
Agents provocateurs ou non, ces personnages, in fine dignes de ceux des jeux vidéo, peuvent se donner des sensations fortes, sous le joug d’une époque célébrant l’infantilisation généralisée.
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…

In fine, au nom de la liberté et de l’égalité se prépare tranquillement, ici et ailleurs, l’avènement de l’ordre islamo-libertaire.
On s’est habitué à entendre les euphémismes les plus pompeux, le pire, en la matière, consistant à qualifier ces voyous de « jeunes ».

Yassine Belattar s’enfonce, une nouvelle fois, dans l’outrance

Il y aura toujours un cancre qui lancera, du fond de la classe, des boulettes en papier en direction des plus studieux pour leur pourrir la vie…

Le peuple français ne prend pas encore conscience de l’effacement de ces illusions humanistes, la fin des Lumières coïncidant, tragiquement, avec le retour des ténèbres.

Il convient, en conséquence, de déplorer le poids d’une structure qui observe intensément les citoyens afin de collecter leurs données et leurs impôts, mais sans pour autant se méfier de ses habilités « Secret Défense »
Alors, ne faudrait-il pas plutôt concevoir, avec courage, une ligne anti-humaniste, autrement dit anti-Lumières, catholique, sociale et nationale ?

Le chiraquisme fut un pur clientélisme.

In fine, devant cette barbarie à visage transhumain, rien ne semble se dresser.

Et, quand tout le monde aura appris à parler pour ne rien dire, les réformes les plus antisociales et les plus antinationales passeront comme une lettre à la poste des esprits engourdis.
Il est plus aisé, pour l’auteur de Mes étoiles noires, en 2011, de surfer sur la confortable concurrence victimaire et l’indignation sélective qui lui est associée.

En attendant, ce trésor de guerre idéologique profite aux salafistes.

Yann Moix a réussi son coup : être au centre de cette rentrée littéraire.

Que l’on parle de la réforme des retraites ou de celle de l’assurance chômage, la Macronie ne craint aucune grogne.

L’Histoire semble bégayer parfois : les mêmes éléments pour une même guerre de tranchées entre deux Chine…

La droite libérale, en prônant la précarisation exponentielle du salariat, n’est-elle pas plus extrême que les deux « extrémismes » que seraient la droite nationale et la gauche sociale ?

Ainsi, derrière l’enthousiasme que suscite la conquête de Mars, ne demeure-t-il pas une logique de la fuite en avant ?

La nation chinoise fait face à sa plus grave crise identitaire depuis la révolution de 1911.

Le bilan humain fut considérable : près de 250.000 morts…

Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?

En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.

« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux », avait écrit La Boétie.

Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…

Durant toute la journée du 14 juillet, la Macronie préférait mettre le focus sur les centaines de gilets jaunes.

Telle la série américaine des années 80, Dallas, le marigot médiatico-politique français est un « univers impitoyable ».

La fin (progressive) du cash ne signifie ni plus ni moins que le début d’une surveillance généralisée. Le marché financier, ou le nouvel ordre métaphysique.

Agents provocateurs ou non, ces personnages, in fine dignes de ceux des jeux vidéo, peuvent se donner des sensations fortes, sous le joug d’une époque célébrant l’infantilisation généralisée.
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…

In fine, au nom de la liberté et de l’égalité se prépare tranquillement, ici et ailleurs, l’avènement de l’ordre islamo-libertaire.
On s’est habitué à entendre les euphémismes les plus pompeux, le pire, en la matière, consistant à qualifier ces voyous de « jeunes ».

Yassine Belattar s’enfonce, une nouvelle fois, dans l’outrance

Il y aura toujours un cancre qui lancera, du fond de la classe, des boulettes en papier en direction des plus studieux pour leur pourrir la vie…

Le peuple français ne prend pas encore conscience de l’effacement de ces illusions humanistes, la fin des Lumières coïncidant, tragiquement, avec le retour des ténèbres.

Il convient, en conséquence, de déplorer le poids d’une structure qui observe intensément les citoyens afin de collecter leurs données et leurs impôts, mais sans pour autant se méfier de ses habilités « Secret Défense »
Alors, ne faudrait-il pas plutôt concevoir, avec courage, une ligne anti-humaniste, autrement dit anti-Lumières, catholique, sociale et nationale ?

Le chiraquisme fut un pur clientélisme.

In fine, devant cette barbarie à visage transhumain, rien ne semble se dresser.

Et, quand tout le monde aura appris à parler pour ne rien dire, les réformes les plus antisociales et les plus antinationales passeront comme une lettre à la poste des esprits engourdis.
Il est plus aisé, pour l’auteur de Mes étoiles noires, en 2011, de surfer sur la confortable concurrence victimaire et l’indignation sélective qui lui est associée.

En attendant, ce trésor de guerre idéologique profite aux salafistes.

Yann Moix a réussi son coup : être au centre de cette rentrée littéraire.

Que l’on parle de la réforme des retraites ou de celle de l’assurance chômage, la Macronie ne craint aucune grogne.

L’Histoire semble bégayer parfois : les mêmes éléments pour une même guerre de tranchées entre deux Chine…

La droite libérale, en prônant la précarisation exponentielle du salariat, n’est-elle pas plus extrême que les deux « extrémismes » que seraient la droite nationale et la gauche sociale ?

Ainsi, derrière l’enthousiasme que suscite la conquête de Mars, ne demeure-t-il pas une logique de la fuite en avant ?

La nation chinoise fait face à sa plus grave crise identitaire depuis la révolution de 1911.

Le bilan humain fut considérable : près de 250.000 morts…

Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?

En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.

« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux », avait écrit La Boétie.

Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…

Durant toute la journée du 14 juillet, la Macronie préférait mettre le focus sur les centaines de gilets jaunes.

Telle la série américaine des années 80, Dallas, le marigot médiatico-politique français est un « univers impitoyable ».

La fin (progressive) du cash ne signifie ni plus ni moins que le début d’une surveillance généralisée. Le marché financier, ou le nouvel ordre métaphysique.
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