Quand le cannabis se retire, il laisse chez son consommateur des empreintes aux conséquences nombreuses.
Au Canada, depuis la légalisation du cannabis, les hospitalisations liées à sa consommation ont été multipliées par deux
On peut s’étonner que l’Allemagne, avec une guerre presque à sa frontière, n’ait rien de plus urgent à traiter…
Les socialistes sont à la manœuvre dans un exercice conforme à l’un de leurs stéréotypes : répondre à un problème grave en proposant une « solution » de nature à l’aggraver.
La France n’a pas perdu son combat contre le cannabis, puisqu’elle ne l’a pas livré !
Avant de miser sur l’intelligence artificielle, il importe de ramener à un bon niveau les intelligences individuelles !
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
Tout ce raffut, toutes ces déclarations irresponsables, tous ces faux espoirs pour aboutir à cela !
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
N’est inéluctable que ce que l’on ne veut pas combattre ; si les toxicomanies sont une tentation, elles ne sont pas une fatalité !
Un addictologue, Amine Benyamina, est érigé par la complaisance des médias comme la référence de sa discipline pour ses prises de position banalisantes en faveur de diverses drogues, excepté l’alcool.
Les riverains de la « SdS » parisienne estiment leur quartier sinistré.
Drogue de la « crétinisation », elle fait stagner intellectuellement ses victimes, recrutant même des assistés à vie.
Désaveux cinglants exprimés par le ministre de l’Intérieur et par le président de la République…
Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.
Ce n’est pas par accident que l’on consomme du cannabis.
Il est urgent de déciller les yeux de ceux que ces formules ont dupés
Il est inconvenant de pratiquer cette consultation au cœur de l’épidémie de Covid-19…
Monsieur le Président, on ne peut « en même temps » prôner l’éradication du tabac et laisser filer le cannabis.
Par ces nouvelles dispositions l’AMA renonce aux effets de prévention qu’exerçait le sport sur les toxicomanies ; elle renonce à l’exemplarité dont il était porteur pour la jeunesse…
Il y a une parfaite indécence à effectuer cette enquête dans le contexte sanitaire terriblement anxiogène qui mobilise toute l’attention des non-consommateurs de cette drogue…
Les citoyens sont à nouveau interrogés, du 13 janvier au 28 février, sur la légalisation du cannabis « récréatif », mais cette fois, c’est par une mission parlementaire.
Ont évidemment été oubliés, dans ce « débat », les méfaits graves et multiples du cannabis, dont ceux qui, il y a déjà un demi-siècle, l’avaient fait rejeter de la pharmacopée française.
Le cannabis légalisé serait cher pour être dissuasif et faiblement dosé en THC pour être moins toxique ; les dealers vendraient moins cher un cannabis plus « puissant ».
La responsabilité des addictologues est aggravée par leur herméticité aux informations scientifiques inquiétantes qui s’accumulent sur ce cannabis…
La nation ne peut donc s’en remettre à la Justice pour le combat que notre société doit livrer aux drogues afin d’en protéger ses citoyens.
Une course de vitesse est engagée entre la diffusion de ces informations majeures et la légalisation du cannabis.
Cela étant, ne jetons pas le cannabidiol/CBD avec l’eau des manip’, des publicités mensongères, de la cupidité, dans lesquelles il baigne.
Quand le cannabis se retire, il laisse chez son consommateur des empreintes aux conséquences nombreuses.
Au Canada, depuis la légalisation du cannabis, les hospitalisations liées à sa consommation ont été multipliées par deux
On peut s’étonner que l’Allemagne, avec une guerre presque à sa frontière, n’ait rien de plus urgent à traiter…
Les socialistes sont à la manœuvre dans un exercice conforme à l’un de leurs stéréotypes : répondre à un problème grave en proposant une « solution » de nature à l’aggraver.
La France n’a pas perdu son combat contre le cannabis, puisqu’elle ne l’a pas livré !
Avant de miser sur l’intelligence artificielle, il importe de ramener à un bon niveau les intelligences individuelles !
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
Tout ce raffut, toutes ces déclarations irresponsables, tous ces faux espoirs pour aboutir à cela !
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
N’est inéluctable que ce que l’on ne veut pas combattre ; si les toxicomanies sont une tentation, elles ne sont pas une fatalité !
Un addictologue, Amine Benyamina, est érigé par la complaisance des médias comme la référence de sa discipline pour ses prises de position banalisantes en faveur de diverses drogues, excepté l’alcool.
Les riverains de la « SdS » parisienne estiment leur quartier sinistré.
Drogue de la « crétinisation », elle fait stagner intellectuellement ses victimes, recrutant même des assistés à vie.
Désaveux cinglants exprimés par le ministre de l’Intérieur et par le président de la République…
Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.
Ce n’est pas par accident que l’on consomme du cannabis.
Il est urgent de déciller les yeux de ceux que ces formules ont dupés
Il est inconvenant de pratiquer cette consultation au cœur de l’épidémie de Covid-19…
Monsieur le Président, on ne peut « en même temps » prôner l’éradication du tabac et laisser filer le cannabis.
Par ces nouvelles dispositions l’AMA renonce aux effets de prévention qu’exerçait le sport sur les toxicomanies ; elle renonce à l’exemplarité dont il était porteur pour la jeunesse…
Il y a une parfaite indécence à effectuer cette enquête dans le contexte sanitaire terriblement anxiogène qui mobilise toute l’attention des non-consommateurs de cette drogue…
Les citoyens sont à nouveau interrogés, du 13 janvier au 28 février, sur la légalisation du cannabis « récréatif », mais cette fois, c’est par une mission parlementaire.
Ont évidemment été oubliés, dans ce « débat », les méfaits graves et multiples du cannabis, dont ceux qui, il y a déjà un demi-siècle, l’avaient fait rejeter de la pharmacopée française.
Le cannabis légalisé serait cher pour être dissuasif et faiblement dosé en THC pour être moins toxique ; les dealers vendraient moins cher un cannabis plus « puissant ».
La responsabilité des addictologues est aggravée par leur herméticité aux informations scientifiques inquiétantes qui s’accumulent sur ce cannabis…
La nation ne peut donc s’en remettre à la Justice pour le combat que notre société doit livrer aux drogues afin d’en protéger ses citoyens.
Une course de vitesse est engagée entre la diffusion de ces informations majeures et la légalisation du cannabis.
Cela étant, ne jetons pas le cannabidiol/CBD avec l’eau des manip’, des publicités mensongères, de la cupidité, dans lesquelles il baigne.
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