Jean Dionnot-Enkiri
Retraité - Président du C.A.D.
Nous devons, et ce, depuis 1793, à ce cher abbé Sieyès, qui déjà se méfiait du peuple, la confiscation de la volonté nationale.
Nous devons, et ce, depuis 1793, à ce cher abbé Sieyès, qui déjà se méfiait du peuple, la confiscation de la volonté nationale.
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