Les révélations de Moa ont évidemment ébranlé, surtout, la France de gauche (l’autre aussi, qui s’en doutait un peu, mais n’avait jamais osé y croire sérieusement).
Mais si Éric Zemmour n’était pas physiquement à Madrid, tout l’esprit qu’il incarne, tout ce qu’il défend, était bien là. À commencer par le discours de Santiago Abascal…
L’anthropophagie des Aztèques ne se bornait pas, comme on le croit habituellement, à quelques cas de « sacrifices rituels ». Elle était massive.
Oubliées, les luttes ouvrières. Oubliées, les injustices et les inégalités. Oubliés le capitalisme et la lutte contre sa domination.
La dissolution de la nation espagnole, patrie charnelle du peuple du même nom, réjouirait bien du monde.
Dans ces conditions, quel gouvernement pourrait bien former Pedro Sánchez ?
Depuis quatre jours, Barcelone et les trois autres grandes villes catalanes sont soumises à des émeutes d’une violence inouïe.
Mais voilà que la gauche n’en veut plus, de cette transition, elle qui depuis des années s’entête à rouvrir toutes les plaies de la guerre civile et à falsifier une Histoire réduite à sa seule version.
Les foules sont volages, changeantes, influençables… surtout lorsque les grands médias agitent le seul « argument » qu’ils ont à leur portée : l’épouvantail du « fascisme » et de l’extrémisme.
Que se passe-t-il en Espagne ? Il se passe que quelque chose d’énorme vient d’exploser. Et ce quelque chose a un nom : le sentiment national.
Sans avoir eu l’intention de le faire, le roi Philippe VI a répondu aux propos tenus par Sa Majesté Bernard–Henri Lévy, plus connu comme BHL l’Entarté.
Il vient de commencer à Madrid, devant le Tribunal Supremo (équivalent de la Cour de cassation), le procès contre les douze principaux dirigeants de la
C’est peut-être la plus grande des œuvres qu’Houellebecq nous a offertes. C’est, en tout cas, la plus déchirée et décharnée, la plus nihiliste et désespérée.
La question aujourd’hui au cœur du débat est celle des outrances d’un féminisme qui a remplacé la lutte des classes par la lutte des sexes.
Le fait de voir la patrie au bord du gouffre et du déchirement : c’est là, sans doute, le fait majeur qui a contribué au réveil de l’Espagne.
Ce qui est vraiment à l’œuvre, n’est-ce pas la volonté de briser tous les socles qui charpentent le monde : depuis la famille jusqu’à l’État et la nation…
C’est en réalité l’ensemble de la vision « politiquement correcte du monde » qui a été mise sur la sellette.
Il s’agit d’une initiative lancée par trois ou quatre figures de proue de Podemos en vue d’y créer un courant d’opinion anti-immigrationniste…
L’amertume et le ressentiment, voire la haine, envers « l’autre Espagne » ont rempli leurs cœurs
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Il fait des petits, Monsieur le Président, c’est évident.
Ce peuple dont le cœur saigne pour les blessures infligées à sa langue, à son histoire et à son identité, va-t-il se laisser impunément faire ?
Face à de telles déclarations insultantes, que fait le gouvernement Rajoy ?
C’est à présent tout le sommet de ces indépendantistes qui se trouve soit sous les verrous, soit sur le point d’y être, soit cachés…
Avez-vous déjà entendu parler de la Tabarnia, ce nouveau pays qui est en train de naître sur les bords de la Méditerranée occidentale ?
Voilà la Catalogne définitivement devenue une sorte d’Ulster où deux communautés que tout oppose et qui se détestent se tiennent là, face à face.
Il avait commis un seul crime : porter des bretelles aux couleurs du drapeau espagnol.
Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus.
Les révélations de Moa ont évidemment ébranlé, surtout, la France de gauche (l’autre aussi, qui s’en doutait un peu, mais n’avait jamais osé y croire sérieusement).
Mais si Éric Zemmour n’était pas physiquement à Madrid, tout l’esprit qu’il incarne, tout ce qu’il défend, était bien là. À commencer par le discours de Santiago Abascal…
L’anthropophagie des Aztèques ne se bornait pas, comme on le croit habituellement, à quelques cas de « sacrifices rituels ». Elle était massive.
Oubliées, les luttes ouvrières. Oubliées, les injustices et les inégalités. Oubliés le capitalisme et la lutte contre sa domination.
La dissolution de la nation espagnole, patrie charnelle du peuple du même nom, réjouirait bien du monde.
Dans ces conditions, quel gouvernement pourrait bien former Pedro Sánchez ?
Depuis quatre jours, Barcelone et les trois autres grandes villes catalanes sont soumises à des émeutes d’une violence inouïe.
Mais voilà que la gauche n’en veut plus, de cette transition, elle qui depuis des années s’entête à rouvrir toutes les plaies de la guerre civile et à falsifier une Histoire réduite à sa seule version.
Les foules sont volages, changeantes, influençables… surtout lorsque les grands médias agitent le seul « argument » qu’ils ont à leur portée : l’épouvantail du « fascisme » et de l’extrémisme.
Que se passe-t-il en Espagne ? Il se passe que quelque chose d’énorme vient d’exploser. Et ce quelque chose a un nom : le sentiment national.
Sans avoir eu l’intention de le faire, le roi Philippe VI a répondu aux propos tenus par Sa Majesté Bernard–Henri Lévy, plus connu comme BHL l’Entarté.
Il vient de commencer à Madrid, devant le Tribunal Supremo (équivalent de la Cour de cassation), le procès contre les douze principaux dirigeants de la
C’est peut-être la plus grande des œuvres qu’Houellebecq nous a offertes. C’est, en tout cas, la plus déchirée et décharnée, la plus nihiliste et désespérée.
La question aujourd’hui au cœur du débat est celle des outrances d’un féminisme qui a remplacé la lutte des classes par la lutte des sexes.
Le fait de voir la patrie au bord du gouffre et du déchirement : c’est là, sans doute, le fait majeur qui a contribué au réveil de l’Espagne.
Ce qui est vraiment à l’œuvre, n’est-ce pas la volonté de briser tous les socles qui charpentent le monde : depuis la famille jusqu’à l’État et la nation…
C’est en réalité l’ensemble de la vision « politiquement correcte du monde » qui a été mise sur la sellette.
Il s’agit d’une initiative lancée par trois ou quatre figures de proue de Podemos en vue d’y créer un courant d’opinion anti-immigrationniste…
L’amertume et le ressentiment, voire la haine, envers « l’autre Espagne » ont rempli leurs cœurs
On dit, cependant, qu’à quelque chose malheur est bon.
Il fait des petits, Monsieur le Président, c’est évident.
Ce peuple dont le cœur saigne pour les blessures infligées à sa langue, à son histoire et à son identité, va-t-il se laisser impunément faire ?
Face à de telles déclarations insultantes, que fait le gouvernement Rajoy ?
C’est à présent tout le sommet de ces indépendantistes qui se trouve soit sous les verrous, soit sur le point d’y être, soit cachés…
Avez-vous déjà entendu parler de la Tabarnia, ce nouveau pays qui est en train de naître sur les bords de la Méditerranée occidentale ?
Voilà la Catalogne définitivement devenue une sorte d’Ulster où deux communautés que tout oppose et qui se détestent se tiennent là, face à face.
Il avait commis un seul crime : porter des bretelles aux couleurs du drapeau espagnol.
Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus.
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