Puisque nous tous qui déplorons la situation actuelle faisons partie du problème, il nous revient de décider de faire partie aussi de sa solution.
les citoyens de culture française se considèrent-ils comme des moutons soumis à l’abattage prêts à être mangés à toutes les sauces ?..
Réveillons-nous pour reconquérir notre espace de liberté.
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
On aurait tort de se rassurer par la déconfiture des représentants LREM aux municipales…
Cette mainmise sur les élections municipales est nécessaire à la survie politique du Président Macron, sans ancrage territorial.
Bonne fête des Pères, et ne doutons pas que d’un mâle il peut toujours sortir un bien !
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Une page a été vite tournée dans l’éphéméride onusien, calendrier liturgique mondialiste saturé de journées éphémères qui ne changent rien à la situation.
On se tromperait à attribuer cette accalmie à une gestion supposée prévoyante et maîtrisée par les gouvernements africains…
Sommé d’abdiquer, chacun d’entre nous est appelé à résister.
On peut saluer l’effort d’examen critique de la Cour des comptes, qui semble amorcer la fin d’un tabou sur ce sujet sensible.
La politique du « en même temps » a créé une profonde distanciation sociale.
Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Finalement, ce ne serait jamais le moment de conditionner des aides, jamais le moment d’exiger réellement des comptes ni d’assainir la gouvernance publique.
Selon ce schéma de fraude « par cavalerie » qui fait actuellement florès en Afrique, une dette en comble une précédente et en appelle aussitôt une suivante, cycle vicieux sans fin ni vertu.
Le proverbe « Charité bien ordonnée commence par soi-même » le dit bien : comment prétendre s’occuper des autres quand on ne peut subvenir à ses propres besoins ?
Le 15 avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris était en proie aux flammes. Un an après, tout n’a pas encore été dit, entendu, répondu sur les circonstances et le sens de ce drame.
Rester au contact des populations locales ne peut que contribuer à réduire le sentiment antifrançais, tant décrié, qui se développe en Afrique.
On est frappé de voir à quel point les critiques visant les pays africains pourraient s’adresser aussi, avec « un temps d’avance », à la France !
on n’entend pas les professionnels s’exprimer sur les effets psychologiques attendus d’un confinement prolongé ou renforcé, sous la pression d’un danger omniprésent ; d’autant plus quand celui-ci n’est pas visible.
La providence d’État se referme comme la Bastille sur les citoyens.
Signe des temps ou des cieux, cette pandémie nous offre aussi une métaphore éclairante et une chance inédite, certes forcée mais pourquoi pas consentie, de nous libérer des formes d’assuétude de « la vie moderne », aliénante.
La présence du Covid-19 est officiellement déclarée dans la majorité des cinquante-cinq pays africains…
Les citoyens sont invités à se sevrer d’un État faussement providentiel envahissant ; les entreprises, à sortir des jupons institutionnels.
Effectivement, comme le dit Macron, « l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse », comme on le dit d’un cancer qui progresse. C’est peut-être, justement, l’idéologie du progrès incontrôlé par un État autoproclamé providentiel qui est en cause ?
Puisque nous tous qui déplorons la situation actuelle faisons partie du problème, il nous revient de décider de faire partie aussi de sa solution.
les citoyens de culture française se considèrent-ils comme des moutons soumis à l’abattage prêts à être mangés à toutes les sauces ?..
Réveillons-nous pour reconquérir notre espace de liberté.
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
On aurait tort de se rassurer par la déconfiture des représentants LREM aux municipales…
Cette mainmise sur les élections municipales est nécessaire à la survie politique du Président Macron, sans ancrage territorial.
Bonne fête des Pères, et ne doutons pas que d’un mâle il peut toujours sortir un bien !
Comme pour toutes les autres crises dont la société française est rongée, l’appel martial à la mobilisation civique a cédé la place à une démobilisation morale généralisée, puis à une contestation sociale communautarisée.
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Une page a été vite tournée dans l’éphéméride onusien, calendrier liturgique mondialiste saturé de journées éphémères qui ne changent rien à la situation.
On se tromperait à attribuer cette accalmie à une gestion supposée prévoyante et maîtrisée par les gouvernements africains…
Sommé d’abdiquer, chacun d’entre nous est appelé à résister.
On peut saluer l’effort d’examen critique de la Cour des comptes, qui semble amorcer la fin d’un tabou sur ce sujet sensible.
La politique du « en même temps » a créé une profonde distanciation sociale.
Une seule certitude : ce qui a été déjà accordé est acquis et ne sera pas utilisé pour sa finalité, ni jamais remboursé.
Va-t-on se laisser imposer par n’importe qui la « société de demain » ? Nommons clairement les choses, pour reprendre le contrôle de notre destin.
Finalement, ce ne serait jamais le moment de conditionner des aides, jamais le moment d’exiger réellement des comptes ni d’assainir la gouvernance publique.
Selon ce schéma de fraude « par cavalerie » qui fait actuellement florès en Afrique, une dette en comble une précédente et en appelle aussitôt une suivante, cycle vicieux sans fin ni vertu.
Le proverbe « Charité bien ordonnée commence par soi-même » le dit bien : comment prétendre s’occuper des autres quand on ne peut subvenir à ses propres besoins ?
Le 15 avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris était en proie aux flammes. Un an après, tout n’a pas encore été dit, entendu, répondu sur les circonstances et le sens de ce drame.
Rester au contact des populations locales ne peut que contribuer à réduire le sentiment antifrançais, tant décrié, qui se développe en Afrique.
On est frappé de voir à quel point les critiques visant les pays africains pourraient s’adresser aussi, avec « un temps d’avance », à la France !
on n’entend pas les professionnels s’exprimer sur les effets psychologiques attendus d’un confinement prolongé ou renforcé, sous la pression d’un danger omniprésent ; d’autant plus quand celui-ci n’est pas visible.
La providence d’État se referme comme la Bastille sur les citoyens.
Signe des temps ou des cieux, cette pandémie nous offre aussi une métaphore éclairante et une chance inédite, certes forcée mais pourquoi pas consentie, de nous libérer des formes d’assuétude de « la vie moderne », aliénante.
La présence du Covid-19 est officiellement déclarée dans la majorité des cinquante-cinq pays africains…
Les citoyens sont invités à se sevrer d’un État faussement providentiel envahissant ; les entreprises, à sortir des jupons institutionnels.
Effectivement, comme le dit Macron, « l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse », comme on le dit d’un cancer qui progresse. C’est peut-être, justement, l’idéologie du progrès incontrôlé par un État autoproclamé providentiel qui est en cause ?
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