Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.
On se souvient que, si la Grèce a pu entrer dans l’euro, c’est en raison des études de complaisance produites, moyennant finance, par Goldman Sachs
Emmanuel Macron a décidé de modifier la Constitution d’ici septembre 2018 sans solliciter l’avis des Français.
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
L’Italie n’est pas le maillon faible de l’usine à gaz bruxelloise : elle en devient le peuple fort, prêt à s’en émanciper.
Son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles.
Qu’est ce qu’un « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat » ? Nul ne le sait avec précision…
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Ainsi, l’idée d’écouter les demandes des peuples serait donc extrémiste ?
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Après avoir froissé Poutine, été ridiculisé par Trump, éconduit par Merkel, ignoré par le socialiste Sánchez, il ne restait pas d’autre choix à Emmanuel Macron que de feindre l’entente avec l’Italie.
Le compte à rebours est entamé : dans un mois ou dans un an, la bulle éclatera, dévastant le monde après avoir enrichi les spéculateurs.
Emmanuel Macron a choisi la confrontation, la dénonciation, ou l’invective, avec Poutine, Trump, et le nouveau gouvernement italien…
Les intérêts financiers en jeu sont colossaux. Bien plus que 40 deniers.
Les barbares ne sont-ils pas en réalité ceux qui prennent l’argent du travail d’autrui ? Détruisent les moyens de production ? Poussent les populations à la misère ? Broient les identités culturelles ?
La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron, qui ne pourra plus compter sur l’Italie de Matteo Renzi.
Quant à Emmanuel Macron, c’était une faute diplomatique que d’aller devant le Congrès pour plaider contre les thèse du Président Trump et de s’y faire applaudir par son opposition…
Des manipulations et provocations de toutes sortes masquent la deuxième partie en cours, bien plus vitale, la seule qui vaille au niveau de l’histoire de l’humanité.
Il n’existe qu’un seul moyen de créer, enfin, en France un vraie démocratie : le référendum d’initiative démocratique.
Saura-t-on un jour la vérité ? On peut en douter.
Un accord est intervenu entre les deux formations politiques victorieuses aux dernières élections.
Si l’on effectue des recherches sur le thème « Troisième Guerre mondiale », il est récurrent dans les médias de tous les pays : l’holocauste final se vend bien…
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
La France doit proposer à la Russie une alliance historique préférentielle.
Ou bien le gouvernement italien fait ce qu’il a dit et la zone euro explose, puis l’Union européenne ; ou bien il ne le fait pas, et c’est l’Italie qui explose, dans la rue.
Prétendre donner des leçons aux peuples, outre la sotte vanité et la maladresse insigne, est, au minimum, une lamentable erreur diplomatique.
On se souvient que, si la Grèce a pu entrer dans l’euro, c’est en raison des études de complaisance produites, moyennant finance, par Goldman Sachs
Emmanuel Macron a décidé de modifier la Constitution d’ici septembre 2018 sans solliciter l’avis des Français.
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
L’Italie n’est pas le maillon faible de l’usine à gaz bruxelloise : elle en devient le peuple fort, prêt à s’en émanciper.
Son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles.
Qu’est ce qu’un « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat » ? Nul ne le sait avec précision…
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Ainsi, l’idée d’écouter les demandes des peuples serait donc extrémiste ?
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Après avoir froissé Poutine, été ridiculisé par Trump, éconduit par Merkel, ignoré par le socialiste Sánchez, il ne restait pas d’autre choix à Emmanuel Macron que de feindre l’entente avec l’Italie.
Le compte à rebours est entamé : dans un mois ou dans un an, la bulle éclatera, dévastant le monde après avoir enrichi les spéculateurs.
Emmanuel Macron a choisi la confrontation, la dénonciation, ou l’invective, avec Poutine, Trump, et le nouveau gouvernement italien…
Les intérêts financiers en jeu sont colossaux. Bien plus que 40 deniers.
Les barbares ne sont-ils pas en réalité ceux qui prennent l’argent du travail d’autrui ? Détruisent les moyens de production ? Poussent les populations à la misère ? Broient les identités culturelles ?
La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron, qui ne pourra plus compter sur l’Italie de Matteo Renzi.
Quant à Emmanuel Macron, c’était une faute diplomatique que d’aller devant le Congrès pour plaider contre les thèse du Président Trump et de s’y faire applaudir par son opposition…
Des manipulations et provocations de toutes sortes masquent la deuxième partie en cours, bien plus vitale, la seule qui vaille au niveau de l’histoire de l’humanité.
Il n’existe qu’un seul moyen de créer, enfin, en France un vraie démocratie : le référendum d’initiative démocratique.
Saura-t-on un jour la vérité ? On peut en douter.
Un accord est intervenu entre les deux formations politiques victorieuses aux dernières élections.
Si l’on effectue des recherches sur le thème « Troisième Guerre mondiale », il est récurrent dans les médias de tous les pays : l’holocauste final se vend bien…
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