Le pays que Trump promettait, il y a quelques mois seulement, de vitrifier s’est hissé au rang de nation désormais bien reconnue sur la scène internationale
Faudra-t-il de subtils cocktails au bourbon et alcool de soja pour alléger l’atmosphère et éviter les portes qui claquent ?
Si l’on fait abstraction des équipes de télévision et radio couvrant l’événement et des membres plus ou moins anonymes chargés de la sécurité, l’assistance était peu abondante et même clairsemée.
Les conversations avec son hôte russe avaient dû être rudes qui lui ont fait sourdre un zeste d’adrénaline dont la journaliste a fait les frais.
Et l’on ne sait jamais, on a vu naguère des électeurs rappeler aux urnes des élus un moment disqualifiés par quelques petites erreurs…
(Dés)honneur à l’absent le plus remarqué, si j’ose l’oxymore, François Hollande.
La ligne de béton qui marque la frontière n’est pourtant pas prête de sitôt d’être passée au bulldozer.
Depuis que le Royaume-Uni à décidé de divorcer de l’Europe, on n’a jamais autant multi-dialogué en anglais du côté de Bruxelles.
Les frappes ordonnées par le Président et exécutées avec succès par les armées françaises ont été marquées du label de la furtivité.
Les deux inquisiteurs ne s’intéressent que peu au domaine militaire, à preuve que pendant cette longue et turbulente séance, il n’a pas du tout été question de défense…
C’est donc avant le résultat de l’enquête que devait produire l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques qu’ont été déclenchées les frappes des trois alliés !
Notre frégate Aquitaine, déployée en Méditerranée orientale, aurait été menacée par une posture « agressive ».
Certes, laissant aux groupuscules retranchés le temps de préparer leur défense, le gouvernement a enfin déclenché ce lundi matin le dégagement de la célébrissime ZAD.
C’est la traduction réaliste des faits et la leçon officielle rappelée en creux par le précieux Castaner sur Europe
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
Entre les convictions écologiques et le « business », les avancées sont contradictoires.
Que précisément notre Président s’adresse aux Indiens en anglais lors de sa visite officielle ne me choque pas le moins du monde, au contraire. C’est une belle forme de politesse et d’attention courtoise faite au pays invitant et à ses autorités.
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.
Nous en sommes à plus de 2.230 milliards d’euros à ce jour, soit un petit « pécule » de 33.297 euros par habitant…
Un peu de pédagogie n’est pas inutile en la matière.
Elon Musk, génial créateur américain de nouveaux services, moyens et objets – tels PayPal, île artificielle et voitures électriques Tesla, en particulier -, vient de concrétiser son dernier rêve, extrêmement fou.
À cette fin, il présentera un « grand plan » pour le développement du français le 20 mars prochain.
Unfortunately, il n’a pas précisé si le français allait devenir le nouveau véhicule et ciment de la grande cohésion internationale qu’il veut promouvoir…
La seule technologie moderne mise en œuvre par l’autorité publique est le radar, réseau préventif mais surtout répressif.
Il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel.
Des campagnes médiatiques devraient soutenir un mouvement général pour la sauvegarde et la régénération moderne du français et j’émets ici le souhait que Boulevard Voltaire soit l’un de ces acteurs.
Nous avons eu de la chance, il ne s’est cependant pas adressé en anglais aux Européens pour réclamer leur aide…
Le Président avait écrit au père Noël. Il voulait un nouvel et bel avion, pas trop grand mais joli et confortable pour ses déplacements internationaux.
Le pays que Trump promettait, il y a quelques mois seulement, de vitrifier s’est hissé au rang de nation désormais bien reconnue sur la scène internationale
Faudra-t-il de subtils cocktails au bourbon et alcool de soja pour alléger l’atmosphère et éviter les portes qui claquent ?
Si l’on fait abstraction des équipes de télévision et radio couvrant l’événement et des membres plus ou moins anonymes chargés de la sécurité, l’assistance était peu abondante et même clairsemée.
Les conversations avec son hôte russe avaient dû être rudes qui lui ont fait sourdre un zeste d’adrénaline dont la journaliste a fait les frais.
Et l’on ne sait jamais, on a vu naguère des électeurs rappeler aux urnes des élus un moment disqualifiés par quelques petites erreurs…
(Dés)honneur à l’absent le plus remarqué, si j’ose l’oxymore, François Hollande.
La ligne de béton qui marque la frontière n’est pourtant pas prête de sitôt d’être passée au bulldozer.
Depuis que le Royaume-Uni à décidé de divorcer de l’Europe, on n’a jamais autant multi-dialogué en anglais du côté de Bruxelles.
Les frappes ordonnées par le Président et exécutées avec succès par les armées françaises ont été marquées du label de la furtivité.
Les deux inquisiteurs ne s’intéressent que peu au domaine militaire, à preuve que pendant cette longue et turbulente séance, il n’a pas du tout été question de défense…
C’est donc avant le résultat de l’enquête que devait produire l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques qu’ont été déclenchées les frappes des trois alliés !
Notre frégate Aquitaine, déployée en Méditerranée orientale, aurait été menacée par une posture « agressive ».
Certes, laissant aux groupuscules retranchés le temps de préparer leur défense, le gouvernement a enfin déclenché ce lundi matin le dégagement de la célébrissime ZAD.
C’est la traduction réaliste des faits et la leçon officielle rappelée en creux par le précieux Castaner sur Europe
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
Entre les convictions écologiques et le « business », les avancées sont contradictoires.
Que précisément notre Président s’adresse aux Indiens en anglais lors de sa visite officielle ne me choque pas le moins du monde, au contraire. C’est une belle forme de politesse et d’attention courtoise faite au pays invitant et à ses autorités.
Quelques tentatives de sauvegarde contre la prolifération d’emprunts lexicaux à l’anglais avaient été lancées naguère, avec le résultat que l’on constate.
Nous en sommes à plus de 2.230 milliards d’euros à ce jour, soit un petit « pécule » de 33.297 euros par habitant…
Un peu de pédagogie n’est pas inutile en la matière.
Elon Musk, génial créateur américain de nouveaux services, moyens et objets – tels PayPal, île artificielle et voitures électriques Tesla, en particulier -, vient de concrétiser son dernier rêve, extrêmement fou.
À cette fin, il présentera un « grand plan » pour le développement du français le 20 mars prochain.
Unfortunately, il n’a pas précisé si le français allait devenir le nouveau véhicule et ciment de la grande cohésion internationale qu’il veut promouvoir…
La seule technologie moderne mise en œuvre par l’autorité publique est le radar, réseau préventif mais surtout répressif.
Il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel.
Des campagnes médiatiques devraient soutenir un mouvement général pour la sauvegarde et la régénération moderne du français et j’émets ici le souhait que Boulevard Voltaire soit l’un de ces acteurs.
Nous avons eu de la chance, il ne s’est cependant pas adressé en anglais aux Européens pour réclamer leur aide…
Le Président avait écrit au père Noël. Il voulait un nouvel et bel avion, pas trop grand mais joli et confortable pour ses déplacements internationaux.
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