Henri Temple
Henri Temple est universitaire, juriste, théoricien de la Nation (auteur de : Essai sur le concept de ‘’Nationisme’’, Sphairôs, 2024)
Le sablier s’écoule…
Les positions de la France en Afrique francophone, qui n’étaient pas bonnes, se sont encore dégradées, ces dernières années.
Le mémorandum, signé par Boris Eltsine, a accru le ressentiment de Vladimir Poutine qui considère que la Russie a été affaiblie.
Il n’est ni bonheur, ni dignité, ni prospérité, ni justice, ni équité sans souveraineté populaire.
Ici, le pape estime que nos nations doivent accueillir tous les migrants au risque de se désagréger et, là-bas, le patriarche décide que l’Ukraine n’est pas une nation.
À l’heure où nous écrivons, la ville a été rasée à 85 % par l’armée russe mais tient encore. Deux ou trois mille civils au moins ont été tués et des dizaines de milliers d’autres ont dû fuir à la hâte, laissant tout derrière eux.
Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.
La France dispose de réserves de terres arables laissées en jachères du fait d’une politique agraire bruxelloise absurde.
L’histoire de l’Ukraine est une histoire infiniment tragique.
Cet homme est dangereux. Car même s’il n’accède pas au pouvoir, il banalise des références qui légitiment une violence dont la France n’a pas besoin : les antifas tolérés par ce pouvoir nous suffisent.
Les églises se vident en même temps que les bureaux de vote.
Cinq candidats vont jouer un rôle important dans l’élection présidentielle prochaine, mais seulement deux s’affronteront au second tour. Il faudra absolument éliminer, dès le premier tour, les antidémocrates, « moins-disant souverainistes »…
Il sera nécessaire d’inscrire dans la Constitution la suprématie de quelques principes majeurs de la République et de la nation au-dessus des règles européennes.
Souverainistes de tout le pays, unissez-vous derrière un programme commun et un projet politique !
Les patriotes, eux, sont à un étiage élevé : leur potentiel se situe à 50 %.
La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Nadia Hai, le ministre délégué à la Politique de la ville, une binationale maroco-française, vient d’être interviewée par le journal La Croix (2 juillet), qui
À partir des années Mitterrand se sont ouvertes de vastes perspectives d’emplois, notamment dans les médias et la culture, pour les trotskistes de Mai 68, puis pour les serviteurs zélés du PS.
Dans moins d’un an, un(e) nouveau Président(e) trouvera sur son bureau le dossier Barkhane.
La gauche d’antan, c’était la nation, la laïcité, l’école, l’exigence de justice sociale. Cette gauche a disparu, corrompue par la haine de la nation, de la droite, des Blancs, des chrétiens, des mâles hétérosexuels…
Les Français veulent-ils vraiment laisser tout le Sahel tomber aux mains des islamistes ?
Voilà ce qui intéresse vraiment les Français : reconstituer la nation…
Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.
La seule façon de contrer la manip’ du grand business euro-mondialiste serait un mouvement de grande union souverainiste.
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
Napoléon a laissé la France plus petite que celle qu’il avait trouvée à son avènement.
L’islamo-gauchisme, comme le diable du Moyen Âge, déteste être nommé.
Le sablier s’écoule…
Les positions de la France en Afrique francophone, qui n’étaient pas bonnes, se sont encore dégradées, ces dernières années.
Le mémorandum, signé par Boris Eltsine, a accru le ressentiment de Vladimir Poutine qui considère que la Russie a été affaiblie.
Il n’est ni bonheur, ni dignité, ni prospérité, ni justice, ni équité sans souveraineté populaire.
Ici, le pape estime que nos nations doivent accueillir tous les migrants au risque de se désagréger et, là-bas, le patriarche décide que l’Ukraine n’est pas une nation.
À l’heure où nous écrivons, la ville a été rasée à 85 % par l’armée russe mais tient encore. Deux ou trois mille civils au moins ont été tués et des dizaines de milliers d’autres ont dû fuir à la hâte, laissant tout derrière eux.
Comme souvent, la ligne bruxelloïde consiste à parler beaucoup, longtemps, répéter 100 fois, mais en dire peu.
La France dispose de réserves de terres arables laissées en jachères du fait d’une politique agraire bruxelloise absurde.
L’histoire de l’Ukraine est une histoire infiniment tragique.
Cet homme est dangereux. Car même s’il n’accède pas au pouvoir, il banalise des références qui légitiment une violence dont la France n’a pas besoin : les antifas tolérés par ce pouvoir nous suffisent.
Les églises se vident en même temps que les bureaux de vote.
Cinq candidats vont jouer un rôle important dans l’élection présidentielle prochaine, mais seulement deux s’affronteront au second tour. Il faudra absolument éliminer, dès le premier tour, les antidémocrates, « moins-disant souverainistes »…
Il sera nécessaire d’inscrire dans la Constitution la suprématie de quelques principes majeurs de la République et de la nation au-dessus des règles européennes.
Souverainistes de tout le pays, unissez-vous derrière un programme commun et un projet politique !
Les patriotes, eux, sont à un étiage élevé : leur potentiel se situe à 50 %.
La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Nadia Hai, le ministre délégué à la Politique de la ville, une binationale maroco-française, vient d’être interviewée par le journal La Croix (2 juillet), qui
À partir des années Mitterrand se sont ouvertes de vastes perspectives d’emplois, notamment dans les médias et la culture, pour les trotskistes de Mai 68, puis pour les serviteurs zélés du PS.
Dans moins d’un an, un(e) nouveau Président(e) trouvera sur son bureau le dossier Barkhane.
La gauche d’antan, c’était la nation, la laïcité, l’école, l’exigence de justice sociale. Cette gauche a disparu, corrompue par la haine de la nation, de la droite, des Blancs, des chrétiens, des mâles hétérosexuels…
Les Français veulent-ils vraiment laisser tout le Sahel tomber aux mains des islamistes ?
Voilà ce qui intéresse vraiment les Français : reconstituer la nation…
Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.
La seule façon de contrer la manip’ du grand business euro-mondialiste serait un mouvement de grande union souverainiste.
La décision de supprimer l’ENA est bien une décision typique… d’énarque.
Napoléon a laissé la France plus petite que celle qu’il avait trouvée à son avènement.
L’islamo-gauchisme, comme le diable du Moyen Âge, déteste être nommé.
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