Un jeune sur cinq ne sait pas reconnaître une courgette.
Le temps de l’émission, il est le Picasso du Guernica de la porte de Versailles.
Ni l’un ni l’autre. L’homme précise son titre : « Je suis, si j’ose dire, le ministre de la planète »
Le terme « hottentots », qui désigne les ramoneurs au visage couvert de suie, nous ramène au temps des colonies.
Avec « Tombés du camion », l’appel à empathie est monté d’un cran.
Dans son enthousiasme, notre champion omet de proposer les vols à l’arraché au patrimoine mondial de l’UNESCO.
En tous lieux ruinés par le mondialisme, la communication présidentielle finira de convaincre les indécis.
« Que vont penser les femmes d’avoir vu Gérard Miller s’afficher avec moi ? »
Envahis de spectateurs, des balcons donnant sur le parcours pourraient s’effondrer sous le poids du nombre.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
L’affaire se déroule dans un tribunal du Michigan et fera paraître fades les blagues de Jean-Marie Bigard.
Trois jours de formation pour changer une ampoule en mairie.
Sa réponse « à l’absurde par l’absurde » pourrait faire des émules…
C’est un petit plouf pour une dame de gauche, mais un grand plouf pour la France entière !
Sylvie Laurent invente un Robinson Crusoë assassin des peuplades autochtones.
Tout militant anti-bassine qui se respecte les eût caillassés, grillés, hachés menu.
Au sein de la sphère mondialiste, le jeux des chaises musicales du logement social a commencé.
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.
Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie.
Les spasmes dont la ministre semble affligée témoigne de sa fébrilité à placer « synergie » et « continuum ».
Emmanuel Macron n’a pas encore ponctué sa démonstration d’un « Ben voyons » retentissant mais il peut le faire.
Sa bien-pensance, sa bonhomie toute de macronisme auréolée étaient à contre-courant de la sensibilité populaire.
Stéphane Séjourné aurait été un élève assidu du lycée Franck-Ribéry
Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.
Un jeune sur cinq ne sait pas reconnaître une courgette.
Le temps de l’émission, il est le Picasso du Guernica de la porte de Versailles.
Ni l’un ni l’autre. L’homme précise son titre : « Je suis, si j’ose dire, le ministre de la planète »
Le terme « hottentots », qui désigne les ramoneurs au visage couvert de suie, nous ramène au temps des colonies.
Avec « Tombés du camion », l’appel à empathie est monté d’un cran.
Dans son enthousiasme, notre champion omet de proposer les vols à l’arraché au patrimoine mondial de l’UNESCO.
En tous lieux ruinés par le mondialisme, la communication présidentielle finira de convaincre les indécis.
« Que vont penser les femmes d’avoir vu Gérard Miller s’afficher avec moi ? »
Envahis de spectateurs, des balcons donnant sur le parcours pourraient s’effondrer sous le poids du nombre.
Trop de rire tue. Les organisateurs l’ont bien compris.
L’affaire se déroule dans un tribunal du Michigan et fera paraître fades les blagues de Jean-Marie Bigard.
Trois jours de formation pour changer une ampoule en mairie.
Sa réponse « à l’absurde par l’absurde » pourrait faire des émules…
C’est un petit plouf pour une dame de gauche, mais un grand plouf pour la France entière !
Sylvie Laurent invente un Robinson Crusoë assassin des peuplades autochtones.
Tout militant anti-bassine qui se respecte les eût caillassés, grillés, hachés menu.
Au sein de la sphère mondialiste, le jeux des chaises musicales du logement social a commencé.
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.
Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie.
Les spasmes dont la ministre semble affligée témoigne de sa fébrilité à placer « synergie » et « continuum ».
Emmanuel Macron n’a pas encore ponctué sa démonstration d’un « Ben voyons » retentissant mais il peut le faire.
Sa bien-pensance, sa bonhomie toute de macronisme auréolée étaient à contre-courant de la sensibilité populaire.
Stéphane Séjourné aurait été un élève assidu du lycée Franck-Ribéry
Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.
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