.
Lorsqu’on est à la tête d’un pays comme la France, il n’y a pas de jour, il n’y a pas de nuit.
Comment, maintenant, « la rue » va-t-elle réagir ?
Stéphane Séjourné estime qu’on a échappé à « l’incompétence, l’incurie, les choix désastreux ». Ouf ?
Prévoir une augmentation plus forte des crédits après 2027 revient à fabriquer des avions en papier.
On attendrait de ce successeur de saint Rémi qu’il nous parle de choses qui font vibrer les voûtes des cathédrales.
Par cette proposition, le député Bordat, en fait, vise tout simplement à supprimer un symbole d’unité nationale.
Devant la représentation nationale, on attendait un ministre. On a eu un mauvais CPE.
Un plan d’eau pour parler du plan Eau au moment où les écolos de tout poil nous bassinent, c’est trop bien.
Le danger que voit se profiler Darmanin, c’est, à la fin des fins, un duel au sommet entre Marine Le Pen et Mélenchon.
Olivier Véran joue la carte du parti de l’ordre…
Histoire de remettre un bidon d’essence sur le brasier ! Aveuglement, bêtise, naïveté ? Les trois à la fois ?
Lorsqu’on naissait au milieu du XVIIIe siècle au fin fond de la Poméranie, statistiquement, les chances d’être métis devaient être plutôt minces…
Décidément, le roi Charles III n’a pas de chance. Sa première visite d’État en France risque en effet de tourner vinaigre « en raison du contexte social ».
Cela peut-il dédouaner de leurs responsabilités tous ceux qui ont contribué à démanteler ces dernières années notre parc nucléaire ?
Et dans ce poker plus ou moins menteur, il ne manquait plus qu’Aurore Bergé, qui vient de lancer un contre-feu plutôt malin.
Si la situation chaotique venait ainsi à perdurer, sauf drame (mort, par exemple), il est possible que le pouvoir finisse par en profiter en jouant la carte du parti de l’ordre.
Il n’y aura pas de quoi pavoiser car, à l’évidence, c’est une victoire à la Pyrrhus qu’Emmanuel Macron va emporter.
C’est donc le quai passant devant le musée d’Orsay, rive gauche, qui portera désormais le nom du troisième président de la Ve République.
Ça fait cher la chicha, mais si, en plus, on peut faire des roues arrière, pourquoi se priver !
En tout cas, on est à un tournant. Des tournants, il y en a tous les jours, en politique, comme sur la route. Mais à l’évidence, celui des prochains jours sera décisif.
Sur les plateaux télé, les experts défilaient comme à la parade.
Entre nous soit dit, ce sera sans doute une bien belle cérémonie.
Après avoir frôlé l’incident diplomatique, Emmanuel Macron est allé se frotter à la foule en sortant en boîte de nuit à Kinshasa.
Emmanuel Macron ne pouvait pas faire moins après que celui qui ne sera jamais président du Sénat appelle à voter pour lui dès le premier tour en 2022.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
Mettre la question de la natalité dans le débat des retraites, comme l’a fait le Rassemblement national, relève du discours fasciste.
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