…retard du développement, hyperactivité avec déficit de l’attention, risque accru de mort subite « inexpliquée »…
Ils étaient cinq pour faire leurs sottises et ils voudraient en faire davantage.
Ils devraient, tout au contraire, diversifier leur commerce pour atténuer le poids des drogues qu’ils dispensent et qu’ils vont devoir réduire.
Il aura suffi d’une déclaration du ministre de la Santé…
C’est maintenant au collège, entre 12 et 15 ans, que nos mômes font connaissance avec cette saleté ; car plus tôt l’essayer, c’est plus vite l’adopter et plus intensément se détériorer.
Ces données terrifiantes auraient dû mobiliser médecins, éducateurs, politiques…
Et c’est alors un véritable tsunami du principe actif du cannabis, le THC, qui envahit le sang, puis le cerveau.
Quarante ans après l’« appel du 18 joint », Bernard Kouchner a ressorti ses anciennes antiennes.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.
Il reprend à son compte tous les poncifs usés depuis deux décennies ; l’originalité ne serait-elle plus une caractéristique de la philosophie ?
Les positions des Français sur les drogues sont assez anachroniquement en discordance avec leur positionnement politico-philosophique.
L’oxymore parfait consiste à lever son verre en disant « Bonne santé ! ».
La guerre contre les drogues, en France, n’a pas été perdue, car elle n’a pas été déclarée et que le sujet a été confié à une troisième colonne, à des infiltrés et autres desperados sociaux.
Débattre d’un tel sujet est sûrement opportun, mais avec l’organisation honnête qu’on est en droit d’exiger d’une chaîne publique…
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
Les aspects sanitaires de la légalisation sont totalement occultés.
Ignoreraient-ils que la dépendance au tabac ouvre la porte à celle du cannabis, et à d’autres drogues ?
Boulevard Voltaire a demandé au professeur Costentin ce qu’il faut penser de ce débat.
Déni sanitaire, erreur sociétale, cette dépénalisation revêt des aspects criminels.
Un État (digne de ce nom) ne saurait faciliter l’accès de ses citoyens à un agent toxique.
…retard du développement, hyperactivité avec déficit de l’attention, risque accru de mort subite « inexpliquée »…
Ils étaient cinq pour faire leurs sottises et ils voudraient en faire davantage.
Ils devraient, tout au contraire, diversifier leur commerce pour atténuer le poids des drogues qu’ils dispensent et qu’ils vont devoir réduire.
Il aura suffi d’une déclaration du ministre de la Santé…
C’est maintenant au collège, entre 12 et 15 ans, que nos mômes font connaissance avec cette saleté ; car plus tôt l’essayer, c’est plus vite l’adopter et plus intensément se détériorer.
Ces données terrifiantes auraient dû mobiliser médecins, éducateurs, politiques…
Et c’est alors un véritable tsunami du principe actif du cannabis, le THC, qui envahit le sang, puis le cerveau.
Quarante ans après l’« appel du 18 joint », Bernard Kouchner a ressorti ses anciennes antiennes.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.
Il reprend à son compte tous les poncifs usés depuis deux décennies ; l’originalité ne serait-elle plus une caractéristique de la philosophie ?
Les positions des Français sur les drogues sont assez anachroniquement en discordance avec leur positionnement politico-philosophique.
L’oxymore parfait consiste à lever son verre en disant « Bonne santé ! ».
La guerre contre les drogues, en France, n’a pas été perdue, car elle n’a pas été déclarée et que le sujet a été confié à une troisième colonne, à des infiltrés et autres desperados sociaux.
Débattre d’un tel sujet est sûrement opportun, mais avec l’organisation honnête qu’on est en droit d’exiger d’une chaîne publique…
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
Les aspects sanitaires de la légalisation sont totalement occultés.
Ignoreraient-ils que la dépendance au tabac ouvre la porte à celle du cannabis, et à d’autres drogues ?
Boulevard Voltaire a demandé au professeur Costentin ce qu’il faut penser de ce débat.
Déni sanitaire, erreur sociétale, cette dépénalisation revêt des aspects criminels.
Un État (digne de ce nom) ne saurait faciliter l’accès de ses citoyens à un agent toxique.
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